- Home
- >
- Fantastique
- >
- Chroniques lunaires – Livre IV – Winter
Marissa Meyer
Chroniques lunaires – Livre IV – Winter
On dit que Winter est encore plus belle que la reine Levana. La princesse déteste sa belle-mère, qui désapprouve ses sentiments pour Jacin, le séduisant garde du palais. Mais Winter n’est pas aussi faible que Levana le croit. Avec l’aide de Cinder et de ses alliés, elle aurait même le pouvoir de lancer une révolution et de gagner cette guerre qui dure depuis trop longtemps.
Vous aimerez aussi
Duma Key
Duma Key, une île de Floride à la troublante beauté, hantée par des forces mystérieuses, qui ont pu faire d’Edgar Freemantle un artiste célèbre… mais, s’il ne les anéantit pas très vite, elles auront sa peau ! Dans la lignée d’Histoire de Lisey ou de Sac d’os, un King subtilement terrifiant, sur le pouvoir destructeur de l’art et de la création
Dès 9 ans – Lief, Barda et Jasmine ont entrepris une quête périlleuse pour réunir les sept pierres précieuses de la Ceinture magique de Deltora. Quatre d’entre elles ont été retrouvées. La quête doit continuer coûte que coûte. Pour récupérer la cinquième pierre, les héros s’aventurent très près de la frontière du Pays des Ténèbres et pénètrent dans les Montagnes Redoutables, où règne un crapaud monstrueux. Un royaume à libérer Trois pierres précieuses à retrouver Entrez dans la quête!
Le secret des glaces
Zoé est L’Élue, l’héritière d’une lignée de femmes chargées de protéger un secret ancestral. Elle ne le découvre que lorsque des tueurs surgissent et l’entraînent dans une course folle qui la mènera aux confins de la Sibérie. Pour Zoé, le temps presse : elle doit non seulement rester en vie, mais aussi comprendre ce qu’est le Secret pour parvenir à le préserver. Dans sa quête, parsemée d’énigmes et de symboles à décrypter, elle est aidée par un agent spécial. Mais est-il vraiment son allié ?
La dame de pique (et autres textes)
La Dame de pique, nouvelle fantastique d’Alexandre Pouchkine (1799-1837), structurée comme un roman, met en scène des personnages du théâtre populaire. La fin, suggérée par une citation en exergue, met le lecteur sur la voie : « La dame de pique signifie une malveillance cachée. » Écrivant comme on abat l’une après l’autre ses cartes maîtresses, Pouchkine rencontre différentes figures du fantastique (le comte de Saint-Germain, une revenante), mais sans s’y attarder. Le dialogue, la satire sociale, quelques remarques mêmes sur la littérature russe arrivent à trouver place dans ce condensé romanesque.