- Home
- >
- Santé et bien-être
- >
- 3 kifs par jour – Plus d’amour, de vie et de bonheur
Florence Servan-Schreiber
3 kifs par jour – Plus d’amour, de vie et de bonheur
Et si réfléchir au bonheur illuminait votre journée ? Découvrez l’édition revue et colorée du best-seller de la psychologie positive, pour une lecture sensationnelle du célèbre concept !Un kif, c’est un moment vécu, une rencontre, une sensation ou une idée qui nous fait du bien et qui nous permet de ressentir plus d’amour, de vie et de bonheur… Partez à la découverte des kifs, vision joyeuse de la psychologie positive par Florence Servan-Schreiber.
Conseils, études et exercices… Changez de regard pour redécouvrir…
Vous aimerez aussi
L’esthétique corporelle
Maurice Rouet est l’un des auteurs qui a le plus développé et expérimenté les techniques de développement personnel. Et ce livre, riche de plus de 300 illustrations, photos, planches d’exercices, tableaux, surpasse en précision tout ce qui a été publié sur l’esthétique corporelle féminine. Tous les aspects y sont abordés.
Et il ne s’est pas démodé et ne se démodera pas.
Comment j’ai perdu 20 kilos et changé de vie !
A 18 ans, Nathalie Mur est une jeune femme active, sportive et svelte. Puis tout doucement, bercée par le train-train quotidien, elle prend une vingtaine de kilos sans y prêter attention. Le jour où la balance affiche 78 kilos pour 1,72m, c'est le déclic ! Nathalie décide de maigrir avec l'aide d'un coach en nutrition sportive qui va lui enseigner les préceptes du » mieux manger « . Au fur et à mesure qu'elle se déleste de ses kilos, la jeune femme timide et mal dans sa peau retrouve confiance en elle. C'est le début d'une véritable métamorphose. Les agences de mannequins lui font les yeux doux, alors Nathalie partage son temps entre son métier d'hôtesse de l'air, les séances photo, les défilés, et les salles de sport qu'elle fréquente assidûment. Puis la belle décide de se lancer un nouveau défi devenir sculpturale pour participer à des concours de Fitness model aux Etats-Unis. Première sur le podium à Miami fin 2009, les magazines américains se passionnent pour son parcours hors du commun. La frenchie a de nouveaux challenges à relever, le conte de fées ne fait que commencer…
Les enfants de l’indicible peur
Ce livre met en lumière un visage inconnu de l’enfant autiste. Si cet enfant n’est jamais entré dans le » monde des gens », c’est qu’il a été frappé d’une indicible peur devant son étrangeté et médusé par sa beauté. Cette révélation rend la figure du petit garçon ou de la petite fille hors du temps et hors d’atteinte tout à coup moins énigmatique. C’est non seulement cette rencontre manquée avec l’Autre que Henri Rey-Flaud nous fait découvrir, mais encore les stratégies savantes mises en oeuvre par l’enfant pour ne pas être submergé par le réel, ni emporté par la dynamique du langage : ainsi Sarah accrochée à son coquillage-fétiche ou Antonio maniant son miroir, lieu de sa disparition et de sa renaissance. Que ces défenses soient insuffisantes à contenir sa peur, c’est ce dont témoigne la façon qu’il a de murer son regard, sa voix et son corps. Une rétention, quelquefois totale, difficile à soutenir pour les parents.
Douleurs – Sociétés, personne et expressions
Dans le premier volume, » Douleurs : du neurone à l’homme souffrant « , ont été exposés les points de vue des biologistes et l’approche des cliniciens. Ce second volume s’intitule : » Douleurs : société, personne et expressions » : Sociétés : face à l’expérience individuelle qu’est la douleur, c’est l’ensemble des sociétés, et pour chacune d’entre elles toutes leurs composantes, qui s’efforcent de donner une siginification aux douleurs. Celles-ci prennent alors une valeur culturelle, dont émergent croyances et pratiques sociales ; Personne : la symbolique qui s’attache à la douleur inscrit les êtres dans un vécu, une corporéité et une crainte de la souffrance. C’est une expérience du corps et de l’esprit. La douleur paraîtrait sans doute plus acceptable sans son propre souvenir… expressions : comment parler de la douleur, comment l’exprimer ? Tant en ce qui concerne le langage que les arts, les expressions des douleurs apparaissent dans les productions humaines comme des repères conventionnels ou sublimés. Chacun y fait référence avec sa culture, sa sensibilité, mais aussi son langage et les mots qu’y consacre sa langue.