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Karlis Osis, Erlendur Haraldsson
Ce qu’ils ont vu au seuil de la mort
La mort est la dernière manifestation de la vie individuelle mais peut-être est-ce aussi la première d’une autre dimension qui nous est encore inconnue. C’est ce que tend à démontrer ce dossier essentiel élaboré à partir des témoignages et des études d’une équipe internationale constituée de chercheurs et de personnel médical. Expression d’un immense amour de la vie, cet ouvrage, où des mourants relatent leur vision de l’au-delà et leur accession à des types de perceptions extra-sensorielles, est aussi porteur d’un immense espoir.
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La Bible : le code secret II
« Le 11 septembre 2001, j’ai été réveillé par une explosion qui a changé à jamais la face du monde: un avion venait de s’écraser sur le World Trade Center. Je suis monté sur le toit de mon immeuble juste à temps pour voir un deuxième avion percuter les tours. Ce n’était pas un accident. C’était une attaque terroriste. » J’ai dévalé l’escalier et me suis précipité sur mon ordinateur pour scruter le code ancien, le code secret de la Bible. Je savais que j’y trouverais une confirmation, voire une révélation de ce que le sort nous réservait. » Ce dont je venais d’être témoin y était décrit, en caractères hébreux. « Tours jumelles » était codé dans l’antique texte sacré. « Avion » apparaissait précisément au même endroit. Et, transversalement à ces deux mots: « Il a causé la chute, abattu. » L’attentat du 11 septembre 2001 avait été codé dans la Bible trente siècles plus tôt. »Démontrée par un grand mathématicien, portée à la connaissance du public par un livre au retentissement mondial, l’existence d’un code caché dans le texte même de la Bible a suscité un ardent débat. Or, les prédictions du code ne cessent de se vérifier – et leur message ne peut qu’inquiéter. Sommes-nous entrés dans « la fin des jours ? »
The political ideas of St Thomas Aquinas
En Anglais – St. Thomas Aquinas, the chief spokesman of medieval scholasticism, was born at Aquino, a tiny place near Naples and from the name of the place he received the title Aquinas. But he is better known as Thomas and his thought is known to us as Thomism. He belonged to an aristocratic Italian family which had connections with European kings and emperors. In order to be a church father and to devote his life to the cause of Christianity and study he surrendered his title “Count.” He joined the Dominican Order at the age of nineteen and for this purpose he had to fight his family. He studied in Naples, Cologne and Paris and in the last mentioned place he delivered several lectures on philosophy and theology. At the age of forty- eight he died.
Dieu et les hommes
« Au nom du Dieu Amour tu aimeras » dit l’abbé Pierre. « Au nom des Hommes tu en sauveras un même si tu ne peux les sauver tous » dit Bernard Kouchner. L’un est prêtre de Dieu, l’autre a cherché Dieu dans ute ltoute les horreurs et trahisons du monde et ne l’a pas trouvé. L’un et l’autre sont les révolutionnaires de la charité et de l’aide humanitaire ; l’un et l’autre sont écoutés car ils sont de ceux, si rares, qui allient contre tous les obstacles la parole à l’action, la générosité au courage. Ils nous disent combien il est urgent de sortir de nos maisons, de nos égoïsmes, de nous réveiller, de nous lever et de tendre la main.
Journal 1833 – 1842 (Prince Ivan S. Gagarine)
Si le nom de Gagarine fait spontanément penser à un célèbre cosmonaute russe, il désigne ici une personnalité religieuse hors du commun à bien des égards. Prince russe, jeune diplomate promis à une brillante carrière, le prince Ivan Gagarine se convertit en 1842 au catholicisme et entre au noviciat des jésuites l’année suivante. En 1855, devenu le père Jean Gagarine, il commence à mettre en place la Bibliothèque slave de Paris, avec le souci de rapprocher la Russie orthodoxe et le catholicisme occidental. C’est dans cette perspective qu’il fonde en 1856 la revue Etudes, qui continue jusqu’à aujourd’hui et fait preuve d’un beau dynamisme. Son journal est édité pour la première fois en français dans sa version intégrale : marqué dans son écriture par l’époque romantique, il évoque à la fois son parcours de diplomate et son cheminement spirituel.