- Home
- >
- Grand format
- >
- Chambres – Couettes, draps, oreillers…
Heather Luke
Chambres – Couettes, draps, oreillers…
Plus de 25 modèles en tout genre, des plus raffinés aux plus simples, couettes, oreillers, couvre-lits, draps, etc… dans une grande variété de tissus et de styles. Une foule d’idées pour agrémenter et accessoiriser vos réalisations.
Vous aimerez aussi
Le compte à rebours
Le compte à rebours est en marche. Si rien ne vient l’interrompre, le Front national arrivera au pouvoir. L’antilepénisme ne suffira pas à l’arrêter. Car nous sommes déjà entrés dans l’après-Le Pen, et le Front national sera beaucoup plus dangereux sans son leader actuel. Alors, regardons les choses en face: la poussée de l’extrême droite n’est que l’expression politique d’une crise générale, pour la contenir il faut s’attaquer aux vrais problèmes de notre société. A la crise sociale d’abord, dont témoigne cruellement ce nouveau prolétariat de chômeurs et d’exclus toujours plus sensibles à la démagogie de l’extrémisme, à la crise financière aussi, entretenue par un déficit budgétaire qui oscille entre 15 et 20% d’une année sur l’autre, à la crise de l’immigration enfin, empoisonnée par les jeux pervers de la politique. Autant de rouages qui font tourner la machine infernale. La France est-elle victime du nouveau capitalisme mondial? Je ne le crois pas. Elle est mieux armée qu’aucun autre pays pour y résister, il ne tient qu’à elle de s’en protéger et d’en profiter tout à la fois. Notre malheur, c’est ce « modèle français » qui cache sous de beaux principes l’égoïsme, le conservatisme, l’impuissance et la plus brutale injustice. Le compte à rebours n’est pas une fatalité. A tout moment les Français peuvent se ressaisir et l’arrêter. Pour éviter l’intolérable, j’ai choisi de dire les vérités qui déplaisent. Voici comment nous pourrions parer au pire, et même gagner le meilleur.
Défense d’Aimer
Flora, Pierre. Elle est peintre, lui homme politique. Entre eux, de brefs moments, des étreintes passionnées. Et rien de plus. Surtout pas « je t'aime » Cela, Pierre n'en veut pas. Il advient pourtant que Flora se rebelle contre cette défense d'aimer. Elle est prête à tout comprendre, à admettre sa vie conjugale, les impératifs de sa carrière. Elle voudrait seulement partager davantage. Comment le lui dire ? Pourquoi chez l'homme cette peur des sentiments ? Pour le défier, pour se défier, Flora se jette dans les bras d'un autre… En un récit serré, économe, épris de l'essentiel, la romancière de La Maison de jade et La Maîtresse de mon mari dépeint les férocités et les vertiges de la passion.
Captive du temps
Brillante étudiante en histoire, Alexandra fait un jour une rencontre troublante avec un fantôme. Tout commence par la visite d’un musée de Boston et la découverte d’un portrait. Celui de Xavier Blackwell, dernier descendant d’une célèbre famille d’armateurs. Une silhouette élancée mais tout en muscle, de longs cheveux noirs, un regard pénétrant. C’est sans doute l’homme le plus séduisant qu’elle ait jamais vu. Un seul ennui : il est mort en… 1804 ! Dans des circonstances étranges : il a été exécuté par le sultan de Tripoli dont il avait enlevé la belle-fille. Est-ce l’ombre de Xavier qui vient désormais hanter les nuits d’Alexandra ? Oui, ces mains invisibles qui couvrent son corps de caresses brûlantes ne peuvent être que les siennes… Abandonnant tout, la jeune fille part pour Tripoli. Sur les traces de l’homme qui vécut deux siècles avant elle !
Dans la vallée des ombres
Harold Appleby est un drôle de type. Son métier capturer des serpents à sonnette pour en faire commerce. Son plus proche ami : Sam, un python de six mètres. Son péché mignon : séquestrer des petites filles. Alors, quand Suzanne Selby, une gamine de onze ans, disparaît, il y a de quoi s’inquiéter. Surtout que les recherches effectuées par la police s’avèrent vite inefficaces. L’enquête piétine… C’est Booker Reeves, un policier à la retraite, engagé par Rachel, la mère de Suzanne, qui va prendre la relève. Car il faut faire vite, très vite. Un malade comme Harold Appleby, ça n’attend pas. Et un animal comme Sam, ça mange beaucoup…