Joachim Barbier
Ce pays qui n’aime pas le foot
A la faveur des événements qui ont déclenché des polémiques nationales depuis dix ans – grève des Bleus en Afrique du Sud, banderole anti-Ch’tis des supporters du PSG, Marseillaise sifflée, main de Thierry Henry, affaire des quotas -, Ce pays qui n’aime pas le foot s’applique à déconstruire le discours désormais établi qui consiste à critiquer le football – soi-disant malade de trop d’argent -, les footballeurs – qualifiés de caïds ou de mercenaires – et les supporters – souvent dépeints comme des hordes sauvages. C’est une réponse aux commentaires de ceux qui considèrent que le football illustre toutes les dérives de notre société. Journalistes, entraîneurs, joueurs, ex-ministres des Sports, intellectuels… Le livre leur donne la parole et relève les limites de leur discours. En creux, il décrypte pourquoi le football est devenu un enjeu pour ceux qui veulent imposer leur morale et leur pensée politique, que l’on parle d’identité nationale, de minorités, de réussite sociale ou encore de banlieues. Cet ouvrage est donc à la fois une déclaration d’amour au football et aux émotions qu’il procure, au plaisir de se rendre au stade, et une contre-attaque argumentée envers tous ceux qui souhaitent faire de ce sport une activité pour jeunes gens bien élevés.
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Les gueux du stade (vie et mort du sport belge)
La Belgique est un pays d’images, de signes et de symboles, où toutes les vérités sont prises nécessairement pour les lanternes. Heureusement, d’ailleurs : cette éprise quotidienne est la condition de son existence. Les belges sont contraints de s’imaginer tels qu’ils ne sont pas : comme des gens « à qui on ne la fait pas », par exemple. Des sceptiques, des finauds, des grands pragmatiques. Alors qu’ils sont ballottés par les évènements et gouvernés par les émotions. Au point que leur mythologie elle-même est sujette à d’infinies variations. Comme pour toutes les nations au XXème siècle, le sport a été en Belgique un puissant constituant mythologique. Mais en vain, le réel, ici, n’a jamais rejoint le fantasme. Au contraire, il s’en est éloigné. Le mythe sportif belge a vécu sa propre vie, à l’écart des réalités nationales. Ce mythe rappelle ces tableaux d’Ensor où tant de personnages s’avancent masqués : la Belgique de 1830 est morte, mais elle continue à grimacer sous le masque des Diables rouges et de quelques champions, de moins en moins nombreux ….
Le sportif peut-il être en forme au lit et dans le stade ? Quelles sont les conséquences de la vie privée sur la performance sportive (et inversement) ? Peut-on mener de front vie sensuelle et carrière sportive ou bien faut-il mettre entre parenthèses sa libido le temps de récolter quelques médailles ? Depuis des décennies, ces questions délicates obsèdent les vestiaires et restent sans réponses ; il est grand temps de briser la loi du silence qui prévaut en ce domaine. Et ce d’autant plus que – on le devine ici au travers de nombreux témoignages d’athlètes, d’entraîneurs et de médecins du sport – le sexe tient une place prépondérante dans la vie du sportif et influe de façon déterminante sur ses résultats. Si les dirigeants, les entraîneurs, maîtrisent presque parfaitement tous les paramètres de la compétition, l’activité sexuelle du sportif continue d’être abordée par les responsables fédéraux avec un empirisme plus ou moins heureux. Malgré l’évolution des mœurs, l’attitude du monde sportif concernant ” la sexualité athlétique ” reste indécise et maladroite. En explorant, un par un, tous les pans de la sexualité du monde sportif, Tristan Alric lève d’abord avec brio un coin du voile qui recouvre encore trop souvent la vie sensuelle des champions du stade. Mais en abordant aussi les questions pratiques (quel sport pour la sportive enceinte ? quelle sexualité pour le sportif blessé ? etc.), il apporte des éléments d’information et de réflexion utiles aux sportifs soucieux d’harmoniser vie sensuelle et pratique sportive au plus haut niveau.
Putting découverte
Après le succès de “Golf mode d’emploi” et “Golf le savoir-faire”, le “méthode Tairraz” s’est imposée par son efficacité. Les deux premiers volumes initiaient pas à pas le joueur, des bases du jeu à l’approche d’un parcours complet, pour lui permettre d’affronter des partenaires de handicaps différents. Le troisième volume “Golf putting découverte”, révèle tous les secrets de la réussite du putting ainsi que son importance capitale dans la réalisation d’un parcours en un minimum de coups. En effet, sur le score initial de 72 coups d’un parcours classique, la moitié sont des coups d’approche pour atteindre le green et quel que soient le niveau du joueur, leur nombre est pratiquement incompressible. Par contre, sur le green, le score de l’autre moitié des coups, joués au putting, peut facilement s’améliorer. “Golf putting découverte” est une véritable leçon particulière.

