- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- Begraven dromen
Deborah Crombie
Begraven dromen
En néerlandais – Dr. Victoria McClellan schrijft een biografie over het turbulente leven van de dichteres Lydia Brooke, vijf jaar na haar tragische zelfmoord. Naarmate Vic meer in de ban raakt van Lydia’s poëzie en leven, groeien haar twijfels over de toedracht van Lydia’s dood. Was het werkelijk zelfmoord? Vic besluit haar ex-man Duncan Kincaid, hoofdinspecteur bij Scotland Yard, om hulp te vragen. Kincaids adjudant en geliefde Gemma James ziet het hernieuwde contact tussen de ex-echtgenoten met gemengde gevoelens aan. Maar als Vic in groot gevaar blijkt te zijn, kan Gemma niet langer aan de zijlijn blijven staan.
Vous aimerez aussi
Exhibition
Exhibition commence dans la vallée de Chevreuse. Drôle d’endroit pour le déballage intime. Et pourtant, au fil des lignes apparaît Philippe. À moins que ce ne soit, évidemment, Michka Assayas en personne. L’enterrement de la mère de ses amis d’enfance permet au narrateur de se retourner sur les années passées. De « déballer » sur un père italien absent, sur une mère égocentrique, une grand-mère attentive. Sur les amis qui ont réussi. Ceux qui ont raté. Sur ses propres erreurs… Le sujet n’est pas nouveau mais il y a dans la prose d’Assayas, ironiquement désespérée, quelque chose de profondément mélancolique et attachant. Peut-être cela tient-il aussi à la description des années 80. De ce que ces années avaient de fou et d’excitant, entre engagement politique, passion, fourmillement de musiques, de recherches en tout genre. Les années rock dont Philippe connaît les moindres notes. Peut-être fut-ce d’ailleurs sa seule vraie passion tout au long de ces années ?
Syndrome
Ils ont entre les mains la science la plus aboutie, la technologie et le pouvoir. Il ne leur manque qu’une chose : contrôler nos esprits. Après Genesis, John Case nous entraîne dans les arcanes des plus sombres expériences scientifiques héritées de la guerre froide, au service d’une raison d’Etat que les scrupules n’embarrassent pas … Un thriller angoissant où rien n’est ce qu’il paraît être.
Tigre en papier
Poétique des années 60. Ainsi Olivier Rolin aurait pu signer également son livre Tigre en papier. Des années 60, avec tout ce qu’elles possédaient pour rugir et mordre dans la vie. Né entre la mère des défaites et Diên Biên Phu, le narrateur s’emploie à raconter sa jeunesse en roulant frénétiquement le long du périphérique parisien. Une jeunesse qui voit se déployer portraits, objets et gestuel. C’est le temps des copains, des clampins sympathiques « à la vie à la mort », des virées ici et là, où l’on fauche une bagnole à Vesoul, gravit la tour sud de Saint-Sulpice, où l’on file en voyage jusqu’au Mékong, le temps des Trabants, des cuites, de la Gitane maïs, des tracts qui n’en finissent plus, rédigés dans la nuit et ronéotypés, des réunions politiques, d’Eddy Merckx, de Nixon, et de Sartre houspillé chez Renault…
L’Empire des Loups
Femme d'un haut fonctionnaire parisien, Anna souffre d'amnésie, d'hallucinations terrifiantes. Une psychiatre lui révèle alors qu'elle a subi une opération de chirurgie esthétique importante. Quand, où, pourquoi, de cela Anna ne se souvient pas… Dans le Xe arrondissement de Paris, deux policiers sont chargés d'élucider les meurtres particulièrement horribles de trois Turques qui travaillaient dans les ateliers clandestins. L'un est un jeune inspecteur quasi débutant, l'autre un vieux routier du district, arraché à sa retraite. Au cœur de l'enquête, « les loups gris », une organisation turque d'extrême droite, mêlée à tous les trafics, des tueurs impitoyables. Leur piste va croiser celle d'Anna qui, petit à petit, retrouve son passé dans les lambeaux de sa mémoire. Un chassé croisé sanglant, plein de bruits et de fureur, où proies et prédateurs, manipulés et manipulateurs se confondent dans les décors funèbres d'un Paris secret et d'un Istanbul de terreur, jusqu'aux confins perdus de l'Anatolie.