- Home
- >
- Fantastique
- >
- Aria (23) – Le Poussar
Michel Weyland
Aria (23) – Le Poussar
Monstre et marécage
Aux confins d’une vallée hostile, constellée de sables mouvants et constamment baignée par une brume insolite, se terre Théor de Talébert, farouchement protégé par le monstre Ollo. Pour assouvir sa vengeance, Théor a volé un poussar, talisman indispensable à la survie d’un enfant. Indignée par cette ignominie, et décidée à tenter l’impossible pour récupérer le poussar, Aria s’aventure, seule et farouche, dans le marais d’où nul, jusqu’alors, n’est jamais revenu.
Une belle humanité
Avec « Le Poussar », vingt-troisième titre d' »Aria », Michel Weyland donne à l’Heroic Fantasy une touche singulière, empreinte d’une belle humanité.
Vous aimerez aussi
Le langage des pierres
Au XVe siècle, dans un pays qui ressemble aux Iles Britanniques, Will, un jeune garçon de treize ans, est arraché à ses parents adoptifs par le mage Gwydion. Ce dernier, persuadé que l'adolescent est la réincarnation d'Arthur et qu'il a le pouvoir d'épargner au pays le bain de sang qui approche, veut en faire son apprenti. Il va l'initier au langage des pierres, aux pratiques magiques, aux jeux d'adresse, à ceux de la diplomatie, et lui inculquer les rudiments de la sagesse. Car le Royaume vit une époque troublée : les pierres magiques, autrefois symbole de paix et de protection contre les invasion, ont perdu leur pouvoir. Et un sorcier, tenaillé par la soif du mal, a parié sur le chaos et la guerre afin d'assurer sa prise de pouvoir sur le monde. Gwydion et Will parviendront-ils à sauver le Royaume du désastre annoncé ?
Le secret des glaces
Zoé est L’Élue, l’héritière d’une lignée de femmes chargées de protéger un secret ancestral. Elle ne le découvre que lorsque des tueurs surgissent et l’entraînent dans une course folle qui la mènera aux confins de la Sibérie. Pour Zoé, le temps presse : elle doit non seulement rester en vie, mais aussi comprendre ce qu’est le Secret pour parvenir à le préserver. Dans sa quête, parsemée d’énigmes et de symboles à décrypter, elle est aidée par un agent spécial. Mais est-il vraiment son allié ?
Le Clan des Otori – tome I – Le Silence du Rossignol
Dans sa forteresse d’Inuyama, le Seigneur Iida Sadamu est protégé par le fameux «parquet du rossignol» qui conduit à sa chambre. Construit avec un art consommé, ce parquet chante dès qu’on l’effleure. Aucun assassin ne peut le franchir sans qu’Iida l’entende… Au XIVe siècle, dans un Japon médiéval mythique, le jeune Takeo grandit au sein d’une communauté paisible qui condamne la violence. Mais celle-ci est massacrée par les hommes d’Iida, chef du clan des Tohan. Takeo, sauvé par sire Shigeru, du Clan des Otori, se trouve plongé au cœur de luttes sanglantes entre les seigneurs de la guerre. Il doit suivre son destin. Mais qui est-il ? Paysan, seigneur ou assassin ? D’où tient-il ses dons prodigieux ? Lorsqu’il rencontre la belle Kaede, un amour fou naît entre les deux jeunes gens : devra-t-il choisir entre cet amour, sa dévotion à sire Shigeru et son désir de vengeance ? Sa quête le mènera jusqu’à la forteresse d’Inuyama, lorsqu’il marchera sur le « parquet du Rossignol « . Cette nuit-là, le rossignol chantera-t-il ?
La dame de pique (et autres textes)
La Dame de pique, nouvelle fantastique d’Alexandre Pouchkine (1799-1837), structurée comme un roman, met en scène des personnages du théâtre populaire. La fin, suggérée par une citation en exergue, met le lecteur sur la voie : « La dame de pique signifie une malveillance cachée. » Écrivant comme on abat l’une après l’autre ses cartes maîtresses, Pouchkine rencontre différentes figures du fantastique (le comte de Saint-Germain, une revenante), mais sans s’y attarder. Le dialogue, la satire sociale, quelques remarques mêmes sur la littérature russe arrivent à trouver place dans ce condensé romanesque.