Marcel Bisiaux, Catherine Jajolet
Chat huppé
Dis-moi qui tu hantes, je te dirai qui tu es… Cet adage pourrait s’appliquer au chat, ce satellite de l’homme, caméléon qui le renvoie à lui-même comme un miroir. Il n’est que de voir le maître pour deviner l’animal. Pour Béjart, le chat est souplesse, détente musculaire. Ne va-t-il pas jusqu’à faire des entrechats… Bilal prête à Ernest un regard « peuplé », riche de toutes les images de son univers fantastique. Mais Jimmy, le chat de Troisgros est gourmand. Normal. Quand on vit dans l’intimité d’un si grand chef, on préfère la fricassée de grenouilles aux langues de chat. Certains ont l’oreille musicale, ils se baladent sur les pianos. D’autres aiment qu’on leur fredonne le fameux Chabada bada… Et ceux qui sont d’un naturel chagrin ? A ceux-là, il faut peut-être signaler l’existence du « Charnu » ! Autant de personnalités, autant de félins…
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Je n’ai aimé que vous
Myriam Dulac a disparu. Est-elle morte ? A-t-elle rejoint, au-delà des mers, ceux dont elle partageait peut-être l’espoir et les combats ? A-t-elle voulu, par cette fuite, manipuler secrètement les désirs d’autrui ? Laura, une jeune photographe qui l’a suivie des années durant à travers le monde, ignore tout, presque tout. Pourtant, et impérieusement, il lui faut retrouver la trace de cette femme troublante.Quête intense, déraisonnable, qui la conduit à prendre sa place entre son mari et sa fille : peut-on se glisser sans risque dans une vie qui ne vous appartient pas ? Où commence et où finit la vérité d’un sentiment ? Plusieurs personnages traverseront ce tumulte ; ils s’y perdent, s’y brûlent, avec délices et frayeurs, au fil d’une aventure qui mêle les urgences de chacun en une seule vague d’amour. Mais qui peut vraiment dire : je n’ai aimé que vous ? Il faudra entendre ces quelques mots comme le bruit d’un destin hésitant ; comme l’écho de la passion qui court entre les êtres, qui les sépare ou les précipite, tout proches, parmi songes et mensonges.
Maux de tête … et bleus de l’âme
L’homéopathie face aux maladies de civilisation – Ce livre décrit les différents types de migraine ou maux de tête qui accablent près de vingt millions de personnes en France. L’enquête se porte sur les causes simples des maux de tête et s’étend aux « bleus de l’âme », ces réactions de chacun aux stress, aux états d’âme qui, de l’agitation à la perte de confiance en soi, conduisent à l’état dépressif et s’expriment par les maux de tête. Les remèdes homéopathiques correspondent à une identité précise. Chacun pourra découvrir, à travers ces portraits la réalité de sa manière de souffrir …… Un ouvrage qui répond à un besoin, aujourd’hui où le malade n’a plus envie d’être un patient passif, mais souhaite au contraire se prendre en charge, devenir responsable de lui-même.
Autres femmes
A 35 ans, Caroline, divorcée, mère de deux garçons qu’elle élève seule, infirmière au service des urgences, homosexuelle, a tout essayé : » Le mariage et la maternité, la tarte aux pommes et la monogamie, la bigamie et la polygamie ; la consommation, le communisme, le féminisme et Dieu ; le sexe, le travail, l’alcool, la drogue et le grand amour. Le charme opérait un certain temps, mais ne parvenait jamais à tuer le désespoir. La seule chose qu’elle n’avait jamais essayée, c’était la psychothérapie. Ceux qui avaient pour métier d’aider les autres étaient censés s’en tirer tout seuls. Pourtant, elle avait dû reconnaître ces derniers jours, qu’elle n’y arrivait pas « . Elle va voir Hannah, pour entreprendre une psychothérapie. Entre les deux femmes se tisse, au fil des jours, un lien qui rouvre, doucement, la mémoire de celle qui parle comme de celle qui écoute.
Kaffir Boy
En Anglais – The classic story of life in Apartheid South Africa. Mark Mathabane was weaned on devastating poverty and schooled in the cruel streets of South Africa’s most desperate ghetto, where bloody gang wars and midnight police raids were his rites of passage. Like every other child born in the hopelessness of apartheid, he learned to measure his life in days, not years. Yet Mark Mathabane, armed only with the courage of his family and a hard-won education, raised himself up from the squalor and humiliation to win a scholarship to an American university. This extraordinary memoir of life under apartheid is a triumph of the human spirit over hatred and unspeakable degradation. For Mark Mathabane did what no physically and psychologically battered « Kaffir » from the rat-infested alleys of Alexandra was supposed to do — he escaped to tell about it.