Collectif, Adam Blade
Beast Quest (13) – Le maître des araignées
6-8 ans – 96 pages
Tom et Elena ont réussi à vaincre l’homme-serpent, la quatrième Bête maléfique créée par Malvel. Le garçon possède maintenant un nouveau morceau de l’armure magique : des jambières dorées qui lui permettent de courir sans se fatiguer. Mais il leur faut encore combattre deux créatures avant de pouvoir délivrer le sorcier Aduro…
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La lutte pour le pouvoir à la tête de l’État est de toutes les époques et de tous les régimes. Rarement, pourtant, elle avait été aussi impitoyablement disséquée par un témoin direct, par un des acteurs. On trouve dans ce livre des portraits et un foisonnement d’intrigues qui appartiennent désormais à l’histoire. Voici Rocard, Delors, Fabius, Chevènement ou Fiterman tels qu’on ne les a jamais vus, aux prises avec leurs ambitions et leurs stratégies. Au-delà des anecdotes pittoresques sur la vie quotidienne dans les palais nationaux, ce reportage tendrement ironique sur les coulisses gouvernementales est aussi le récit des relations complexes au sommet de l’État entre le président de la République, François Mitterrand, et le Premier ministre, Pierre Mauroy, la description précise des rouages de la «cohabitation» entre les deux principaux pôles de l’exécutif. Les compétences de Matignon, l’autorité de l’Élysée, sont analysées en détail. Cette chronique d’histoire immédiate est, en ce sens, un guide pour l’actualité.
Bérénice
Bérénice, au centre de l’œuvre de son auteur, en 1670, est une pièce singulière dans la production de Racine : c’est une tragédie où il n’y a pas de sang. Elle paraît peut-être d’autant plus douloureuse. Se séparer est pire ici que mourir. C’est le sort des trois personnages de la pièce : Bérénice, reine qui aime l’empereur Titus et qui devait l’épouser, Antiochus, qui voue un amour sans espoir à Bérénice. Il s’agit seulement de prononcer un mot, si dur, si tendre : adieu.
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Chef-d’œuvre du théâtre français et universel, la pièce est en effet considérée, par sa dénonciation des privilèges archaïques de la noblesse et plus particulièrement de l’aristocratie, comme l’un des signes avant-coureurs de la Révolution française, donc comme une œuvre politique et satire de la société inégalitaire et de la justice vénale d’Ancien Régime. Louis XVI la qualifia « d’exécrable, qui se joue de tout ce qui est respectable » et dont « la représentation ne pourrait qu’être une inconséquence fâcheuse, sauf si la Bastille était détruite ». On attribue au grand révolutionnaire Danton le verdict « Figaro a tué la noblesse ! », et à Napoléon la sentence : « C’est déjà la Révolution en action ! ».