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Karlis Osis, Erlendur Haraldsson
Ce qu’ils ont vu au seuil de la mort
La mort est la dernière manifestation de la vie individuelle mais peut-être est-ce aussi la première d’une autre dimension qui nous est encore inconnue. C’est ce que tend à démontrer ce dossier essentiel élaboré à partir des témoignages et des études d’une équipe internationale constituée de chercheurs et de personnel médical. Expression d’un immense amour de la vie, cet ouvrage, où des mourants relatent leur vision de l’au-delà et leur accession à des types de perceptions extra-sensorielles, est aussi porteur d’un immense espoir.
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« Le 11 septembre 2001, j’ai été réveillé par une explosion qui a changé à jamais la face du monde: un avion venait de s’écraser sur le World Trade Center. Je suis monté sur le toit de mon immeuble juste à temps pour voir un deuxième avion percuter les tours. Ce n’était pas un accident. C’était une attaque terroriste. » J’ai dévalé l’escalier et me suis précipité sur mon ordinateur pour scruter le code ancien, le code secret de la Bible. Je savais que j’y trouverais une confirmation, voire une révélation de ce que le sort nous réservait. » Ce dont je venais d’être témoin y était décrit, en caractères hébreux. « Tours jumelles » était codé dans l’antique texte sacré. « Avion » apparaissait précisément au même endroit. Et, transversalement à ces deux mots: « Il a causé la chute, abattu. » L’attentat du 11 septembre 2001 avait été codé dans la Bible trente siècles plus tôt. »Démontrée par un grand mathématicien, portée à la connaissance du public par un livre au retentissement mondial, l’existence d’un code caché dans le texte même de la Bible a suscité un ardent débat. Or, les prédictions du code ne cessent de se vérifier – et leur message ne peut qu’inquiéter. Sommes-nous entrés dans « la fin des jours ? »
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Si le nom de Gagarine fait spontanément penser à un célèbre cosmonaute russe, il désigne ici une personnalité religieuse hors du commun à bien des égards. Prince russe, jeune diplomate promis à une brillante carrière, le prince Ivan Gagarine se convertit en 1842 au catholicisme et entre au noviciat des jésuites l’année suivante. En 1855, devenu le père Jean Gagarine, il commence à mettre en place la Bibliothèque slave de Paris, avec le souci de rapprocher la Russie orthodoxe et le catholicisme occidental. C’est dans cette perspective qu’il fonde en 1856 la revue Etudes, qui continue jusqu’à aujourd’hui et fait preuve d’un beau dynamisme. Son journal est édité pour la première fois en français dans sa version intégrale : marqué dans son écriture par l’époque romantique, il évoque à la fois son parcours de diplomate et son cheminement spirituel.
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Si l’on veut garantir pleinement la liberté religieuse, il faut permettre aux croyants des différentes religions de pratiquer leur culte. Dans la société pluriculturelle qui est aujourd’hui la nôtre, où se mêlent dorénavant les traditions religieuses, le libre exercice des cultes se heurte à de nombreuses difficultés. Désormais, la République française ne peut ignorer le fait religieux. Ce livre retrace l’histoire des relations entre les Églises et l’État depuis le début de notre ère jusqu’à aujourd’hui. Il contribue ainsi à éclairer le débat actuel et fait le point sur les problèmes posés par la montée des intégrismes, notamment du phénomène sectaire.
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