Collectif, Adam Blade
Beast Quest (06) – L’oiseau-flamme
6-8 ans – 96 pages
Grâce à Tom et à Elena, Nanook est libre, et les habitants des Plaines de Glaces vont de nouveau vivre en paix. Mais l’aventure des deux amis ne s’arrête pas là ! Ils doivent repartir à la recherche d’une sixième Bête magique : Epos, l’oiseau-flamme, que Malvel, le sorcier maléfique, a ensorcelé. Cette quête sera peut-être la plus dangereuse de toutes…
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La maison de Claudine
Publié en 1922, ce livre raconte, par une suite de courtes scènes, la jeunesse de l’auteur à la campagne, dépeignant sa mère, son père et quelques-uns de ses animaux de compagnie. Ce roman est le récit autobiographique de l’enfance heureuse que vécut Colette. Malgré le titre La Maison de Claudine, hommage aux romans populaires Claudine qui lancèrent la carrière de son auteur, ce roman ne s’inscrit pas dans cette série ; le seul lien est que la maison du titre, et la ville de Saint-Sauveur en Puisaye évoqués dans le livre ont servi de modèle au Montigny de Claudine dans les romans.
Le bourgeois gentilhomme
Monsieur Jourdain est un bourgeois fortuné mais sot. Son plus cher désir est de devenir gentilhomme. Pour cela, il cherche par tous les moyens à acquérir les bonnes manières de la haute société, et courtise une marquise. il veut également que sa fille épouse un noble, alors que celle-ci aime un homme honorable qui n'est pas gentilhomme. Le père tyrannique arrivera-t-il à se faire obéir ? Le bourgeois parviendra-t-il à tout acheter, même le cœur d'une femme ? La ruse des valets aura-t-elle raison de l'entêtement du maître de maison ?
Bérénice
Bérénice, au centre de l’œuvre de son auteur, en 1670, est une pièce singulière dans la production de Racine : c’est une tragédie où il n’y a pas de sang. Elle paraît peut-être d’autant plus douloureuse. Se séparer est pire ici que mourir. C’est le sort des trois personnages de la pièce : Bérénice, reine qui aime l’empereur Titus et qui devait l’épouser, Antiochus, qui voue un amour sans espoir à Bérénice. Il s’agit seulement de prononcer un mot, si dur, si tendre : adieu.
Le mariage de Figaro
Chef-d’œuvre du théâtre français et universel, la pièce est en effet considérée, par sa dénonciation des privilèges archaïques de la noblesse et plus particulièrement de l’aristocratie, comme l’un des signes avant-coureurs de la Révolution française, donc comme une œuvre politique et satire de la société inégalitaire et de la justice vénale d’Ancien Régime. Louis XVI la qualifia « d’exécrable, qui se joue de tout ce qui est respectable » et dont « la représentation ne pourrait qu’être une inconséquence fâcheuse, sauf si la Bastille était détruite ». On attribue au grand révolutionnaire Danton le verdict « Figaro a tué la noblesse ! », et à Napoléon la sentence : « C’est déjà la Révolution en action ! ».