Raymond Barthel
Bien éduquer son chien
Votre chien dévaste l’appartement quand vous n’êtes pas là ? Il vous saute dessus et salit vos vêtements ? Il est intenable pendant les sorties ? Il grogne quand vous vous approchez de sa gamelle ? Si vous n’avez ni le temps ni les moyens d’engager un dresseur, Raymond Barthel, éducateur de chiens, vous explique comment éduquer votre animal, avec fermeté mais sans violence, qu’il soit petit ou adulte, à raison de quelques minutes par jour seulement. De nombreux conseils pratiques et pleins de bon sens vous permettront de faire face à toutes les situations : – comment choisir un chien ; – son arrivée à la maison ; – ses repas ; – où doit-il dormir ; – les chiens et les enfants ; – ses sorties ; – ses aboiements intempestifs ; – son agressivité.
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Alexandre et Alestria
Elle, c’est Alestria, l’enfant sauvage devenue reine des Amazones. Celles qui chevauchent les steppes, aiment la guerre, combattent les hommes et n ont pas peur de la mort. Lui, c’est Alexandre, fils de Philippe, roi de Macédoine, né à Pella en 356 avant J-C. Ayant soumis l’Asie Mineure et la Perse, vainqueur de Darius, il ne lui manque qu’une reine pour asseoir son empire absolu. Une reine à sa mesure ou à sa démesure qu’il rencontre sous les traits d’un guerrier invincible dans l’immense steppe de Mongolie.
Mitterrand et les 40 voleurs
7 avril 1994 : François de Grossouvre est retrouvé mort, suicidé dans son bureau à l’Élysée. Nouvelle affaire d’État. Conseiller et vieux compagnon du président de la République dont il est depuis trente-cinq ans l’éminence grise, Grossouvre connaît les moindres secrets de François Mitterrand. Depuis 1982 et mes premières grandes enquêtes sur la corruption socialiste, je le rencontre régulièrement, à l’abri des regards. Durant toutes ces années, il devient un ami et me livre d’inquiétantes confidences sur les coulisses de l’État PS, les réseaux de l’affairisme politique et les « 40 voleurs… » que le président de la République tolère autour de lui, encourage parfois, protège toujours.
J’ai regardé le diable en face
Ciudad Juarez, un million trois cent mille habitants. Ville frontière entre Mexique et Etats-Unis. Cité sans âme livrée au crime, à la drogue et à la violence des mafias. Sandra Khan, journaliste au San Francisco Chronicle, se retrouve confrontée à un monde où la peur et l'indifférence servent de terreau a l'inhumanité. Conviction et courage seront ses armes pour tenter de comprendre pourquoi des crimes abominables sont perpétrés contre des centaines de jeunes femmes sans que, depuis plus de dix ans, les autorités aient réussi à identifier les assassins ou leurs commanditaires. Mais Sandra n'en sortira pas indemne. Car personne ne peut regarder le Diable en face sans se brûler. Avec cette nouvelle enquête de Sandra Khan, Maud Tabachnik, après Douze heures pour mourir, nous entraîne une fois encore dans la terrifiante actualité du monde. L'énigme de Ciudad Juarez fascine autant qu'elle révolte pour une raison aussi aberrante que simple : les femmes y meurent parce que nées femmes.
L’homme qui voulait voir Mahona
1528. Une petite flotte de caravelles aborde les côtes inconnues de la Floride. Trois hommes survivent à l'expédition, anéantie par les naufrages, les épidémies et les flèches indiennes. Nunez Cabeza de Vaca, noble andalou, découvre, au lieu de l'Eldorado promis, des villages faméliques peuplés de primitifs candides, malades, profondément religieux. Au nom du Christ, ses compatriotes se livraient à des massacres. Au nom de Mahona, divinité de ces peuples, le conquistador apporte la paix, la guérison et l'amour. Une extraordinaire épopée commence, à la fois récit authentique et œuvre soulevée par la passion humaniste, le souffle de l'aventure et de la poésie, contée avec le style, l'art et la magie d'Henri Gougaud.