Emile Peynaud
Connaissance et travail du vin
Cet ouvrage, qui est depuis plus de trente ans une référence dans le domaine, est un véritable précis d’oenologie pratique, qui aborde tous les aspects de la science du vin : l’élaboration, l’élevage, la conservation, etc. Il constitue un ouvrage de référence pour tous les professionnels du vin confrontés à des questions pratiques, et un manuel d’apprentissage des pratiques oenologiques pour les étudiants. Outre l’actualisation de la partie sur les levures, cette nouvelle édition propose des outils de diagnostic des différents type de vin.
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280 recettes de cuisine familiale libanaise
Ouvrage présentant les recettes libanaises dans un contexte historique et littéraire. Chaque titre de recette est indiqué dans la langue du pays et en français. Le temps de préparation et de cuisson est indiqué. En fin d’ouvrage, douze menus pour le petit déjeuner (repas important au Liban), pour le déjeuner et pour le dîner.
The animal-lover’s book of beastly murder
En Anglais – Nowhere is Patricia Highsmith’s affinity for animals more apparent than in The Animal-Lover’s Book of Beastly Murder, for here she transfers the murderous thoughts and rages most associated with humans onto the animals themselves … You will meet, for example, in « In the Dead of Truffle Season, » a truffle-hunting pig who tries to whet his own appetite for a while; or Jumbo in « Chorus Girl’s Absolutely Final Performance, » a lonely, old circus elephant who decides she’s had enough of show business and cruel trainers for one lifetime. In this satirical reprise of Kafka, cats, dogs, and breeding rodents are no longer ordinary beings in the happy home, but actually have the power to destroy the world in which we live.
Apollonie, reine au coeur du monde
Ecrit à partir des souvenirs d’Henri Jurquet et de ses carnets, ce récit (paru en 1984) témoigne avec pudeur et vérité du quotidien de la France rurale à son crépuscule, et notamment du rôle des veuves de 1914-1918, à travers la vie d’un hameau de l’Aveyron au début du XXe siècle. Femme multiple et souveraine, Apollonie appartenait à cette société économe, dure avec elle-même, mais riche de connaissances et soucieuse d’avenir. Ses mains, marquées par le jardin, l’eau, le feu, les outils, pétrissaient le pain, caressaient l’enfant, maniaient avec douceur et respect le maigre argent du minuscule royaume sur lequel elle régnait… Elle rendit à ses morts les services nécessaires et quitta son monde en ordre. Elle apprit à son petit-fils, orphelin, à tenir les bœufs, à faucher l’herbe, à planter droit, savoirs inutiles puisque, de la naissance d’Apollonie à sa mort, le vieux monde acheva de basculer.
L’île des morts
Un château victorien bâti sur une île: c’est là qu’un riche excentrique a convié quelques amis pour le week-end. Au programme des réjouissances, une pièce de théâtre montée par une troupe d’amateurs. Mais quelqu’un trouble la fête, se livrant à de macabres plaisanteries aux dépens des invités. La mort rôde autour de l’île. La terreur s’installe. Cordélia Gray, la jeune détective de La Proie pour l’ombre, joue les gardes du corps et observe d’un oeil attentif ces convives dont les bonnes manières dissimulent des vices inavouables. Energique, intuitive, elle dénoue un à un les fils de cette toile d’araignée criminelle. Avec L’Ile des morts, P.D. James mérite plus que jamais son titre de « reine du crime ». Dans ce roman subtil, la férocité, l’humour et le théâtre élisabéthain se mêlent de façon inimitable.