- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- 23 – Regrets éternels
Pierre Tombal
23 – Regrets éternels
Contrairement aux idées reçues, fossoyeur n’est pas un boulot pépère. Entre ceux qui n’arrivent pas à trouver le repos éternel, ceux qui feraient n’importe quoi pour passer l’arme à gauche ou ceux qui jouent avec la mort pour voir si elle a de l’humour, Pierre Tombal a fort à faire. Hardy et Cauvin réussissent une fois de plus leur pari un peu audacieux de nous faire rire avec un sujet aussi tabou que la mort. Ne manquez surtout pas la nouvelle visite guidée du plus animé des lieux de repos ! Pour cette série à l’humour noir de rigueur, Raoul Cauvin creuse toujours plus profond pour enterrer les travers de ses contemporains, sans fleurs ni couronne.
Vous aimerez aussi
Le secrétaire italien
Tout commence lorsque Sherlock Holmes reçoit un télégramme de son frère Mycroft qui l’appelle à l’aide : proche conseiller de la reine Victoria, ce dernier craint pour la vie de la souveraine. En effet, deux de ses serviteurs ont été percés de plus de cinquante coups de poignard, exactement comme le secrétaire italien de Marie Stuart, assassiné trois siècles auparavant. Et on sait que celle-ci a fini sans tête… Il n’en faut pas plus à Holmes et à son fidèle Watson pour accourir sur les lieux du drame et démontrer que la force de déduction vient toujours à bout de l’inextricable quand il s’agit de défendre l’ordre, l’Empire et la reine.
Rhinocéros
Rhinocéros est la pièce la plus riche de Ionesco. Elle ne perd rien de l'esprit d'innovation, de provocation, des premières pièces. Comme elles, celle-ci mélange les genres et les tons, le comique et le tragique. Mais l'innovation principale qui s'introduit ici est la réflexion sur l'Histoire, à travers le mythe. La pièce est une condamnation de toute dictature (en 1958, on pense au stalinisme). Ionesco condamne autant le fascisme que le communisme. C'est donc une pièce engagée : «Je ne capitule pas», s'écrie le héros.Le rhinocéros incarne le fanatisme qui «défigure les gens, les déshumanise».
American Vertigo
Où va l’Amérique ? Vers le destin impérialiste que lui prédisent ceux qui la haïssent ? Vers l’horizon démocratique qu’elle incarne aux yeux de ses amis? Bernard-Henri Lévy a parcouru plus de 20000 km aux états-Unis, pendant presque un an. Du Nord au Sud. De l’Atlantique au Pacifique. De la prison de Rikers Island à la douce Savannah. D’une ville arabe près de Detroit aux communautés juives de Brooklyn. Il y a vu La Nouvelle-Orléans dévastée, les banlieues pauvres de Los Angeles. Au-delà de l’enquête, American Vertigo est une réflexion sur les modèles républicains comparés de la France et des États-Unis, sur le rapport du peuple américain à la religion, à la politique, à l’idéologie. Un reportage qui allie la perspicacité du philosophe à l’œil du romancier.
Millénium – Tome I à III
Tome I : Les Hommes qui n'aimaient pas les femmes – Tome II : La Fille qui rêvait d'un bidon d'essence et d'une allumette – Tome III : La Reine dans le palais des courants d'air.
Millénium est à l'origine une trilogie de romans policiers de l'écrivain suédois Stieg Larsson, publiée en Suède de juillet 2005 à mai 2007 après son décès d'une crise cardiaque à l'âge de 50 ans. Cette saga — titrée Millennium, dans les éditions en suédois et dans diverses autres langues (allemand, anglais, espagnol, etc.) — a obtenu un succès mondial : plus de vingt-six millions d'exemplaires vendus jusqu'en juillet 2010. Fin janvier 2011, le total des ventes s'élevait à cinquante millions d'exemplaires.