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Karlis Osis, Erlendur Haraldsson
Ce qu’ils ont vu au seuil de la mort
La mort est la dernière manifestation de la vie individuelle mais peut-être est-ce aussi la première d’une autre dimension qui nous est encore inconnue. C’est ce que tend à démontrer ce dossier essentiel élaboré à partir des témoignages et des études d’une équipe internationale constituée de chercheurs et de personnel médical. Expression d’un immense amour de la vie, cet ouvrage, où des mourants relatent leur vision de l’au-delà et leur accession à des types de perceptions extra-sensorielles, est aussi porteur d’un immense espoir.
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Y a-t-il 2 églises ? Et qu’est-ce qu’au juste qui les sépare ? La rupture porte-t-elle sur le fond ou sur la forme ? S’agit-il de soutanes ou bien de dogmes et de morale ? Des évêques onanistes et avorteurs auraient-ils trahi l’Évangile ? L’auteur organise sagement, méthodiquement, scrupuleusement sa réponse autour de documents capitaux : cités ou ressuscités, ils bouleversent les certitudes paresseuses, font sursauter les consciences tranquilles, violentent les âmes assoupies, dans une lumière originale de piété et d’insolence qui ne laisse indifférent ni croyant ni mécréant.
Jean-Marie Lustiger, cardinal républicain
Actes du colloque tenu au Collège des Bernardins le 9 décembre 2008, organisé par le Service Pastoral d’Études Politiques, en partenariat avec l’Institut Jean-Marie Lustiger et le Collège des Bernardins. « Le 10 août 2007, lors des obsèques de Jean-Marie Lustiger, sont présents – fait inédit pour un archevêque de Paris – le Président de la République, les Présidents de l’Assemblée Nationale et du Sénat, la moitié du Gouvernement et de nombreux parlementaires, sans oublier Lech Walesa, le héros de Gdansk, la figure emblématique de la résistance paisible, efficace, spirituelle au totalitarisme communiste. Pourquoi ? Si ce n’est parce que beaucoup ont reconnu en Jean-Marie Lustiger un interlocuteur singulièrement précieux, un pasteur à la parole vigoureuse, libre, dérangeante mais capable aussi de rejoindre vraiment ses interlocuteurs et de les éveiller aux enjeux les plus profonds. » Sont présentées dans ce volume les contributions de : Philippe Portier, Dominique Wolton, Eric de Moulins-Beaufort, Philippe Vallin, Alain Madelin, Jean-Luc Marion, Jean-Pierre Raffarin, François Bayrou, Manuel Valls et du cardinal André Vingt-Trois. On y lira également les extraits inédits de l’audition du Cardinal Lustiger devant la « Commission de réflexion sur l’application du principe de la laïcité dans la République », 23 septembre 2003.
Paranormal – Une vie en quête de l’au-delà
Que se passe-t-il après la mort ? Atteint d’une maladie non diagnostiquée et en pleine dépression, le Dr Raymond Moody en a eu un premier aperçu lorsqu’il tente de se suicider à l’âge de 47 ans. Ce qu’il entrevoit alors le pousse à s’interroger plus encore sur la fascination pour l’au-delà qui l’anime depuis sa prime enfance. À 23 ans seulement, Raymond Moody est le premier à s’engager dans la recherche sur les Expériences de Mort Imminente, un domaine inexploré à cette époque. Recueillant des témoignages et s’essayant à des expériences sous hypnose, il s’emploie à examiner la possibilité de vies antérieures et de réincarnation dans le but d’instaurer un dialogue entre les vivants et les morts. Dans son centre de recherche, le « Théâtre de l’Esprit », de nombreuses personnes se sont prêtées elles aussi à son questionnement, un questionnement que la science avait exclu de son champ d’investigation.
The political ideas of St Thomas Aquinas
En Anglais – St. Thomas Aquinas, the chief spokesman of medieval scholasticism, was born at Aquino, a tiny place near Naples and from the name of the place he received the title Aquinas. But he is better known as Thomas and his thought is known to us as Thomism. He belonged to an aristocratic Italian family which had connections with European kings and emperors. In order to be a church father and to devote his life to the cause of Christianity and study he surrendered his title “Count.” He joined the Dominican Order at the age of nineteen and for this purpose he had to fight his family. He studied in Naples, Cologne and Paris and in the last mentioned place he delivered several lectures on philosophy and theology. At the age of forty- eight he died.