Laurie Halse Anderson
Chiots en danger
Sophie aime tellement les animaux qu’elle passe tout son temps libre à la clinique vétérinaire de sa grand-mère, le Dr Mac. C’est son monde à elle. Elle voit donc d’un très mauvais oeil l’arrivée detrois nouveaux bénévoles de son âge : Isabelle, David et Clara. Elle a l’impression qu’ils lui prennent sa place. Pour couronner le tout, Zoé, sa peste de cousine vient s’installer chez elle ! Sophie est furieuse et déboussolée. Mais, à ce moment, une portée de chiots atteints d’une étrange maladie débarque à la clinique. Sophie se doute vite de quelque chose et mène l’enquête avec ses nouveaux amis !
Vous aimerez aussi
Le prix du péché
Duluth, Minnesota, une ville paisible, figée dans la neige. Un coup de feu réveille Maggie. Son mari, Eric, a reçu une balle en pleine tête. Leur couple était au bord de la rupture; Eric était riche; il a été tué à leur domicile, avec l'arme de service de Maggie : elle est donc présumée coupable. Si Stride, son coéquipier, croit en son innocence, il sent qu'elle tait quelque chose. Et elle n'est pas la seule. Certains sont même prêts à payer cher pour que le silence ne soit pas brisé…
Pour les plaisirs du Roi
Paris, printemps 1753. Le comte jean du Barry, gentilhomme de province ruiné et sans scrupules, abandonne sa famille pour s'exiler à Paris. Doté d'un talent rare pour le jeu, le libertinage et l'escroquerie, il devient « courtier galant », recrutant de jeunes beautés qu'il loue à ses puissants amis. Une lucrative activité qui l'érige en maître des plaisirs des plus grands noms de la cour de Louis XV… Ses intrigues lui valent de solides ennemis : déjouera-t-il les pièges tendus par Choiseul, ministre du roi, ou Mme de Pompadour, qui ont juré sa perte ? Qui est cet étrange M. de Kallenberg, qui croise perpétuellement son chemin ? Et réussira-t-il à installer dans le lit du roi sa protégée, Jeanne Bécu, jeune prostituée de vingt ans que le comte transforme en élégante et désirable Mme du Barry ?
La maison des secrets
En emménageant dans une maison au bord de l’eau, sur la presqu’île de Happiness Key, en Floride, Dana Turner souhaite simplement offrir un havre de paix à sa fille, Lizzie. Jamais elle ne se serait attendue au sentiment profond de bonheur qui la gagne dès leur installation. Car non seulement ses voisines l’accueillent chaleureusement, mais Pete Knight, un homme séduisant et attentionné, lui fait une cour assidue. Pourtant, Dana a toutes les raisons de redouter que ce bien-être ne soit éphémère, car un passé douloureux la condamne à déménager sans cesse, dès que les questions sur sa vie se font trop pressantes. L’ennui, c’est que cette fois-ci, sa petite Lizzie semble plus heureuse que jamais, tandis qu’elle-même s’attache chaque jour davantage à Pete. Alors doit-elle encore fuir, au risque d’avoir le coeur brisé et de faire de nouveau souffrir Lizzie ? Ou peut-elle enfin dévoiler le secret qu’elle garde précieusement enfoui au plus profond de son coeur, et se donner, ainsi qu’à Lizzie, la chance de sourire pleinement à la vie ?
Eux sur la photo
Une petite annonce dans un journal comme une bouteille à la mer. Hélène cherche la vérité sur sa mère, morte lorsqu’elle avait trois ans. Ses indices: deux noms et une photographie retrouvée dans des papiers de famille, qui montre une jeune femme heureuse et insouciante, entourée de deux hommes qu’Hélène ne connaît pas. Une réponse arrive: Stéphane, un scientifique vivant en Angleterre, a reconnu son père. Commence alors une longue correspondance, parsemée d’indices, d’abord ténus, puis plus troublants. Patiemment, Hélène et Stéphane remontent le temps, dépouillant leurs archives familiales, scrutant des photographies, cherchant dans leur mémoire. Peu à peu, les histoires se recoupent, se répondent, formant un récit différent de ce qu’on leur avait dit. Et leurs découvertes, inattendues, questionnent à leur tour le regard qu’ils portaient sur leur famille, leur enfance, leur propre vie. Avec Eux sur la photo, Hélène Gestern nous livre une magnifique réflexion sur le secret de famille et la mémoire particulière que fixe la photographie. Elle suggère que le dévoilement d’éléments inconnus, la résolution d’énigmes posées par le passé ne suffisent pas: ce qui compte, c’est la manière dont nous les comprenons et dont nous acceptons qu’ils modifient, ou pas, ce que nous sommes.