- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- A whiff of death
Isaac Asimov
A whiff of death
En Anglais – Everyone knew that Ralph Neufeld was a careful young chemist, especially his professor, Lou Brade. That’s why Ralph’s accidental demise due to a confusion of chemicals struck Brade, as well as the police, as highly unlikely. Someone on campus had, somehow, switched bottles on poor Neufeld, and the result was as deadly as had been planned. The trouble was all the right suspects were in the wrong places when it happened…all the wrong suspects had the right motives…and the one person most qualified to solve the crime was already being considered the killer!
Vous aimerez aussi
L’élève et la leçon
Ce roman relate une nuit de tête-à-tête entre un père, Idir Salah, et sa fille Fadila, celle-ci demandant à son géniteur, médecin à la soixantaine bien entamée, de la délivrer de la grossesse qu’elle porte parce que son compagnon et futur père est un combattant du FLN recherché par la police française. Plus que le dilemme du médecin, dont le serment est de donner la vie et non de la supprimer, et d’un père à qui sa fille demande une telle aide, « L’élève et la leçon » est une nuit de bilan pour le vieux Docteur Idir Salah.
On achève bien les chevaux
Hollywood avant la Seconde Guerre mondiale. Robert Syberten rencontre Gloria Bettie. Comme elle, il est figurant au cinéma. Mais loin d’avoir réalisé leurs rêves, ils n’ont eu qu’un long parcours chaotique semé d’échecs. Désœuvrés et sans argent, ils décident de s’inscrire à un marathon de danse dans l’espoir de décrocher les 1 000 dollars de récompense et de se faire remarquer par un des producteurs formant le public quotidien de ces soirées. Il ne leur reste plus qu’à tournoyer des semaines entières au rythme de l’orchestre. Écrit à la suite de la grande dépression de 1929, « On achève bien les chevaux » est le premier roman noir d’Horace McCoy. Ce texte intemporel, qui n’a rien perdu de sa force évocatrice, est une violente dénonciation du rêve américain. Particulièrement noir et désespéré, il s’attache à explorer l’envers du décor en décrivant la misère de ceux prêts à toutes les humiliations pour pouvoir gagner simplement de quoi survivre. Sidney Pollack en a tiré un très beau film avec notamment Jane Fonda dans le rôle principal. Christophe Dupui
Les dossiers des OVNI – Les soucoupes volantes existent
Tout le monde en a discuté. À tort et à travers, parce que personne, jusqu’ici, ne s’est donné la peine de mener une enquête serrée afin de savoir si les OVNIs, les « soucoupes volantes », existaient vraiment. Après avoir tracé l’historique de la « guerre des soucoupes » parmi les hommes (« Le Livre noir des soucoupes volantes »), Henry Durrant nous fait participer ici à son enquête journalistique, investigation qui s’est vite transformée en véritable étude, précise et minutieuse. En ne considérant que le corpus des cas reconnus comme authentiques, en n’y prélevant que des échantillons significatifs, présentant des constantes caractéristiques, l’auteur, vous fera progresser d’expérience en incident, de constat en constat, de dossier en dossier. Chaque dossier complété, refermé, trouvera sa suite naturelle dans l’ouverture du suivant. Vous prendrez ainsi connaissance de témoignages, puis d’évidences : le faisceau de ces évidences constituera un « commencement de preuve », au sens juridique du terme; alors viendront les preuves elles-mêmes, flagrantes, aveuglantes, accablantes. La production des pièces à conviction, la « critique des critiques », feront grincer bien des dents chez les tenants de la société scientifique établie. Henry Durrant va jusqu’à la démonstration par l’absurde du plus grand problème de tous les temps. La vérité se trouve dans Les dossiers des OVNIs. C’est à vous, maintenant, de l’en faire sortir.
L’Amérique de Mark Twain
Ce livre est plus qu’une simple biographie. Il recrée un monde bariolé, un fourmillement d’existences qui servent de révélateurs à l’image du plus grand humoriste – et d’un des plus grands écrivains – des Etats-Unis. L’Amérique de Mark Twain, c’est celle de la comète de 1835, celle ou fleurissent des sectes et des religions étranges, où des signes flamboient dans le ciel. A Hannibal, dans le Missouri, grandit Samuel Clemens. L’Amérique de Mark Twain, c’est celle du Mississipi, grand-rue du continent – un univers le long d’un fleuve que sillonnent les bateaux à roues. Sur l’un d’eux, Samuel Clemens est pilote. L’Amérique de Mark Twain c’est celle des chercheurs d’or, des aventuriers de la Frontière, avec leurs plaisanteries « énaurmes ». A Virginia City, dans le Nevada, Samuel Clemens est devenu Mark Twain, journaliste humoriste. Au hasard des silhouettes, le lecteur reconnaîtra bien des traits familiers. Car si dans l’Amérique de Bernard De Voto, on rencontre Mark Twain, on rencontre aussi les créatures auxquelles il a donné la vie, Tom Sawyer, Huckleberry Finn et leurs frères.