Barbara Haworth-Attard
Adam à tout prix
A comme Adam (j’en suis complètement dingue). B comme Bien évidemment, il ne sait même pas que j’existe…C comme Comme-si-ça-ne-suffisait-pas-j’ai-un-méga-spot-sur-le-visage-le-jour-de-la-rentrée ! D comme Dire que ma meilleure amie, elle, est super bien gaulée… E comme Et si je décidais de me relooker ? F comme Fini de complexer sur mes petits nénés. G comme Génial ! J’ai enfin trouvé un objectif pour cette année ! Message aux lecteurs non avertis : ne lisez ce livre que si vous comptez passer un moment hilarant !
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La maison de Claudine
Publié en 1922, ce livre raconte, par une suite de courtes scènes, la jeunesse de l’auteur à la campagne, dépeignant sa mère, son père et quelques-uns de ses animaux de compagnie. Ce roman est le récit autobiographique de l’enfance heureuse que vécut Colette. Malgré le titre La Maison de Claudine, hommage aux romans populaires Claudine qui lancèrent la carrière de son auteur, ce roman ne s’inscrit pas dans cette série ; le seul lien est que la maison du titre, et la ville de Saint-Sauveur en Puisaye évoqués dans le livre ont servi de modèle au Montigny de Claudine dans les romans.
En Gaule pendant la paix romaine
Après les campagnes de César, la Gaule pacifiée connaît, pour la première fois, l'unité politique et administrative. Pendant plus de trois siècles, dans la paix et la prospérité, deux peuples, deux styles de vie, vont s'associer, fusionner même, sans pour autant perdre leur caractère propre, et créer ainsi une civilisation originale dont nous sommes les héritiers. Partout les villes se construisent, des monuments s'élèvent et, la verve gauloise venant revigorer le classicisme latin, un art nouveau apparaît, puissant et humain, souvent presque familier, car il puise son inspiration dans les scènes de la vie quotidienne. C'est cette vie de chaque jour que Paul-Marie Duval nous fait connaître, nous entraînant aussi bien dans les villes que dans les campagnes, chez les riches ou chez les pauvres, les intellectuels ou les artisans, les paysans ou les esclaves. Tout un monde surgit. Il a la France pour cadre et nos ancêtres pour peuple.
Prisons et paradis
Les textes qui composent Prisons et paradis s’articulent autour de trois éléments essentiels de la vie de Colette : les bêtes, libres ou enfermées ; le Midi de la France, que Colette a découvert tardivement et où elle aménage avec soin sa maison, « La Treille muscate », et son jardin – « O lumière ! Le mur, au voisinage de tant de feux, rougit comme une joue. Je sais maintenant ce qu’est le jardin provençal : c’est le jardin qui n’a besoin, pour surpasser tous les autres, que de fleurir en Provence » ; enfin l’Afrique du Nord, dans des récits où elle exalte la beauté des êtres et des paysages. On trouve en outre dans ce recueil diverses chroniques, ainsi que des portraits d’amis, de connaissances ou de célébrités : Mistinguett, Coco Chanel, Landru…
Le jeu de l’amour et du hasard
Le père de Silvia (M. Orgon) souhaite que sa fille épouse le fils d’un de ses vieux amis. Mais Silvia, peu disposée à se marier, obtient de son brave homme de père l’autorisation d’observer, sous le déguisement de sa servante (Lisette), le jeune homme à qui sa famille la destine (Dorante), ignorant que ce dernier a eu la même idée qu’elle. Aussi, l’aventure, divertissante au début, tourne-t-elle au cauchemar pour elle lorsqu’elle se rend compte qu’elle est attirée par le valet, qui lui fait une cour discrète, alors que le comportement de celui qui se présente comme son promis lui fait horreur, d’autant plus que M. Orgon, qui s’amuse de la situation, refuse d’interrompre le jeu.