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Lindsay Swift
Brook farm
En Anglais – The definitive study of one of America’s most unusual experiments in establishing the ideal society. Introduction by Joseph Schiffman
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Trainspotting
En italien – Un pugno di ragazzi a Edimburgo e dintorni: il sesso, lo sballo, la rabbia, il vuoto delle giornate. Sono i dannati di un modernissimo inferno « chimico », con la loro vita sfilacciata e senza scampo. Alla ricerca di un riscatto, di un senso da dare alla propria esistenza – che non sia il vicolo cieco fatto di casa, famiglia e impiego ordinario – trovano nella droga e nella violenza l’unica risposta possibile. Sboccato, indiavolato, travolgente: l’esordio di un talento letterario, il romanzo shock che ha fatto epoca e dato voce a una nuova generazione.
Boule de suif
Rouen, occupé par les Prussiens, durant la guerre de 1870. Des bourgeois tentent de fuir la ville en diligence. Parmi eux se trouve une prostituée, celle qu’on surnomme Boule de suif. Tous vont abuser de sa générosité et la forcer à céder au chantage sexuel d’un Prussien. Maupassant dresse ici un portrait inégalé de l’hypocrisie et de la lâcheté humaines. Il condamne sans appel la guerre et la classe dirigeante, paternaliste et profiteuse. Il nous communique toute sa tendresse pour une fille au grand coeur, symbole d’une résistance vouée à l’échec.
Le Misanthrope
La pièce est accompagnée de questionnaires de lecture pour une approche méthodique du texte. Le cahier iconographique. Les thèmes majeurs de la pièce sont évoqués par de nombreuses photographies de mises en scène (Marcel Bluwal, Antoine Vitez…). Des questions de lecture de l’image sont proposées dans la rubrique « Le texte et ses images ». L’appareil critique : Biographie de l’auteur et genèse de l’œuvre. La préciosité. La représentation de la Cour. Les grands thèmes de la pièce : l’honnête homme, la misanthropie… Des groupements de textes sur la satire du jeu social (Du Bellay, Diderot…) et les portraits de femmes (Crébillon, Rousseau…).
Tibère
Tibère est-il un méconnu ? voire un homme calomnié ? On se le représente, d’après Tacite, méfiant et cruel, perché sur son flot rocheux de Capri comme un vieil aigle cruel, prompt à fondre sur ses adversaires, réels ou présumés, pour les déchirer. Est-ce là la véritable image que l’Histoire doit garder de lui ?. Woilhelm Gollub, un des maîtres de la jeune école artistique d’Allemagne, rompt avec les jugements tout faits. Il nous montre un Tibère modeste, laconique et secret, plus humain qu’un vain peuple ne pense, un chef surtout passionné de son métier d’empereur, embrassant les questions dans leur ensemble, mais sachant aussi contrôler les détails, un prince qui avait au plus haut degré le sens de ses responsabilités, de ses devoirs d’état. Si Tibère fut à maintes reprises sévère jusqu’à l’apparente cruauté, ne serait-ce pas tout simplement en vertu de la fatalité qui pèse sur tous les dictateurs ? M. Gollab n’aurait-il pas pensé à tels ou tels de nos dictateurs modernes, que l’Histoire juge aussi avec sévérité ? Ce portrait d’un homme va loin dans l’analyse des conditions où s’exerce les gouvernements des hommes.