- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- A diamond in the desert
Jo Tatchell
A diamond in the desert
Barely forty years ago, Abu Dhabi was a fishing village on the Arabian Gulf. Now the capital of the United Arab Emirates, its citizens are each worth $17 million, it holds major stakes in Western economies, and has money to burn. In this timely, revealing and evocative portrait of a global player, Jo Tatchell traces the emirate’s dramatic development and the sometimes ruinous effect of extreme wealth on its people and their desert culture. And as its rulers fund another giant leap forward, she probes behind the official facade to examine whether this secretive and controlled society can realise its breathtaking plans to transform relations between East and West.
Vous aimerez aussi
Et pourquoi pas Hollywood ?
Michel Malausséna, dans son précédent livre sorti en 2008, Les Animatueurs*. s’est livré, selon ses termes, à un « suicide professionnel ». Mais grâce au succès rencontré, il remue encore et se prend désormais pour un auteur. Déterminé à s’autodétruire, il réitère avec cette biographie de jeunesse : arrivée à Paris, recherche d’emploi dans le cinéma, ballade d’une piaule à l’autre, copains drogués et copains flics, films Z, films X pour parvenir finalement à rentrer à la télévision et à se faire une place respectable.
Les Rugbymen – 7 – Le résultat on s’en fout, il faut gagner !
Dans ce 7e album, un nouveau joueur rejoint l’équipe de Paillar. Troisième-ligne au physique de déménageur, Jonas Frilung dit « le Sécateur » est un plaqueur implacable. Il parvient même à empêcher le pilier La Couane de rejoindre le banquet de la 3e mi-temps, c’est dire ! Après une année bien remplie, l’équipe de Paillar part pour son traditionnel voyage de fin de saison. Au bord de la grande bleue, dans un camping dédié au rugby, bringue, drague, beach-rugby et naturisme sont au programme… Les vacances dont vous avez toujours rêvé, eux les ont osées !
Balade choreïale
Azir : le premier monde habité découvert par l’humanité. Un monde à la technologie balbutiante, divisé en minuscules provinces. Bientôt, les hommes vont arriver en masse, avec leur savoir et leur réalisme économique, et menacer de changer le visage de la planète. Nerbrume, la gouvernante azirie, et Méline, ambassadrice du Conseil de l’humanité, vont-elles réussir à inventer un nouveau mode de coexistence ?
Est-ce ainsi que les femmes meurent ?
Catherine Kitty Genovese n'aurait pas dû sortir seule, ce soir de mars 1964, du bar où elle travaillait, une nuit de grand froid, dans le Queens, à New York. Sa mort a été signalée par un entrefilet dans le journal du lendemain : «Une habitante du quartier meurt poignardée devant chez elle.» On arrête peu de temps après le meurtrier, monstre froid et père de famille. Rien de plus. Une fin anonyme pour cette jeune femme drôle et jolie. Mais sait-on que le martyre de Kitty Genovese a duré plus d'une demi-heure, et surtout que trente-huit témoins, bien au chaud derrière leurs fenêtres, ont vu ou entendu la mise à mort ? Aucun n'est intervenu. Qui est le plus coupable ? Le criminel ou l'indifférent ? Récit saisissant de réalisme et réflexion sur la lâcheté humaine, le roman de Didier Decoin se lit dans un frisson.