- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- Black wings and Blind angels
Sapphire
Black wings and Blind angels
With fierce candor and an unflinching eye, the highly praised author of Push journeys through the harsh realities of African American existence to find the « door to the possibility of now. » The heroes that emerge from these forty-seven vigorous poems confront the agony of betrayal as they strive in their quest for self-transformation and redemption. From the city streets to the rich landscape of dreams, each of these poems holds out the « black wings of expectation » offering the chance to emerge from the pain of the past and arrive at « the day you have been waiting for/when you would finally begin to live. » At turns alarming and inspiring, the raw lyrics and piercing wisdom of Black Wings & Blind Angels remind us of Sapphire’s place as a unique and fearless voice.
Vous aimerez aussi
La femme de papier
Renvoyée à sa plume après une fulgurante et torride liaison, une femme écrit à son amant. « Le cœur tendre, le ventre désœuvré », elle effeuille l’album de leurs souvenirs, de leurs folies. Avec les vrais mots de l’impudeur, elle invite le lecteur éberlué à la suivre dans un voyage mouvementé au bout de la sensualité… De son compagnon, nous ne connaîtrons que deux couleurs : le jaune de ses yeux et le vert de son pull… Mais nous découvrirons vite ses caprices et ses fantasmes auxquels elle se soumet, tout en laissant parler son propre corps. Jamais une femme n’est allée aussi loin dans l’évocation de sa vie érotique. Cela donne un roman libertin, une histoire de corps qui viendra mourir dans les profondeurs du cœur !
Bleu Blanc Rouge – Tome I et II
Tome I (Mariella) et II (Mathilde) – Paris, 1792. L’ordre ancien est tombé, comme les têtes sous le couperet de la guillotine. C’est le temps des idéaux et de l’élan révolutionnaire. Un nouveau monde, riche de possibilités, naît. Mais la république est jeune et vacillante, la nation, déchirée, les frontières, menacées. De guerres en nouvelles révolutions, de l’empire à l’occupation, Max Gallo nous emporte dans une grande fresque romanesque. Voici six familles dont le destin est lié à celui de la France. De génération en génération, ils chutent, luttent, se relève et marquent de leur empreinte la petite histoire dans la grande.
No pasarán, le jeu
Un magasin spécialisé, une caverne d'Ali Baba pour fanatiques de simulation sur petit écran. Mais le marchand, un vieil homme, remarque sur la poitrine d'Andreas un insigne auquel ses camarades n'avaient pas accordé d'attention. Il murmure « Ça ne finira jamais… » et leur donne un jeu. En leur ordonnant d'y jouer. Un jeu « d'enfer ». Quand le virtuel rejoint le réel, quand le passé pare l'actualité d'un désagréable air de déjà vu, le frisson n'est pas loin. Celui qui attend les trois héros de cette histoire est du genre « grand frisson ». Ils en ressortiront profondément bouleversés, tout comme le lecteur de ce roman qui se déroule sur fond de guerre, proche et lointaine à la fois, en Bosnie, et où ressurgissent les fantômes des poilus de 14-18, des martyrs de la guerre d'Espagne, des déportés de la Seconde Guerre mondiale. Une plongée passionnante dans l'étrange et dans la réalité, en même temps qu'une terrifiante approche des sentiments humains les plus vils.
Plumes de sang
John Wolf est un véritable loup que l'unique désir de vengeance habite. Il veut la destruction de ce monde dont il a été injustement la victime. Pour lui, une seule manière de rétablir l'ordre : le meurtre.
Depuis des années, il chasse et traque ses victimes avec un sadisme sans cesse renouvelé, en toute impunité. Malgré quarante-deux meurtres déjà perpétrés, il persiste sans que les enquêteurs aient jamais pu le confondre ou même établir un lien entre tous ces crimes. Et pourtant, la prochaine victime n'est-elle pas une proie trop idéale pour ne pas tout faire basculer ?
Une lente valse macabre commence.
Un thriller insolite et dérangeant, mené avec une virtuosité inouïe par John Philpin et Patricia Sierra, qui dressent le fascinant portrait d'un homme au double visage : citoyen ordinaire et serial killer.