Troupe 52
Une fois par an, le chef scout Tim Riggs emmène un groupe d’adolescents sur Falstaff Island, en pleine nature canadienne, pour trois jours de camping. Et rien de tel qu’une bonne histoire de fantômes et le crépitement d’un feu de joie pour faire le bonheur de la joyeuse troupe. Mais lorsqu’un individu émacié, qui semble tout droit sorti d’un film d’horreur, débarque sur leur camp, réclamant de la nourriture, le séjour vire au cauchemar. L’homme n’a pas seulement faim. Il est malade. Un malade comme ils n’en ont jamais vu… et dangereux avec ça. Coupée du reste du monde, la troupe va devoir affronter une situation bien plus terrible que toutes les histoires inventées autour du feu. Pour survivre, ils devront combattre leurs peurs, les éléments, et se confronter à leur pire ennemi, eux-mêmes. A mi-chemin entre Sa Majesté des mouches et 28 jours plus tard, ce thriller qui a fait pâlir d’angoisse Stephen King en personne vous plongera au coeur des ténèbres, à la frontière de la folie.
Le sang du temps
Automne 2005. Marion doit fuir Paris dans l’urgence. Il y va de sa vie. Des hommes de la DST la déposent au Mont-Saint-Michel, où l’accueille une communauté religieuse. Très vite, Marion se sent espionnée. Mars 1928. Au Caire, des enfants disparaissent en pleine nuit, on retrouve leurs corps meurtris dans les nécropoles environnantes.
Comme une ombre
Alexandra, la ravissante fille du milliardaire Richard Dickinson, se cherche en parcourant le monde. D’un tempérament plutôt indépendant, elle ne veut plus de sa jeunesse dorée ni des gardes du corps qui la suivent partout. D’ailleurs, elle s’acharne à les faire craquer les uns après les autres… Cependant, avec le nouvel ange gardien dont son père l’affuble, les choses s’annoncent différemment: en bon militaire, Tom Drake semble bien décidé à remplir sa difficile mission et à résister aux affronts de celle qu’il considère comme une petite fille gâtée. De Rio aux mystérieux palais sahariens, Tom la suivra comme une ombre. Coûte que coûte. Pourtant, à Marrakech, lorsqu’Alexandra lui joue un mauvais tour en faisant croire qu’elle a été enlevée, Tom est à deux doigts de jeter l’éponge. Mais il résiste encore. Et quand Alexandra est réellement kidnappée, il est le premier à risquer sa vie pour sauver celle de la jeune femme…
Ensemble autour du monde
Récit sous forme d’une correspondance adressée aux parents et amis de Georges Drapper et son épouse Josette, alors qu’ils effectuent un voyage autour du monde à bord d’un bateau à voiles, entre 1995 et 2002. Ces lettres rendent compte de l’itinéraire parcouru et des contrées visitées : Martinique, Galapagos, île de Pâques, Nouvelle-Calédonie, etc…
A la trace
A la trace tranche sur les romans précédents par sa structure ambitieuse. L’action progresse staccato. L’art du pisteur, évoqué par une citation en début de chapitre, illustre la manière dont chacun des protagonistes va laisser des traces. Toutes, à un moment donné, se recouperont : septembre 2009.- Milla Strachan, lasse de vingt ans de mariage-maltraitance, plaque son mari et est embauchée par la Presidential Intelligence Agency, branche des services secrets. La PIA surveille un groupuscule islamiste qui semble attendre une importante livraison par bateau. – Lemmer, l’antihéros de Lemmer l’invisible, est chargé par un défenseur des espèces animales menacées d’assurer le transfert à la frontière du Zimbabwe de deux inestimables rhinos noirs. Lors d’une fusillade, il est dépossédé de son Glock, où ses empreintes abondent. Il n’aura de cesse de le récupérer – Milla s’entiche d’un aventurier, Lukas, prétendument archéologue, en réalité archéologue-gentleman-cambrioleur. Il combat un gang allié aux Islamistes qui a embarqué par accident ses économies et refuse de les luirestituer. L’action de Lukas va croiser celle des services secrets, qui le prennent à tort pour un terroriste. – Mat Joubert, au service de l’agence de détectives privés créée par l’ex-inspecteur Griessel (deux revenants !) enquête sur la disparition de Davie Flint, cadre de l’Atlantic Bus Company, qui s’est volatilisé devant son club de gym.
Où es-tu ?
Il avait rêvé d’un idéal, elle l’aimai… tout simplement.
Adolescents, Susan et Philip représentaient tout l’un pour l’autre. Avec l’optimisme de la jeunesse, ils s’étaient promis de s’aimer pour toujours.
Mais la vie va les écarter l’un de l’autre comme deux étoiles soumises aux lois de la gravitation. Suzan affrontera la violence des ouragans en Amérique centrale, tandis que Philip réussira à Manhattan. À l’exception de quelques rencontres furtives à l’aéroport de Newark, ils ne sauront de leurs vies respectives que ce que disent les lettres qu’ils vont s’écrire pendant des années. Sans que jamais ne se brise le lien qui les unit.
Philip avait promis à Susan qu’il serait toujours là s’il lui arrivait quelque chose. Il ne pouvait pas savoir que cette promesse allait profondément bouleverser sa vie et que, pour l’honorer, il devrait ouvrir son cœur à l’inconnu.
Les dessins de la première et de la 4ème de couverture sont de Mylène Farmer.
Metro 2033
2014. Une guerre nucléaire a ravagé la Terre. 2033. Quelques dizaines de milliers de Moscovites survivent tant bien que mal dans le métro. Ils sont organisés en microsociétés qui habitent une ou plusieurs stations de métro, se dotent de diverses formes de gouvernement et de croyances. Les tunnels sont laissés aux parias, aux rats et à tout ce qui rode dans les ténèbres. Artème est l’un de ces survivants. Une menace plane de l’extérieur, sa portée est connue par quelques-uns, Artème est chargé de transmettre cette information et doit atteindre Polis – une communauté de stations qui préservent les derniers vestiges de la civilisation humaine. Il est le dernier espoir de survie de l’humanité. Commence alors une quête homérique, une odyssée dans le métro moscovite, où il va croiser tour à tour trafiquants, mystiques, néonazis et leur quatrième Reich, la première brigade «interstationnale », des religieux, des sectaires. Il baignera dans les légendes urbaines du métropolitain
Le roman des Jardin
Dans ce récit, Alexandre raconte donc, avec une drôlerie de chaque page, qu’il a voulu être « normal », pour échapper à sa tribu de fous. Il y avait là son père, bien sûr, dit « Le Zubial, » qui déposait des chèques en blanc signés dans des cabines téléphoniques. Son grand-père, « le Nain jaune », qui finançait la droite et la gauche, après avoir été un dignitaire de Vichy; sa grand-mère, dite « l’Arquebuse, » maîtresse officielle de Paul Morand et amoureuse impénitente. Il y avait sa propre mère dont les amours diverses inspirèrent à Claude Sautet (dont elle eut un fils) l’inoubliable César et Rosalie; il y avait surtout « Zouzou, » la gouvernante, celle qui sert de fil conducteur à cette épopée d’une grande famille plutôt bizarre et qui coucha avec plusieurs générations de Jardin – qu’on appelle aussi les « doubles rates » tant ils courent frénétiquement après le bonheur
Une vie
Jeanne, fille unique très choyée du baron et de la baronne Le Perthuis des Vauds, avait tout pour être heureuse. Son mariage avec Julien de Lamare, rustre et avare, se révélera une catastrophe. Sa vie sera une suite d'épreuves et de désillusions.
Ce roman, le premier de Guy de Maupassant, est une peinture remarquable des moeurs provinciales de la Normandie du XIXe siècle: hobereaux, domestiques, paysans sont décrits avec beaucoup de réalisme.
Le plus bel âge
Ils sont six amis d’université, quatre filles et deux garçons, et ont choisi New York, la ville de tous les possibles, pour mener leur vie d’adulte. Mais au rythme des mariages, naissances, échecs professionnels et personnels, leurs rêves et ambitions ne tardent pas à se heurter à l’épreuve de la réalité. En mettant en scène leurs vies entremêlées, les amitiés et les amours qui se nouent et se dénouent, Joanna Smith Rakoff fait la chronique d’une génération perdue, qui, entre espoirs et désillusions, essaie de trouver sa place dans le monde…
Nous parlerons de Rome
“Il est des jours où la seule beauté de Rome suffit au bonheur.” Cette phrase de Stendhal, claire et mystérieuse, mêlant la beauté et le bonheur à la solitude et à une secrète mélancolie, pourrait servir d’exergue au nouveau roman de Michel Dorit. Il y chante à la fois l’amour d’une ville et le charme des “âmes sensibles”. Pourtant son héros n’a rien d’un romantique. Brillant avocat parisien, parfaitement à l’aise dans la vie, séducteur ayant connu beaucoup de bonnes fortunes, préférant l’amour à l’ambition, il semble n’avoir vécu que pour le plaisir. Mais de toutes ces liaisons, celle qui a le plus compté, celle à laquelle il sacrifierait toutes les autres, c’est sa liaison avec une ville. Une ville où il retourne constamment, qui l’attire, dont il n’a jamais épuisé toutes les impressions fortes qu’il en recevait. Cette vocation remonte très loin. Dans son enfance, son père lui a fait lire Stendhal. Et les Promenades dans Rome ont été depuis lors son compagnon le plus fidèle, le seul talisman qui lui ouvrait toutes les portes. Puis, le 13 juin 1944, il a fait son entrée dans la Ville éternelle, sous l’uniforme, et il a défilé avec les vainqueurs devant l’Arc de Constantin. Trente-cinq ans plus tard, nous allons vivre avec lui, en quelques jours, trois brèves idylles interrompues, trois rencontres, trois rendez-vous avec le destin.
Les rois sans visage
Une jeune fille passe, marchant le long du quai d’un pas lent; le vent soulève son manteau noir, trop large…Qui est-elle? Qu’annonce-t-elle? Deux hommes l’observent, attirés, inquiets.L’un, Thomas Joubert, est jeune. Depuis des années, il cherche à connaître les secrets que détient l’autre, Antoine Vecchini, celui qu’il appelle le Vieux Salaud » et qui vit retiré dans une maison de ce port du Sud.Le vieil homme, habile, retors, prudent, a connu tous ceux qui, sur le devant de la scène, ont occupé les pouvoirs: présidents, hommes politiques, banquiers, académiciens… Il n’ignore rien de leur passé, de ce qui les unit encore. Il a été auprès d’eux un homme d’influence, le plus souvent dans l’ombre, notant jour après jour ce qu’il voyait et apprenait. Il est tenté de livrer ses secrets pour jouir du scandale, du désordre, parce qu’il sait sa mort proche et qu’il ne peut plus s’offrir d’autres plaisirs.Thomas Joubert doit enfin le rencontrer. Tout à coup, cette jeune fille s’avance, silhouette énigmatique. Visage de l’innocence dans cette partie pleine d’arrière-pensées? Ou, au contraire, présage lourd de menaces, signe et rappel des tragédies passées, de celles qui s’annoncent? Promesse de vie ou de mort pour ces deux hommes?Autour d’eux, Max Gallo fait surgir tout un univers balzacien, le nôtre, celui d’une histoire proche que nous imaginions connaître. Dans ces vies dévoilées, le plus noble se mêle au plus sordide, le résistant croise le tortionnaire, la femme vénale brûlée d’ambition côtoie l’héroïne. Que de Vautrin et de Vidocq! Que d’affaires ténébreuses! Que de passions extrêmes!Où est le vrai? Où, l’imaginaire?Après avoir lu Les Rois sans visage, on ne pourra plus penser de la même manière aux femmes et aux hommes qui ont fait l’histoire de ces dernières décennies. Comme dans La Fontaine des Innocents et l’Amour au temps des solitudes, ses deux derniers romans, Max Gallo se fait ici le maître chroniqueur des passions, des moeurs et des intrigues de notre temps. »
La danse du diable
En apparence, Danny Dennison atout pour être heureux. Ses films ont été de grands succès qui lui ont apporté ce dont chacun rêve à Hollywood : la puissance, l’argent et la célébrité. Mais lui seul connaît l’envers du décor. Lui seul sait ce que dissimule cette façade impeccable. Depuis son enfance, Danny cache une profonde blessure. Depuis ce jour où il s’est renié en prétendant ne pas être juif Depuis ce jour où il a quitté le camp de concentration où il avait vu souffrir et périr toute sa famille… Il faudra que sa route croise celle de l’ensorcelante Luba pour que ressuscite ce passé qu’il croyait mort. Saura-t-il trouver le courage de clamer son secret à la face du monde et d’effacer les mensonges sur lesquels il avait cru pouvoir bâtir sa vie ?
La maison de l’ange
A vingt et un ans, Harriet, une jeune aide-soignante, ne supporte plus son fiancé, qu’elle juge trop possessif. En quête d’indépendance, elle emménage dans une maison d’un quartier mal famé de Sydney. Dans cette demeure, dont la propriétaire pratique les arts divinatoires, Harriet noue des liens d’amitié avec ses nouveaux colocataires : Pamy et son ami philosophe, Bobbie et Jim, un couple homo, Toby, un artiste… Portée par l’atmosphère bohème du lieu, Harriet s’initie aux plaisirs des sens et découvre l’amour. En ce début des années 1960, la vie n’est pas qu’une longue fête sans fin. Quand le drame éclate, vient l’heure des choix et des engagements. Harriet, qui s’est pris de passion pour Flo, la fillette autiste de sa propriétaire, n’hésite pas. Ce petit ange de quatre ans, attachant et mystérieux, est en danger. Elle met dès lors tout en œuvre pour la protéger… Ecrit sous forme de journal, ce roman, où Colleen McCullough a mis beaucoup d’elle-même, retrace le parcours d’une jeune femme résolue à vivre le destin qu’elle s’est tracé.
David et les diplodocus
Il est rare que les Mémoires d’un individu soient d’utilité publique. Le livre-interview que M. Gérard Athias vient de publier est de ceux-là. Professionnel de l’assurance, Gérard Athias est aujourd’hui passé de l’autre côté, celui des assurés. L’Association française d’épargne-retraite (AFER) qu’il préside a été créée contre les compagnies d’assurances traditionnelles. Preuve que cette association répondait à une demande réelle, elle compte aujourd’hui 140 000 adhérents et gère une épargne collective de plus de 20 milliards de francs. Son ouvrage, publié avec la collaboration de M. Jean-Luc Bengel, journaliste spécialisé dans l’assurance, répond à un double objectif : justifier un itinéraire professionnel houleux en réglant au passage quelques comptes, mais aussi mettre à la disposition des épargnants une connaissance claire des principaux mécanismes de l’assurance-vie.
« – Et l’enfant? demanda Daragane. Vous avez eu des nouvelles de l’enfant? – Aucune. Je me suis souvent demandé ce qu’il était devenu… Quel drôle de départ dans la vie… – Ils l’avaient certainement inscrit à une école… – Oui. À l’école de la Forêt, rue de Beuvron. Je me souviens avoir écrit un mot pour justifier son absence à cause d’une grippe. – Et à l’école de la Forêt, on pourrait peut-être trouver une trace de son passage… – Non, malheureusement. Ils ont détruit l’école de la Forêt il y a deux ans. C’était une toute petite école, vous savez…»
Lune de papier
En 1943, un bombardier B-17 américain est contraint de se poser en catastrophe en Irlande, qui est alors un pays neutre. Le temps de réparer l’avarie et de soigner les membres de l’équipage qui ont été blessés, la vie de la petite communauté rurale de Clonakilty va se trouver bouleversée à tout jamais. Et plus particulièrement celle de la jeune gitane Imelda, et de la fermière Mary Burke… Autour d’un fait réel – l’atterrissage du bombardier – l’auteur a construit un roman poignant, dont le souvenir persiste bien après que le livre a été refermé.
La France que j’aime
De la côte d’Albâtre à La Castagniccia au coeur de la Haute-Corse, en passant par l’île d’Aix ou le hameau de Novel (Haute-Savoie), fief des sonneurs de trompe, le tour de France, pittoresque et authentique, d’un amoureux des terroirs.Entre souvenirs personnels, anecdotes, évocation de personnages hauts en couleurs, croisés lors de ses nombreux reportages, Pierre Bonte nous entraîne dans une balade enchanteresse à travers une France aussi belle que mal connue et profondément enracinée dans ses traditions. Il partage avec passion et générosité coups de coeurs, bonnes adresses et découvertes des plus beaux sites de l’hexagone.
Le management pour les nuls
Si vous avez déjà lu des livres sur le management, vous avez certainement remarqué qu’ils se classent presque toujours en deux catégories : les pavés mortellement ennuyeux et les ramassis de platitudes recyclées derrière un jargon subtil… Le Management pour les Nuls Business est vraiment différent. La pratique du management y est présentée de façon vivante, drôle et pertinente : des principes fondamentaux du management aux réflexes à adopter en cas de crise en passant par la capacité à déléguer comme à valoriser ses collaborateurs, découvrez toutes les bonnes pratiques du manager d’aujourd’hui. Débutants, futurs managers et managers expérimentés, posez un regard nouveau sur les techniques de management qui rendront votre travail – et celui de vos collaborateurs – un peu plus facile et surtout beaucoup plus efficace au quotidien !
Paradis perdus
Dans la nuit embaumée et chaude de Rabat, Jacques Lareuille confie l’histoire de l’amour fou qui l’a lié à Jeanne, une passion charnelle et intense dont la complexité et l’absolu peu à peu échappent au narrateur, amant désemparé et jaloux qui en subira le mystère et la douleur sans en comprendre l’issue. Bernard Simiot, dans une langue où la justesse de ton, la concision et la sobriété savent rendre l’étrange beauté de ce récit, le feu et la quête qui l’animent, nous invite à pénétrer au coeur du mystère de l’amour et à en méditer l’ineffable pouvoir. Paradis perdus renoue avec une veine plus intimiste, celle de Moi, Zénobie, reine de Palmyre, mais on y retrouve cette vivacité du récit, cette magie de l’espace qui réconcilient le réalisme et les mirages et ont fait l’extraordinaire succès de Ces messieurs de Saint-Malo.
Une certaine vérité
1994. Jude McManus a 17 ans lorsque son père, un flic de Chicago, meurt dans des circonstances mystérieuses. Son cadavre est retrouvé dans les eaux d’un lac alors qu’il vient d’être accusé de corruption avec ses deux collègues, Bill Malvasio et Phil Stroke. Suicide pour échapper au scandale ? Noyade accidentelle ? L’affaire ne sera jamais résolue. Jude décide de fuir la ville et s’engage dans l’armée. 2004. République du Salvador. Dans un pays rongé par la pauvreté, la corruption et le crime, Jude McManus retrouve par hasard Bill Malvasio. Installé au Salvador pour échapper à la justice de son pays, celui-ci demande à Jude de retourner à Chicago pour retrouver Phil Stroke. Toujours hanté par la disparition et les péchés de son père, Jude y voit l’occasion de faire toute la vérité sur le passé. Mais, comme l’a justement écrit Oscar Wilde, la vérité est rarement pure et jamais simple, et Jude va vite se retrouver aux prises avec une affaire d’État.
Copycat
Quand New York tremble… New York. Des dizaines de blesses, six morts. Le bilan de la bombe qui a devaste Grand Central est accablant. Tres vite, un nouvel engin explosif est decouvert dans la principale bibliotheque de la ville. Puis c’est au tour du Rockefeller Center d’etre la cible d’un attentat… Tandis que la terreur s’empare de la Grosse Pomme, les autorites locales font appel a l’un des plus fins limiers de la police, le detective Michael Bennett. Epaule par Emily Parker du F.B.I., celui-ci ne tarde pas a comprendre que les attentats et les deux meurtres commis en l’espace de trois jours sont l’oeuvre d’un copycat, un tueur qui imite ses predecesseurs. Mais dans quel but ? Apres un moment de perplexite totale, Bennett et Parker percoivent un plan precis : une effroyable vengeance…
Un enfant de la balle
Le docteur Daruwalla consacre ses recherches à l’identification du gène du nanisme. Ses tribulations le conduisent dans les méandres de Bombay, depuis les villas de Malabar Hill jusqu’aux bouges de Kamathipura. Tour à tour, il rencontre de vénérables jésuites, des médecins de renom et des trapézistes en paillettes… Quand un homme est assassiné dans un club de golf sélect, l’inquiétude le gagne.
Mitterrand et les 40 voleurs
« 7 avril 1994 : François de Grossouvre est retrouvé mort, suicidé dans son bureau à l’Élysée. Nouvelle affaire d’État. Conseiller et vieux compagnon du président de la République dont il est depuis trente-cinq ans l’éminence grise, Grossouvre connaît les moindres secrets de François Mitterrand. Depuis 1982 et mes premières grandes enquêtes sur la corruption socialiste, je le rencontre régulièrement, à l’abri des regards. Durant toutes ces années, il devient un ami et me livre d’inquiétantes confidences sur les coulisses de l’État PS, les réseaux de l’affairisme politique et les « 40 voleurs… » que le président de la République tolère autour de lui, encourage parfois, protège toujours. Conformément à ses vœux, je révèle dans ces pages pourquoi François de Grossouvre s’est senti trahi par le président. Pourquoi, jusqu’à la fin, il a porté à son encontre les plus graves accusations. A la suite de mon précédent livre, Lettre ouverte d’un « chien » à François Mitterrand au nom de la liberté d’aboyer, j’ouvre ici de nouveaux dossiers. Ils donnent la clé du système pervers qui, après avoir désespéré le Premier ministre Pierre Bérégovoy, a fini par tuer François de Grossouvre. »
La dictée
De retour d’exil après son engagement aux côtés des insurgés de la Commune de Paris, Paulin Labarthe, ancien imprimeur épris de liberté et de justice, se réfugie dans un village perdu au cœur de la campagne française, dans la vieille maison léguée par sa mère. Voyant qu’il possède des livres et admirant son savoir, Maria, jeune veuve, le supplie d’apprendre à lire à son fils, Louis. En échange, elle fera son ménage et s’occupera de son foyer. Un véritable amour rapproche bientôt ces deux cœurs solitaires. Quant au jeune Louis, sauvageon inculte qui ne jargonnait que quelques mots de français, il fait de rapides progrès. Il est bientôt admis premier à l’école normale. Il sera instituteur, féru des principes des hussards noirs de la République, le premier d’une longue lignée d’enseignants qui traversera le siècle.
Un goût de bonheur et de miel sauvage
DLa dynastie des Leduc, trois générations de grands chefs et de restaurateurs célèbres, est née au coeur de Paris, aux Halles, autour d’une simple marmite de soupe, celle de Mérotte qui fête aujourd’hui ses 85 ans. Et tandis que la vieille dame, entourée des siens, égrène avec bonheur souvenirs et recettes, inséparables chez cette cuisinière hors pair, son arrière-petite-fille, Driva, s’inquiète. Il lui faudra bientôt annoncer à sa famille son refus de prendre la succession, de vivre dans l’univers exigeant, parfois étouffant, de l’hôtellerie… Entre ces deux destins de femmes, Janine Montupet compose, avec art et subtilité, une étonnante saga familiale où passions et gastronomie se mêlent. A savourer comme un bon plat.
Le grand homme
« Claude Delarue, par la magie de son inspiration, sa perception à la fois ironique mais ô combien profonde d’un mal qui lui est certainement propre, hausse son Grand Homme à des sommets voisins de la perfection et de la simple fraternité humaine ». Françoise Ducout, Elle, Prix de la Nouvelle de l’Académie Française 1979.
Un constat a été établi par les médecins du monde entier : de nos jours, les femmes fument de plus en plus, elles commencent à le faire de plus en plus jeunes et consomment en moyenne plus de cigarettes que les hommes. D’ici à quelques années les pathologies liées à la consommation de tabac seront plus nombreuses chez elles. Déjà, dans certains pays occidentaux le nombre de cancers liés au tabac est plus élevé chez les femmes. L’un des blocages les plus répandus chez les femmes face à l’arrêt du tabac est la peur de prendre du poids. Fidèle aux fondements de sa méthode imaginée il y a plusieurs années et dont le succès ne se dément pas, Allen Carr a écrit une méthode faite spécialement pour les femmes. Elle leur démontrera qu’il est non seulement possible de cesser de fumer sans ressentir de phénomènes de manque mais aussi sans prendre de poids.
City of windows
À New York pendant l’hiver, un sniper insaisissable élimine des policiers un à un. Qui pourra l’arrêter ? Attention page-turner signé Pobi. Alors que New York est paralysé par la tempête de neige la plus épouvantable de son histoire, un agent du FBI est tué au volant de sa voiture par un sniper réalisant un coup quasi impossible. Incapable de comprendre d’où le tir est parti et pressé par la tempête qui efface les preuves à grands pas, Brett Kehoe se tourne vers le seul homme à même de lui venir en aide : l’ancien agent Lucas Page. Son talent surnaturel pour la lecture des scènes de crime, de même que sa compréhension des angles et des trajectoires, font de lui la seule personne susceptible de faire ce dont la puissance informatique du Bureau n’est pas capable : trouver la planque du sniper. D’autant que le meurtre s’avère rapidement n’être que le premier d’une série d’exécutions méticuleuses.
Israël, mon amour
Plus on juge, moins on aime. En cinquante ans de voyages au «Proche-Orient», Ivan Levaï a vu grandir son amour pour le peuple juif et perdu toute envie de participer à la dénonciation systématique de la politique d’Israël. Le sentiment qu’il déclare aujourd’hui s’est nourri, au fil des années, des confidences des grands leaders: de Golda Meir à Sharon, de Begin à Peres, et de Mitterrand à Chirac. S’y mêle aussi l’aventure personnelle d’un journaliste confronté, du fait de ses origines, à la quête passionnée de sa propre frontière juive.
Anne de Redmond
Anne Shirley poursuit ses rêves d’études supérieures et d’envolées créatives. Et c’est en compagnie de ses amis qu’elle découvre l’université de Redmond, en Nouvelle-Écosse. Au programme : cours, écriture, nouvelles rencontres et surtout, toutes sortes de mésaventures. Sans oublier les retours à Green Gables pour se ressourcer, entretenir les vieilles amitiés, garder sur le droit chemin un turbulent petit garçon… et recevoir sa première demande en mariage ! Lucy Maud Montgomery signe de son écriture merveilleuse un charmant bijou littéraire, drôle et tendre, sur le passage à l’âge adulte d’une fascinante jeune fille.
Anne de Green Gables
Nouvelle traduction de « Anne, la maison aux pignons verts ». Cheveux désespérément roux, visage constellé de taches de rousseur, Anne Shirley est une petite fille curieuse, pleine d’énergie, souvent perdue dans ses pensées, parfois d’une gravité solennelle, sans aucun doute intemporelle. Difficile de résister à ce petit bout d’humanité de onze ans parfaitement imparfaite, héroïne d’une série de romans qui a su conquérir des millions de lecteurs à travers le monde, « Anne de Green Gables », écrit par Lucy Maud Montgomery, et dont le premier tome parut en 1908. Orpheline à l’esprit vif, à l’imagination sans bornes et qui adore employer de « grands mots », Anne se retrouve par erreur chez Marilla et Matthew Cuthbert qui attendaient un garçon pour les aider à la ferme. Féministe involontaire, romantique impénitente, elle est impulsive, dramatique, maligne, drôle, et telle une authentique naïve, elle va bousculer le calme et la monotonie de la vie à Green Gables, en semant partout joies et rêveries, en dénichant la beauté dans les moindres recoins, en ne s’exprimant qu’en points d’exclamation, même dans « les affres du désespoir ». Parce que l’existence d’Anne a aussi une face sombre, hantée par la mort de ses parents et les abandons, qui lui donne son énergie folle, parfois hallucinée, et qui rend son idéalisme et son indignation si poignants et si convaincants. Si le regard d’Anne transcende le monde sur lequel il se pose, Anne de Green Gables, c’est la transformation magique, presque mystique, que seul l’amour peut opérer sur les hommes et les femmes. C’est l’histoire d’une petite fille qui parvient à se faire aimer de tous (Josie Pye exceptée), et de nous les premiers. Écrit par une femme à une époque où tout était contre elle, refusé par de nombreux éditeurs, rangé dans une boîte à chapeaux pendant des années avant d’être exhumé et enfin publié avec un succès immédiat, adapté des dizaines de fois (cinéma, théâtre, radio, et récemment sur Netflix, « Anne with an E ») et aimé par des générations et des générations de lecteurs (vendu à plus de soixante millions d’exemplaires), « Anne de Green Gables » de Lucy Maud Montgomery est un hymne à la joie, à la persévérance et au pouvoir de l’imagination. Magnifiquement écrit, construit autour d’une héroïne parfaitement imparfaite, féministe involontaire et romantique impénitente, ce roman empreint de poésie, d’humour et de douceur est bien plus que la vie d’une orpheline qui va bousculer le calme et la monotonie de son nouveau foyer. C’est un autre monde, fait de couleurs chatoyantes, d’une nature enchanteresse et d’idées saugrenues qui se déploie à travers les yeux de l’incroyable Anne Shirley. Littérature solaire et intemporelle, « Anne de Green Gables » est une parenthèse magique, un souffle chargé d’énergie et d’enthousiasme, un élan à vivre pleinement nos amitiés et nos passions.
Parce qu’il a été témoin d’un violent accrochage entre deux automobilistes, Jackson Brodie, dont nous avons fait connaissance dans « La Souris Bleue », va se trouver propulsé dans une série d’aventures incroyables. « Les choses s’arrangent… » est un thriller, une comédie noire et une satire de la vie contemporaine britannique. Kate Atkinson y brocarde, entre autres, le théâtre d’avant-garde, une certaine littérature populaire, les promoteurs immobiliers, les nouveaux riches, etc., avec l’humour corrosif qu’on lui connaît.
Popov
Qui est Popov ? Sous ce nom russe ordinaire se cache l’homme le plus puissant d’Union soviétique, et peut-être du monde… Que veut Popov ? De quelle machination infernale est-il le maître incontesté alors que les gouvernements Brejnev, Andropov et Tchernenko se succèdent, sans pour autant restreindre son terrible pouvoir ? Le jeune et brillant banquier français Paul Quant pourra-t-il, aidé de sa seule et prodigieuse intelligence, déjouer ce complot d’échelle internationale dont Paris, Bonn et même Washington semblent accepter la fatalité ? Il sait pourtant que sa vie et celle de la femme qu’il aime sont menacées…
Les bouffons de Dieu
Le pape français Grégoire XVII a reçu une terrible révélation : la fin du monde est proche, et l’heure du Second Avènement est arrivée. Il voudrait l’annoncer dans une encyclique. Grégoire XVII est-il un mystique, un fou ou un fanatique avide de puissance ? La Curie, devant les dangers d’une telle proclamation, le contraint à abdiquer et l’expédie dans un monastère. La crise internationale se précise et le pape, sorti de son exil, cherche désespérément à prévenir l’holocauste. Trop tard, d’autres forces sont à l’oeuvre… Ce roman, dont le thème audacieux est développé avec une rare maîtrise, tire sa force dramatique de l’actualité de l’apocalypse et aussi de l’habileté avec laquelle Morris West déroule l’intrigue policière, campe toute une série de personnages extraordinairement vrais – hauts fonctionnaires et truands, trafiquants et fanatiques – et fait vivre cette histoire d’amour, de foi et d’espoir.
Bleu sauvage
Voici la saga extraordinaire de Goudis l’intrépide. Après des années d’errance sur les sept mers, après avoir tout connu, tout goûté – cyclones, naufrages, plongées profondes, courses corsaires, folles amours et naissances sauvages -, Goudis « le Sénégalais blanc » prend la plume. Et son récit haletant, bourré de sève, de couleurs et de rythmes, nous empoigne pour ressusciter en chacun de nous le goût du voyage authentique. Bleu sauvage a la force et le charme des grands classiques de la mer et de l’aventure.
Cap’tain vagabond
Encore une fois, le yawl centenaire de ce coureur des mers est recherché. Mais Goudis le forban adore ça. En fuite sur la mer de Chine, poursuivi par l’aventure, les pirates et les filles, ce diable d’homme, marin d’un autre âge et vagabond au grand cœur, nous offre un cadeau sans égal: le secret du bonheur. Des Philippines à Singapour, sans un dollar en poche et sponsorisé par le hasard, Vincent Goudis poursuit les exploits de maraudeur et de nomade irréductible qui nous avaient enchantés dans Bleu Sauvage. Et l’on retrouve dans Cap’tain vagabond, l’entrain irrésistible des grands récits de mer et d’aventure, ceux qui conjuguent l’action et le rêve, la vie violente et la poésie.
Le thé chez la Comtesse
Après les blés de l’enfance et les roses d’un jour, le temps des épines continue. Aristocrate en exil, Marie parle quatre langues mais n’a pas de vrai métier. Veuve très tôt, avec trois filles à élever, elle fait face. Malgré la crise du logement des années 50, elle finit par trouver un studio rue Notre-Dame-des-Champs (« à l’étroit, mais en bonne harmonie », comme on dit à Odessa). Et une recette pour survivre : faire des bonbons maison. Paris, la Ville lumière… Fichtre, que les bonbons sont amers ! En souvenir du bon vieux temps, on prend le thé chez la Comtesse. Mais les tasses de fine porcelaine, symbole des splendeurs passées, sont ébréchées et dépareillées… Nostalgie et humour : le charme des princes déracinés qui reconstruisent leur vie ailleurs sans pour autant renier le passé.
L’impéraliste
De toutes les héroïnes imaginées par l’Histoire, Elisabeth d’Autriche fut, et reste, l’une des plus romanesques. Belle, mélancolique, rebelle, impératrice à seize ans, elle régna ainsi, jusqu’à son assassinat en 1898, sur des peuples aussi nombreux que ses songes.
Or, de cette femme singulière, la légende n’a retenu, le plus souvent, que le profil mièvre de » Sissi « , et il fallait qu’une romancière telle que Nicole Avril proposât enfin sa véritable résurrection. D’où ce récit, tout de passion et d’érudition. » L’Impératrice « , réanimée par le style d’un écrivain complice, retrouve les frémissements, les emportements qui firent son destin.
Élisabeth : impériale et royale, poète, républicaine, éprise d’absolu, subjuguant l’Autriche-Hongrie par son charme sans pareil. Mais, par-delà ce destin sublime et douloureux, c’est toute une Europe défunte qui est ici convoquée. Avec l’effervescence de ses nations. Avec ses drames. Avec son horizon aimanté par la violence et la guerre. Élisabeth sut traverser les tumultes de ce monde d’hier qui préfigure le nôtre. Sa lucidité serait-elle, avec sa grâce, le plus précieux des trésors qu’elle nous lègue ?.
Ces dames du palais Rizzi
Dans l’ombre vénéneuse de la vieille bâtisse italienne, il se passe d’étranges choses. Ça commence par un air de mandoline et ça s’achève en cauchemar. Mais qu’importe la démesure des passions ? L’essentiel n’est-il pas que Jérôme Deuilh aille jusqu’au bout de son terrible voyage parmi les mystérieuses créatures qu’on appelle « ces dames du palais Rizzi » ? Il joue les amoureux transis avec la nièce et les Casanova avec la tante. Il se damnerait pour un baiser de la première et rêve de culbuter la seconde. L’une et l’autre le font mourir d’amour et de désir. Mais Jérôme Deuilh, écrivain réputé, venu écrire en Italie un livre sur l’architecture fasciste, se délecte de cette situation équivoque. Amant de coeur pour l’une, étalon à demeure pour l’autre, le Parisien ne se voit plus d’autre avenir qu’entre les murs feutrés du si noble palais Rizzi. Sans se douter qu’un piège, délectable certes, mais inexorable, se referme sur lui…
Boussole
Insomniaque, sous le choc d’un diagnostic médical alarmant, Franz Ritter, musicologue viennois, fuit sa longue nuit solitaire dans les souvenirs d’une vie de voyages, d’étude et d’émerveillements. Inventaire amoureux de l’incroyable apport de l’Orient à la culture et à l’identité occidentales, Boussole est un roman mélancolique et enveloppant qui fouille la mémoire de siècles de dialogues et d’influences artistiques pour panser les plaies du présent. Après Zone, après Parle-leur de batailles, de rois et d’éléphants, après Rue des Voleurs… l’impressionnant parcours d’écrivain de Mathias Enard s’épanouit dans une magnifique déclaration d’amour à l’Orient.
12:21
Los Angeles, décembre 2012, et les graffitis annonçant l’apocalypse fleurissent sur les murs de la ville. Le Dr Gabriel Stanton les ignore le matin où une jeune interne l’alerte sur un cas rare de maladie infectieuse. Presque au même moment, Chel Manu, chercheuse au musée Getty, se voit confier par un homme désespéré un trésor enveloppé dans un sac de toile. Quelques heures plus tard, Stanton, scientifique reconnu dans le monde entier pour ses travaux sur les prions, reste impuissant face à ce patient dont les symptômes le terrifient. Et Chel, prodige universitaire spécialiste des Mayas, commence à déchiffrer un codex inestimable, qui recèle la clé d’un des plus grands mystères de l’histoire : l’anéantissement quasi instantané des royaumes mayas. Et si la même menace pesait sur notre civilisation ? À deux semaines de la date fatidique du 21 décembre 2012, le médecin et l’anthropologue n’ont d’autre choix que d’unir leurs forces pour prendre la fin du monde de vitesse.
Mauvais sort
Quelle malédiction plane sur Mary, adolescente marginale, à la fois aventureuse et agile ? Un à un, ceux qui l’entourent ? son fiancé, ses parents… disparaissent tragiquement. Et Doris, l’amie de sa mère, qui la recueille, doit partir tourner un film au Mexique. Seuls demeurent Patrick et Béa, un couple attirant et mystérieux, rencontré au cours d’une soirée » branchée « , et qui entoure Mary d’une sollicitude de plus en plus impérieuse. Un jeune policier tentera d’arracher celle-ci à leur emprise et affrontera un réseau occulte et puissant.
Premier arrêt après la mort
Juillet 2018: l’Allemagne, les Pays-Bas, l’Italie, la Belgique sont touchés par une terrible vague d’attentats ; les tensions en mer de Chine font craindre le début d’une troisième guerre mondiale. La France semble épargnée, jusqu’à ce qu’on retrouve un cadavre, calciné et mutilé, attaché à un arrêt de bus, puis un deuxième. Au troisième corps supplicié découvert place Beauvau, un mys-térieux correspondant annonce l’imminence d’une catastrophe: la France est prise de panique. Le président de la République demande que l’enquête soit confiée à une jeune et brillante commissaire, Fatima Hadj. Elle a vingt jours pour arrêter l’auteur de ces assassinats barbares. Sinon… Pour la première fois, Jacques Attali livre un thriller haletant dans lequel on croise des politiciens sans foi ni loi, des policiers borderline, des mercenaires prêts à tout, des espions plus ou moins doubles, des journalistes mythomanes. Et nous plonge au cœur de secrets d’État, qu’il connaît intimement. Une enquête trépidante dans un futur proche et chaotique, terriblement vraisemblable.
La route
L’apocalypse a eu lieu. Le monde est dévasté, couvert de cendres et de cadavres. Parmi les survivants, un père et son fils errent sur une route, poussant un caddie rempli d’objets hétéroclites. Dans la pluie, la neige et le froid, ils avancent vers les côtes du Sud, la peur au ventre : des hordes de sauvages cannibales terrorisent ce qui reste de l’humanité. Survivront-ils à leur voyage ?
Aux passantes des bouts du monde
Sur des étendues de glace, au milieu de steppes balayées par le vent, au cœur des villes fracturées par la guerre, accoudé aux bars enfumés de souvenirs, sur le dos de la baleine des mers arctiques, perdu dans l’épaisseur moite d’une jungle partout, en tous ces lieux, je l’ai rencontrée. Je pense même qu’elle m’attendait. La belle passante. Ou plutôt j’étais, moi, le passant, le roi de l’escale.
Le privé
Jean-François Rivière, détective privé, est un jour contacté par un ami d’enfance, Marc Salvain : ce dernier, directeur d’un important réseau bancaire, a découvert que son fils Xavier se droguait et demande à Rivière d’intervenir au plus vite. Malheureusement, les « bêtises » du rejeton ne se limitent pas à la consommation de cocaïne. Le jeune Xavier, petit génie de l’informatique, opère d’ingénieux transferts de fonds, sans se douter un seul instant que les sommes qu’il manipule allègrement depuis son ordinateur sont elles-mêmes détournées, pour le plus grand profit d’un magnat zurichois aux activités douteuses. Des ruelles de la capitale aux salons cossus des officines suisses, le privé Jean-François Rivière va devoir démêler plus d’une intrigue et compter sur plus d’un allié pour éviter les innombrables pièges que lui tendront des hommes de l’ombre pour qui l’argent n’a pas d’odeur et la vie humaine une valeur toute relative.