Laeticia Cénac, Valérie Hanotel
Celles qui n’ont jamais rien à se mettre
Un guide pratique et insolent. 100 pages de conseils, un test et un carnet d’adresses. 35 couturiers croquent l’élégance 88. Le témoignage de 15 hommes et de 15 femmes célèbres.
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Mes nuits sont plus belles que vos jours
Un homme, une femme, un hôtel, les draps d’un lit, la chaleur d’un mois de juillet, la lune et la mer: avec ces seuls éléments, Raphaële Billetdoux construit son roman qui a la rigueur d’une tragédie antique, où trois nuits sont toute une vie. Mes nuits sont plus belles que vos jours est le roman d’une rencontre. Toute rencontre est un risque ; à la première minute, aux premiers mots échangés, l’histoire, déjà est en marche. Chez Raphaële Billetdoux, violence et sensualité se confondent dans ce style qui est le sien, tout en couleurs et en éblouissements.
Les loups de Lauzargues – 3 – Félicia au soleil couchant
Après Jean de la Nuit et Hortense au point du jour voici le troisième volet des aventures d’Hortense de Lauzargues, jeune héritière, riche, belle et passionnée, et de son amie Félicia Orsini, comtesse Morosini qui, par vengeance, a voué sa vie à la restauration de l’Empire français.
Comme dans les deux précédents volumes, le coeur d’Hortense demeure attaché à cette sauvage région de l’Auvergne, où elle a rencontré et aimé d’un amour impossible le meneur de loups que l’on appelle Jean de la Nuit.
Pour venir en aide à Félicia, Hortense devra rejoindre le Paris de Louis-Philippe où l’attendent d’étranges surprises. Mais il lui faudra cette fois aller beaucoup plus loin, jusqu’au rives du Danube où à Vienne, l’Aiglon, captif de Metternich, rêve de gloire et s’étiole au son des valses de Strauss et de Lanner.
Ce roman galope sur les chemins de la peur et de l’intrigue mais aussi de l’amour, et c’est toute une époque qui se déroule au fil des pages pour réveiller la passion, rafraîchir la mémoire et redonner le goût d’un autrefois plein de charme et de couleur.
Lettres choisies
Madame de Sévigné nous raconte son temps à travers les lettres qu’elle adressa à sa fille (deux tiers de ses lettres), ainsi qu’à divers personnages. Une chronique fort intéressante de la seconde moitié du XVIIe siècle. Vous sont proposées ici quatre-vingt neuf lettres parmi ses plus connues, dans l’édition de Saint-Beuve, publiée par Garnier Frères en 1923.
Moderato Cantabile
« Qu’est-ce que ça veut dire, moderato cantabile ? – Je ne sais pas. » Une leçon de piano, un enfant obstiné, une mère aimante, pas de plus simple expression de la vie tranquille d’une ville de province. Mais un cri soudain vient déchirer la trame, révélant sous la retenue de ce récit d’apparence classique une tension qui va croissant dans le silence jusqu’au paroxysme final. « Quand même, dit Anne Desbarèdes, tu pourrais t’en souvenir une fois pour toutes. Moderato, ça veut dire modéré, et cantabile, ça veut dire chantant, c’est facile. »