- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Bob Morane 30 – Les guerriers de l’ombre jaune
Henri Vernes, Coria
Bob Morane 30 – Les guerriers de l’ombre jaune
Ressusciter des hommes mis en hibernation pour en faire des guerriers fanatisés ? L’Ombre Jaune ne se refuse rien. Et, pour Bob Morane, ce combat se revèlera vite… être une aventure au-delà du possible.
Vous aimerez aussi
Frères d’armes
Ils étaient trois légionnaires: Morgan, l'éternel rebelle, Riss, l'Alsacien, rescapé de Stalingrad, Tiercelin, l'ancien des Brigades Internationales. Ils s'étaient perdus en 1945, en Europe, sur les Sentiers de la Guerre. Ils se retrouvent, en mars 1948, au bord de cette route de jungle où a commencé la vraie guerre d'Indochine. Ce soir-là, dans la fureur du combat, chacun d'eux va découvrir une raison personnelle de se battre. Pour Morgan, ce sera Chantuk, une plantation du Laos à laquelle il rendra vie. Pour Riss, Thi Ba, la paysanne tonkinoise à travers laquelle il épousera l'Asie. Pour Tiercelin, N'guyen Binh, le sanguinaire général viêt-minh, le borgne qui mourra misérablement abattu par les siens. De Saigon à la R.C. 4, du Mékong au Plateau Moï, Morgan, Riss et Tiercelin, ces frères d'armes, poursuivent leur destin d'hommes emportés par le cours inexorable de la guerre d'Indochine…
The flame trees of Thika
En Anglais – In an open cart Elspeth Huxley set off with her parents to travel to Thika in Kenya. As pioneering settlers, they built a house of grass, ate off a damask cloth spread over packing cases, and discovered—the hard way—the world of the African. With an extraordinary gift for detail and a keen sense of humor, Huxley recalls her childhood on the small farm at a time when Europeans waged their fortunes on a land that was as harsh as it was beautiful. For a young girl, it was a time of adventure and freedom, and Huxley paints an unforgettable portrait of growing up among the Masai and Kikuyu people, discovering both the beauty and the terrors of the jungle, and enduring the rugged realities of the pioneer life.
Des grives aux loups – Tome 2 – Les palombes ne passeront plus
Le Prix des Libraires 1980 a couronné « Des grives aux loups », le premier tome du grand roman de Claude Michelet qui se poursuit et s’achève dans le volume que voici. Le retentissement de cet ouvrage, dans le public français s’affirme profond et durable. Il est la juste récompense d’une œuvre qui parle au cœur, où tout – personnages et situations – est vrai et où la France entière, celle des villes comme celle des champs, se reconnaît et retrouve ses sources vives… Nous avons laissé la famille Vialhe et le village de Saint-Libéral au lendemain de la Grande Guerre; dans le bourg qui se réveille, la nouvelle génération affronte un monde nouveau…
Henri IV
Dans la mémoire des Français, Henri IV est le seul roi à n’avoir connu aucune disgrâce. Sa mort l’a auréolé d’une indestructible popularité et son règne est vite devenu l’auberge espagnole de notre histoire. Le Gascon caustique méprisant la peur, l’homme d’action ennemi des parlottes, le bon vivant, l’homme de la poule au pot, le Vert-Galant sûr de ses conquêtes : autant d’images d’Epinal que Jean-Pierre Babelon réajuste sans parti pris ni complaisance, pour expliquer le phénomène Henri IV.Le 1er août 1589, assiégeant Paris en pleine rébellion, Henri III, victime d’un attentat, murmure à celui qui sera demain Henri IV :« Vous voyez comme vos ennemis et les miens m’ont traité. Il faut que vous preniez garde qu’ils ne vous en fassent autant. » Le dernier des Valois disparu, Henri de Navarre devient roi d’une France déchirée par les guerres de la Ligue, où la monarchie traverse un de ses pires moments.Cinq ans sont nécessaires au premier Bourbon pour ouvrir les portes de la capitale, quatre autres pour apaiser les armes et les consciences. Il ne lui reste que douze ans pour créer, avec l’aide de Sully, un Etat moderne : l’économie, l’agriculture, l’urbanisme, l’université, il n’a de cesse de tout réorganiser et de continuer la tradition monarchique séculaire, comme s’il avait su que peu de temps lui était octroyé pour accomplir sa tâche.Pour Henri IV, ce célibataire mal marié, qui se reconnaissait trois plaisirs, la guerre, la chasse et l’amour, la plus grande joie fut sans doute la naissance du dauphin, le futur Louis XIII. Il avait alors 48 ans. Après avoir rétabli l’unité de son royaume et assuré le « bien-être de ses peuples », il fondait une nouvelle dynastie. Le fils de Jeanne d’Albret pouvait-il rêver d’une plus belle destinée ?Au bout du compte, un caractère et un comportement peu ordinaires, un pragmatisme et un relativisme qui tranchent vigoureusement sur les mentalités de l’époque, et un esprit qui nous est étrangement proche.