Véronique Richard
Broderie en relief
Richesse des thèmes : floraux (fleurs et feuilles…), petits insectes (papillons, libellules, coccinelles…), oiseaux (plumes et ailes…). 20 motifs à broder. 12 applications décoratives : la broderie peut être montée sur une bague, décorer un cadre à photo ou un flacon de parfum. Un ouvrage pratique. L’introduction fait le point sur le matériel nécessaire et explique dans le détail des différents points de broderie utilisés dans l’ouvrage. Chaque motif est précisément expliqué à l’aide de gros plans, de schémas et de gabarits.
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ESPRIT KACHINA – Edition bilingue (anglais/français)
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Textes Français-Anglais de B. Wright, P. Amrouche, F. Ndiaye et N. Rheims
Plus de 100 poupées kachina reproduites et décrites
Poupées, mythes et cérémonies chez les Indiens Hopi et Zuni. Catalogue de l’exposition de la Galerie Flak (avril-juin 2003). Essais de Pierre Amrouche (Kachina et Surréalisme. La geste Hopi d’André Breton et ses amis) et Barton Wright (Poupées Kachina, mythes et cérémonies des Indiens Hopi). Nombreuses illustrations en couleurs.
Pour en savoir plus : www.galerieflak.com/ouvrage-esprit-kachina/
Petit dico de U2
De leur rencontre dans une petite cuisine de Dublin aux plus grands stades du monde, les quatre membres de U2 sont devenus en une trentaine d’années les acteurs du plus grand groupe de rock du monde. Concerts gigantesques, albums mythiques vendus à des millions d’exemplaires, U2 enchaîne les succès et les records sans jamais décevoir les fans. Un groupe désormais légendaire emmené par un Bono tout aussi capable de s’engager dans les plus grandes causes humanitaires. Quand le rock va à la rencontre de l’intelligence, quand la musique flirte avec l’engagement politique U2 n’est jamais très loin. De «Another Day» à «Zooropa», en passant par «Bloody Sunday», «Nelson Mandela» ou encore «Jean-Paul II», sans oublier toutes les références à la France, revivez à travers plus de 100 mots, l’histoire incroyable et inattendue de quatre adolescents, bouleversés par une Irlande déchirée par la guerre civile, et devenus, depuis, quatre monstres du rock mondial.
Erotique du cimetière
FRANÇAIS, 218pp, nombreuses photographies de sculptures funerarias.SOBRE l’auteur : André Chabot, les cimetières de spécialiste et l’art funéraire. Photographe, artiste, journaliste, urnes de créateurs et des pierres tombales. André Chabot est un artiste français né en 1941 à Saint- Etienne et présenté comme un nécropolitain walker. Son travail pour plus de 30 années consacrées à la mort. Le photographe, qui ramasse les tombes en noir et blanc, des mausolées, tombes, cénotaphes et les catacombes. Un grand voyageur, était un superbe tombes de mémoire photographiques, des cimetières dans le monde entier. Ses photographies de monuments, plus de 160 000 par jour, un fonds et sont cosmopolites en constant développement. Artiste crée des installations où le tombeau parle et porte le cercueil revisité ses fantasmes. Professeur émérite de lettres, écrivain, journaliste, André Chabot discute mort dans tous ses aspects. Conception et monuments urnes , installé trois de ses créations dans le cimetière du Père- Lachaise à Paris. Environ 600 pièces, dont plus de 90 expositions personnelles, marquent son cours en Allemagne, Belgique, Canada, Croatie, Espagne, États-Unis, France, Pays-Bas, Italie, République tchèque, Slovénie, Suisse Bosnie.
Deux heures à tuer au bord de la piscine
Victor Lanoux n’avait pas voulu, jusqu’ici, évoquer ses presque quatre fois vingt ans d’existence. Se confiait-il seulement à son oreiller ? Pas sûr. Devant cette piscine, il se raconte, enfin, pour la première fois… Quand Victor Lanoux trimballe sa carcasse au bord d’une piscine, d’un plan d’eau, avec même deux heures à tuer, il est permis de se poser des questions. Surtout que l’on sait que nulle caméra ne s’agite dans les parages campagnards. Et vous avez raison de trouver étrange le tête-à-tête de cet homme avec lui-même. De l’insolite, du baroque, du singulier, du jamais vu. Lanoux n’avait pas voulu, jusqu’ici, évoquer ses presque quatre fois vingt ans d’existence. Se confiait-il seulement à son oreiller ? Pas sûr. Devant cette piscine, il se raconte enfant, il quitte son amnésie, afin de se mettre à table et de faire une sorte de point. On croyait, certains privilégiés du moins, connaître le comédien, deviner l’homme au caractère peu malléable, voire fougueux. Il n’en était rien. Quand là, triturant ses bâtons qui l’aident à tenir debout, il nous distille les joies, les brûlures de son existence, il n’essaie pas d’enjoliver, d’apitoyer. Il est vrai, authentique, touche juste. Et, dans ces remous de la piscine, remous causés par sa canne d’homme blessé, d’homme à vif, on l’entend évoquer toutes les étapes de sa vie et se rappeler ce que lui avait dit le poète René Char : « Victor, la vie, c’est l’éclair. »

