- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- Begraven dromen
Deborah Crombie
Begraven dromen
En néerlandais – Dr. Victoria McClellan schrijft een biografie over het turbulente leven van de dichteres Lydia Brooke, vijf jaar na haar tragische zelfmoord. Naarmate Vic meer in de ban raakt van Lydia’s poëzie en leven, groeien haar twijfels over de toedracht van Lydia’s dood. Was het werkelijk zelfmoord? Vic besluit haar ex-man Duncan Kincaid, hoofdinspecteur bij Scotland Yard, om hulp te vragen. Kincaids adjudant en geliefde Gemma James ziet het hernieuwde contact tussen de ex-echtgenoten met gemengde gevoelens aan. Maar als Vic in groot gevaar blijkt te zijn, kan Gemma niet langer aan de zijlijn blijven staan.
Vous aimerez aussi
Le Tartuffe
En laissant Tartuffe entrer dans sa maison, Orgon ne pouvait pas imaginer qu'il allait mettre en péril sa fortune, son honneur, son bonheur et l'unité de sa famille. Et pourtant, c'est bien à quoi travaille « l'imposteur », mais toujours à l'insu du maître de maison : si Tartuffe courtise la femme d'Orgon, c'est sous prétexte de l'entretenir de religion; s'il spolie ses enfants, c'est sous couvert de les remettre dans le droit chemin; s'il s'approprie les cordons de la bourse, c'est pour mieux organiser la dévotion familiale. Comment, dans ces conditions, Orgon aurait-il pu s'apercevoir de son aveuglement et donner au faux dévot la correction qu'il mérite? Avec Tartuffe, Molière livre une satire grinçante de toutes les hypocrisies, satire qui fait mouche et qui, 300 ans plus tard, reste toujours de mise : en témoignent les mises en scène modernes, qui se succèdent, collant à l'actualité, et le nom de Tartuffe qui est définitivement passé dans la langue comme synonyme d'hypocrite.
Exhibition
Exhibition commence dans la vallée de Chevreuse. Drôle d’endroit pour le déballage intime. Et pourtant, au fil des lignes apparaît Philippe. À moins que ce ne soit, évidemment, Michka Assayas en personne. L’enterrement de la mère de ses amis d’enfance permet au narrateur de se retourner sur les années passées. De « déballer » sur un père italien absent, sur une mère égocentrique, une grand-mère attentive. Sur les amis qui ont réussi. Ceux qui ont raté. Sur ses propres erreurs… Le sujet n’est pas nouveau mais il y a dans la prose d’Assayas, ironiquement désespérée, quelque chose de profondément mélancolique et attachant. Peut-être cela tient-il aussi à la description des années 80. De ce que ces années avaient de fou et d’excitant, entre engagement politique, passion, fourmillement de musiques, de recherches en tout genre. Les années rock dont Philippe connaît les moindres notes. Peut-être fut-ce d’ailleurs sa seule vraie passion tout au long de ces années ?
Pourquoi les hommes n’écoutent jamais rien et les femmes ne savent pas lire les cartes routières
Pourquoi les hommes n’écoutent jamais rien et les femmes ne savent pas lire les cartes routières
Si l’égalité des sexes demeure une nécessité sociale, politique et économique, elle a pourtant du mal à passer l’épreuve du quotidien. Qui, homme ou femme, ne s’est pas trouvé confronté à ces mille petits détails qui nous font penser que, définitivement, l’autre est si différent ? Pourquoi les hommes ne peuvent-ils pas répondre à une question quand ils lisent le journal ? Pourquoi demandent-ils toujours à leur femme où se trouve l’objet qu’ils cherchent alors qu’ils l’ont devant les yeux ? Pourquoi se plaignent-ils que les femmes ne sachent pas conduire ? Pourquoi les femmes n’ont pas le sens de l’orientation ? Pourquoi devinent-elles toujours qu’il leur ment ? Pourquoi cassent-elles la vaisselle quand elles sont en colère ? Pourquoi cette préférence des uns pour le sexe et des unes pour la tendresse ? Ou cette soi-disant insensibilité des uns et hypersensibilité des unes ? Toutes ces différences, et d’autres encore, vues par Allan et Barbara Pease, sont interprétées ici le plus sérieusement du monde mais raconté avec beaucoup d’humour. Ou comment rendre léger et hilarant l’éternel combat de la testostérone et de l’œstrogène.
Le journal de Louise B.
Dans les environs d’Auxerre, en pleine campagne française, une jeune prof d’anglais, Louise Anarcange, est violée par six de ses élèves après une fête de fin d’année où elle était conviée… Le Journal de Louise B n’est pourtant pas, comme on pourrait s’y attendre, le portrait d’une génération désabusée et ultraviolente. Le thème du « viol en réunion commis par des mineurs », comme on le dit dans les journaux, n’intéresse pas le romancier. Son propos se focalise tout entier sur la psychologie de son personnage. Louise, fille unique, fille modèle, a connu les souffrances d’une éducation stricte. Son père, le Dr Anarcange, l’a protégée et peut-être trop aimée. La question de l’inceste, subtilement omniprésente, explique peut-être qu’à 31 ans elle soit toujours vierge.