- Home
- >
- Livre rare
- >
- Chalys d’Harlem
Lamine Diakhaté
Chalys d’Harlem
Roman d’une migration particulière, Chalys d’Harlem raconte le parcours d’un matelot sénégalais entre 1919 et 1959 de sa ville natale Rufisque en passant par Marseille, Le Havre et Southampton. Pour finir « notable de la 125ème rue » à Harlem. Homme politique, Lamine Diakhaté (1928-1987) est aussi un écrivain et critique littéraire de la négritude.
Vous aimerez aussi
Pérou – Au soleil des incas
Jacques Cornet a accompli sept périples à travers le monde durant un total de trois années et demi de son existence, répartis sur quinze ans entre 1953 et 1968 pour une somme kilométrique de près de cinq fois et demi la circonférence terrestre, l’Océanie et l’Antarctique étant les deux seuls continents non visités par son véhicule. Ses itinéraires de 1953, 1960 et 1964 ont donné lieu à des conférences-débats à partir de ses propres films et documents sonores.
Le cas Wallenberg
Raoul Wallenberg, né le 4 août 1912 près de Stockholm, et dont la date de décès reste incertaine, est un diplomate suédois. Héritier de l’empire industriel et financier de la famille Wallenberg, il a mené une carrière d’homme d’affaires dans plusieurs pays avant d’être envoyé à Budapest pendant la Seconde Guerre mondiale. Il bénéficiait d’un statut de diplomate, avec pour mission de contribuer à sauver les Juifs de Hongrie. Il utilisa la possibilité de délivrer des passeports temporaires déclarant que leurs possesseurs étaient des citoyens suédois en attente de rapatriement. Il négocia également avec des officiels nazis, comme Adolf Eichmann, afin d’obtenir l’annulation de déportations. Wallenberg sauva ainsi environ 20’000 Juifs. Il fut arrêté le 17 janvier 1945 par l’Armée rouge, probablement soupçonné d’être un espion à la solde des États-Unis. Ce qui lui arriva ensuite n’est pas connu. Selon la version officielle des Soviétiques, il serait mort en 1947, d’une crise cardiaque pendant sa captivité, mais des témoins ont affirmé l’avoir vu vivant dans les prisons de Russie ou de Sibérie jusque dans les années 1980.
Bank
Serrant de près l’actualité, ce nouveau grand roman est aussi révélateur que la plus méticuleuse des enquêtes. Il nous raconte l’histoire fascinante d’une grande banque, de l’argent qu’elle contrôle et de ces hommes avides qui le manient, qui le convoitent et qui se battent pour le pouvoir qu’il représente. Des hommes de tous les niveaux, il faut le préciser, depuis les caïds du conseil d’administration, qui hantent les coulisses du monde politique aussi tranquillement que celles du monde des affaires, brassant quotidiennement des sommes qui font rêver, jusqu’à ce jeune cadre, Miles Eastin, préoccupé par quelques milliers de dollars, et que nous suivrons des caisses de la banque jusqu’aux bas-fonds du crime… Des hommes et des femmes comme on en trouve partout : les irréprochables et ceux qu’on peut acheter, les puritains et les libertins, les ambitieux et les idéalistes…. mais tous liés par cette entreprise énorme et toute-puissante qu’est une banque moderne. Avec sa force habituelle, et la connaissance profonde qu’il a acquise, ici et là, des milieux de la banque et de l’argent, Arthur Hailey ne cache rien, dans cette histoire mouvementée, des vérités les plus terribles, les plus étonnantes -qu’il s’agisse de l’inflation, des cartes de crédit, de la corruption, ou de la « santé » des affaires les plus prestigieuses
Le cœur qui cogne
Douze ans après la mort du fils aîné, parents, enfants et petits-enfants Dauzan se retrouvent au Rivier, la maison familiale qui fut le théâtre de leur bonheur… avant. Au jeu des tendresses que chacun veut croire possibles encore, tous se heurtent, s’évitent, se rejoignent avec tant d’espoir mais aussi tant de maladresse que, parfois, le cœur cogne à faire très mal. Le Cœur qui cogne est un roman tendu, émouvant. chaque phrase, chaque mot est à sa manière un indicible et farouche appel au secours. on y retrouvera toute la violence contenue, la passion et la sensibilité des romans d’Yves Navarre. La tendresse, ici, est un hasard à double tranchant.