- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- Cheers my arse !
Ricky Tomlinson
Cheers my arse !
Ricky Tomlinson, author and entertainer, has worked in pubs and clubs up and down the country and seen more than his fair share of last orders. CHEERS . . . MY ARSE! is his hilarious collection of classic tales from the heart of publand. Featuring riotous stories that celebrate our best-loved hell raisers – Richard Harris, Peter O’Toole, Oliver Reed and Richard Burton, to name a few – and the escapades of modern-day drinking heroes (like the Gallagher brothers and Johnny Vegas), this is the perfect book for anyone who’s ever had one too many . . .
Vous aimerez aussi
Les espions du Vatican
La papauté suscite beaucoup de fantasmes quant à sa secrète influence tris l'histoire occidentale. De nombreux romans lui attribuent un rôle occulte et déterminant dans des affaires politiques. Pour la première fois, un ouvrage rigoureux basé sur des archives permet de rétablir la vérité des faits. Peuplée de têtes couronnées et de chefs d'État, mais aussi de diplomates espions, de prêtres déchus et autres mercenaires, cette fresque dévoile les sorts peu connus de l'histoire diplomatique du XIXe et du XXe siècle. Passant en revue dix pontificats, de Pie VII (farouche adversaire de Napoléon), jusqu'à Pie XII, accusé après la Seconde Guerre mondiale de complaisance envers le nazisme, l'auteur brosse la première histoire de l'espionnage au service du Vatican. L'on apprend que, pendant la Première Guerre mondiale, l'assistant personnel du pape Benoît XV était un espion allemand, et que pendant la Seconde Guerre mondiale, les nazis ne reculèrent devant rien pour faire pression sur Pie XII et pour infiltrer le Vatican de faux prêtres allemands.
Le temps des victimes
Alors que notre société prône le culte du gagnant, la figure de la victime en est arrivée à occuper celle du héros. La médiatisation des catastrophes a révélé que l’unanimité compassionnelle était en train de devenir l’ultime expression du lien social. Et les demandes de réparation auprès des psychiatres et des juristes sont sans fin. Jusqu’où irons-nous dans cette « victimisation » généralisée ? Caroline Eliacheff et Daniel Soulez Larivière croisent leurs expériences et leurs disciplines pour démonter et explorer ce courant qui a émergé dans les années 80 sur tous les fronts et se nourrit de l’idéal égalitaire et de l’individualisme démocratique. Ils dénoncent les dangers que nous fait courir ce primat du compassionnel et de l’émotionnel qui, parfois déjà, affecte l’intérêt des victimes et pourrait se retourner contre la société tout entière.
Le plaisir sans les kilos
Finis les régimes qui fatiguent, rendent pâles et aigris ! On peut perdre du poids sans perdre le moral. Pour le docteur Arnaud Cocaul, tout est une question de bon sens : pour maigrir, il faut manger… colorer l'assiette, manger varié, et surtout ne pas se priver. Le Plaisir sans les kilos passe au crible les différents régimes » miracles » qui se révèlent inadaptés à notre vie sociale et professionnelle et se soldent généralement par un échec. Les conseils simples et pratiques qu'il prodigue vont à l'encontre des idées reçues et nous encouragent à bouleverser nos habitudes alimentaires. Ce livre résolument novateur est une véritable bouffée d'air pour tous ceux et celles qui souhaitent se sentir mieux dans leur corps !
Les Rugbymen – 5 – On va gagner avec le lard et la manière
Dans le village de Paillar, le rugby est roi : même les ronds-points sont ovales ! L’équipe de Paillar n’a peur que d’une chose, c’est que des Anglais mal intentionnés transforment L’Albala-Digeo, le bar local, en salon de thé ! Pour le reste, ce ne sont pas les gnons, les beignes, les marrons et les tampons de l’équipe adverse qui feront reculer les joueurs du Paillar athletic club ! Au contraire, ils sont convaincus que les filles adorent leurs oreilles broyées ou leurs yeux pochés… Nos joueurs, Loupiote, La Couâne, L’Anesthésiste, La Teigne et Bourrichon vont vous faire pénétrer au cœur des vestiaires, des mêlées, des club-houses et des légendaires troisièmes mi-temps… Bref, au cœur de l’ovalie !