- Home
- >
- Santé et bien-être
- >
- Comment vivre longtemps sans faire de vieux os
Dr. Serge Rafal
Comment vivre longtemps sans faire de vieux os
Un guide pratique qui répond à l’ensemble des questions concernant une maladie qui touche de plus en plus d’individus, et donne tous les conseils pour préserver son capital osseux. L’ostéoporose, c’est-à-dire la perte progressive de la masse osseuse, est une ennemie qu’aucun signe extérieur ne permet de repérer : c’est souvent à l’occasion d’une fracture du poignet que l’on s’aperçoit de la détérioration du capital osseux, et il est souvent trop tard. D’où l’importance du diagnostic et surtout de la prévention. Le docteur Serge Rafal fait le point sur ce que l’on sait aujourd’hui de l’ostéoporose, propose d’en connaître les causes et, surtout, insiste sur la nécessité d’une prise en charge raisonnable et complète, c’est-à-dire en faisant le tour des possibilités thérapeutiques et des médecines douces.
Vous aimerez aussi
Douleurs – Sociétés, personne et expressions
Dans le premier volume, » Douleurs : du neurone à l’homme souffrant « , ont été exposés les points de vue des biologistes et l’approche des cliniciens. Ce second volume s’intitule : » Douleurs : société, personne et expressions » : Sociétés : face à l’expérience individuelle qu’est la douleur, c’est l’ensemble des sociétés, et pour chacune d’entre elles toutes leurs composantes, qui s’efforcent de donner une siginification aux douleurs. Celles-ci prennent alors une valeur culturelle, dont émergent croyances et pratiques sociales ; Personne : la symbolique qui s’attache à la douleur inscrit les êtres dans un vécu, une corporéité et une crainte de la souffrance. C’est une expérience du corps et de l’esprit. La douleur paraîtrait sans doute plus acceptable sans son propre souvenir… expressions : comment parler de la douleur, comment l’exprimer ? Tant en ce qui concerne le langage que les arts, les expressions des douleurs apparaissent dans les productions humaines comme des repères conventionnels ou sublimés. Chacun y fait référence avec sa culture, sa sensibilité, mais aussi son langage et les mots qu’y consacre sa langue.
Savoir manger – Le guide des aliments 2006-2007
De la peau de poulet dans les nuggets que nos enfants adorent ; des boissons à l’eau minérale composées en partie… d’eau du robinet ; des édulcorants de synthèse contestés utilisés dans la fabrication de certains sodas lights ; des tranches de jambon 30 % moins chères mais avec… 30 % de viande en moins ! Voilà quelques effrayants constats du guide des aliments 2006-2007, édition remise à jour et considérablement augmentée du Savoir manger, best-seller qualifié par la presse de «Bible des aliments». Cette fois, les auteurs ont étudié en plus des produits des hypers et des supermarchés, ceux des magasins de hard discount, ainsi que les premiers prix des grandes chaînes de distribution. Pour que chacun puisse apprendre à naviguer dans la jungle alimentaire. Et pour que tout le monde prenne conscience, grâce à ce voyage au coeur des rayons, des pièges que l’on nous tend.
Les enfants de l’indicible peur
Ce livre met en lumière un visage inconnu de l’enfant autiste. Si cet enfant n’est jamais entré dans le » monde des gens », c’est qu’il a été frappé d’une indicible peur devant son étrangeté et médusé par sa beauté. Cette révélation rend la figure du petit garçon ou de la petite fille hors du temps et hors d’atteinte tout à coup moins énigmatique. C’est non seulement cette rencontre manquée avec l’Autre que Henri Rey-Flaud nous fait découvrir, mais encore les stratégies savantes mises en oeuvre par l’enfant pour ne pas être submergé par le réel, ni emporté par la dynamique du langage : ainsi Sarah accrochée à son coquillage-fétiche ou Antonio maniant son miroir, lieu de sa disparition et de sa renaissance. Que ces défenses soient insuffisantes à contenir sa peur, c’est ce dont témoigne la façon qu’il a de murer son regard, sa voix et son corps. Une rétention, quelquefois totale, difficile à soutenir pour les parents.
Comment les enfants apprennent à parler
Pour tous ceux qui souhaitent mieux comprendre comment et pourquoi le jeune enfant apprend à communiquer et à organiser sa représentation du monde, ce livre apporte un éclaircissement passionnant et nouveau. C’est en jouant avec l’adulte que le bébé commence à construire sa langue maternelle. Quand il a compris qu’on peut « faire faire des choses avec des mots », il a déjà appris une chose importante : la langue peut servir à signaler une intention. Il apprend ainsi l’usage du langage avant d’apprendre à parler. Pour Jerome Bruner, un des plus brillants psychologues de notre époque, la langue s’acquiert en tant qu’instrument de régulation dans l’interaction sociale. Il insiste sur la fonction du langage plutôt que sur sa forme. Le jeu partagé et ritualisé permet à l’enfant de découvrir le rôle de la communication elle-même et la structure des actes dans lesquels elle intervient. C’est grâce à la présence d’un adulte qui interprète et formalise les « signaux » du bébé que ce processus peut s’engager…

