- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- Collected Stories
Isaac Babel
Collected Stories
En Anglais – Following the historic publication of Norton’s The Complete Works of Isaac Babel in the fall of 2001, The Collected Stories of Isaac Babel appears as the most authoritative and complete edition of his fiction ever published in paperback. Babel was best known for his mastery of the short story form—in which he ranks alongside Kafka and Hemingway—but his career was tragically cut short when he was murdered by Stalin’s secret police. Edited by his daughter Nathalie Babel and translated by award-winner Peter Constantine, this paperback edition includes the stunning Red Cavalry Stories; The Odessa Tales, featuring the legendary gangster Benya Krik; and the tragic later stories, including « Guy de Maupassant. » This will be the standard edition of Babel’s stories for years to come.
Vous aimerez aussi
Naïs
Un jour, un voisin, qui était très gentil, m'a dit : « Oh, le joli petit bossu ! » J'ai demandé à ma grand-mère : « Qu'est-ce que c'est, un bossu ? » Alors elle m'a chanté une vieille chanson. Je me rappelle pas la musique, mais les paroles, ça disait comme ça : « Un rêve m'a dit une chose étrange, Un secret de Dieu qu'on n'a jamais su, Les petits bossus sont de petits anges, Qui cachent leurs ailes sous leurs pardessus. Voilà le secret des petits bossus… » Les grand-mères, madame Rostaing, c'est comme le mimosa, c'est doux et c'est frais, mais c'est fragile. Un matin, elle n'était plus là. Une bosse et une grand-mère, ça va très bien, on peut chanter. Mai, un petit bossu qui a perdu sa grand-mère, c'est un bossu tout court.
Aroma, the cultural history of smell
En anglais – Smell is a social phenomenon, given particular meanings and values by different cultures. Odours form the building blocks of cosmologies, class hierarchies, and political odours. They can enforce social structures or transgress them, unite people or divide them, empower or disempower. The authors argue that the sociology of smell is repressed in the modern West, and its social history ignored. This book breaks the « olfactory silence » of modernity. It offers the first comprehensive exploration of the cultural role of odours in Western history – from antiquity to the present. It also covers a wide variey of non-Western societies. Its topics range from the medieval concept of the « odour of sanctity », to the aromatherapies of South America, and from olfactory stereotypes of gender and ethnicity in the modern West to the role of smell in postmodernity. Its subject matter will fascinate anyone who likes to nose around in the inner workings of culture.
Paris au mois d’Août
o Henri Plantin n’est rien, dans la vie, ou pas grand-chose
o Patricia Greaves, dite « Pat », nul ne sait rien d’elle, depuis trois jours qu’elle est arrivée à Paris.
o Il est français, de la rue Saint-Martin. Un Français quelconque, de ceux « dont on ne dit rien ».
o Elle est anglaise de Londres. Une jolie Anglaise de celles dont on dit: « Une belle fille ».
o Ils ne sont absolument pas faits pour se rencontrer.
o Ils se rencontrent pourtant, un soir, à Paris au mois d’août.
o Ils n’ont que trois semaines devant eux pour vivre… une histoire sans histoire.
Ouragan sur D.M.S Caine
A l’origine, rien ne prédispose Willie Keith à devenir un brillant officier de transmission à bord du dragueur de mines « Caine ». Timide et brouillon de nature, il gagne peu à peu en assurance à voir avec quelle maladresse le capitaine de Vriess dirige le navire. Témoin discret mais lucide, il comprend que l’autorité et l’intransigeance du commandant ne dissimulent en fait qu’une profonde incapacité. Lorsque le commandant Queeg vient relever le commandant de Vriess, l’équipage et la maistrance espèrent gagner au change. Or, très vite, Queeg se révèle pire que son prédécesseur. Déplorable marin et médiocre psychologue, il fait montre d’une nervosité inquiétante, échouant le bateau, accumulant les erreurs de manœuvre, tout en rejetant sur ses subordonnés la responsabilité de ses fautes. Ses manies tyranniques ont fini par créer à bord un état de tension permanente, qu’un ouragan va soudain exacerber. Par ses ordres contradictoires, Queeg met le navire à deux doigts du naufrage. Alors les officiers décident de le destituer et de prendre le commandement. Le témoignage que l’auteur apporte, par l’intermédiaire de Willie Keith, sur les causes de la mutinerie va enfin être présenté au lecteur par les débats du conseil de guerre chargé d’instruire la plainte du commandant Queeg contre ses subordonnés.