Félicité Kindoki, Espérance Miezi
Comment savoir si vous êtes noir
Comment savoir si vous êtes noir ? Avouez-le, vous ne vous êtes jamais posé la question. Heureusement, grâce à ce livre, à travers des observations de la vie quotidienne et de nombreux exemples, vous pourrez enfin combler cette lacune ! Si cette question peut sembler insolite, c’est bien sûr parce que les auteurs ont décidé d’y répondre avec humour et second degré, en s’appuyant sur des faits qu’elles ont vécus, parfois drôles, parfois non, pour parler d’une communauté dite minoritaire et pourtant si visible : les Noirs !L’objectif de ce livre : décrisper les zygomatiques tout en nous faisant réfléchir. Et si, finalement, nous n’étions pas si différents les uns des autres ?
Vous aimerez aussi
Sors de ce corps, William !
C’était Roméo et Juliette et patatras : c’est Peines d’amours perdues … Plaquée par l’homme de sa vie, Rosa est prête à tout pour le récupérer. Au point de croire aux boniments du magicien Prospero, spécialiste ès voyages dans le temps et retour d’affection … Mal lui en prend car, sitôt ensorcelée, la jeune femme reprend conscience dans la peau de … William Shakespeare.
Si la vie et l’amour ont un sens, la colocation cérébrale avec le grand Will risque de faire sauter quelques certitudes …
Anatomie de l’amant de ma femme
A trop fréquenter la littérature, il arrive qu’on tombe dedans. Lecteur invétéré, époux d’une écrivaine nantie d’un petit renom, architecte en rupture de plans, le héros de ce premier roman n’est pas avare de confidences sur son grand projet : écrire un livre, lui aussi. Mais son écran d’ordinateur ne se remplit que d’images qui ralentissent son travail tout en accélérant son flux sanguin…Les affres de la création deviennent de terribles compagnons dont on se distrait d’un poignet actif. Alors, le jour où par ennui ou par dépit, notre homme commet l’incorrection de parcourir le journal intime de sa femme, il en est puni par une découverte qui porte un nom : Léon, et par une révélation : c’est un amant hors normes. Affolé, vexé mais stimulé, il se lance dans une enquête qui a tout d’une quête : pourquoi chez lui sexualité et littérature sont-elles autant liées ? Cet amateur de théories cocasses s’épanche et nous entraîne, l’air de rien, dans la dernière des grandes aventures : celle qui mène à soi.
La fée carabine
Qui donc à Paris égorge les vieilles dames de Belleville et transforme les papys en junkies ? Tous les soupçons convergent vers Benjamin Malaussène, bouc émissaire de son état, dont la sympathique famille s’est enrichie de quelques membres. Les héros du précédent épisode, « Au bonheur des ogres, » sont là, avec quelques nouveaux venus: le doux inspecteur Pastor, la petite Verdun, l’inquiétant commissaire Coudrier, etc. Plus on est de fous… » On retrouve avec bonheur la petite tribu de papier, dont Daniel Pennac développe à plaisir les personnages. Les intrigues et les destins se croisent au fil d’un récit dont la trame policière offre prétexte à s’attarder sur l’atmosphère du quartier, à épingler les méchants, les sans scrupules, les pas humains, toujours sur le mode de l’humour léger.
Les gens de médecine
Catalogue raisonné de Jean Adhémar, conservateur en chef du cabinet des Estampes. Une idée, tout ensemble originale et naturelle, a présidé à ce choix des gravures de Daumier concernant la médecine et les médecins. Elles n’avaient été étudiées, jusqu’ici, en un rassemblement particulier, que par G. Beytout et L. Sergent, il y a de longues années. L’ouvrage reproduit, décrit et présente les 48 planches lithographiées ayant trait à la médecine exécutées par Honoré Daumier.