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Yak Rivais
Contes du cimetière après la pluie
Dès 9 ans – Au cimetière Saint-Patrick, les morts guettent les vivants. C’est ainsi que Rozen et Marg’rite promènent un fantôme et que le vampire s’en prend à Yanig. La petite Fantik a de sérieux ennuis avec une sorcière de 320 ans, et le grand Lucifer compose une musique à damner les hommes ! Heureusement, les humains ne se laissent pas faire. Comme dit le diablotin rose : ils sont plus diaboliques que les diables ! Sept histoires franchement démon… Yak !
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Dès 9 ans – Lief, Barda et Jasmine ont entrepris une quête périlleuse pour réunir les sept pierres précieuses de la Ceinture de Deltora. A présent, cinq gemmes ont été rassemblées. La sixième est dissimulée dans l’antre sous-marin du féroce et hideux Glus. Épuisés, traqués par les serviteurs du Seigneur des Ténèbres, les trois compagnons vont avoir besoin de toutes leurs forces et de tout leur courage pour affronter le Labyrinthe de la Bête… Un royaume à libérer. Deux pierres précieuses à retrouver. Entrez dans la quête ! Emily Rodda est le pseudonyme de Jennifer Rowe. Auteur prolifique, elle a publié de nombreux livres pour les adultes et la jeunesse, en particulier la très célèbre série « Raven Hill Mysteries » qui lui a assuré un lectorat de plus en plus important et a reçu plusieurs fois le prestigieux prix Children’s Book Council of Australia Book of the Year Award.
La dame de pique (et autres textes)
La Dame de pique, nouvelle fantastique d’Alexandre Pouchkine (1799-1837), structurée comme un roman, met en scène des personnages du théâtre populaire. La fin, suggérée par une citation en exergue, met le lecteur sur la voie : « La dame de pique signifie une malveillance cachée. » Écrivant comme on abat l’une après l’autre ses cartes maîtresses, Pouchkine rencontre différentes figures du fantastique (le comte de Saint-Germain, une revenante), mais sans s’y attarder. Le dialogue, la satire sociale, quelques remarques mêmes sur la littérature russe arrivent à trouver place dans ce condensé romanesque.
Le Clan des Otori – tome I – Le Silence du Rossignol
Dans sa forteresse d’Inuyama, le Seigneur Iida Sadamu est protégé par le fameux «parquet du rossignol» qui conduit à sa chambre. Construit avec un art consommé, ce parquet chante dès qu’on l’effleure. Aucun assassin ne peut le franchir sans qu’Iida l’entende… Au XIVe siècle, dans un Japon médiéval mythique, le jeune Takeo grandit au sein d’une communauté paisible qui condamne la violence. Mais celle-ci est massacrée par les hommes d’Iida, chef du clan des Tohan. Takeo, sauvé par sire Shigeru, du Clan des Otori, se trouve plongé au cœur de luttes sanglantes entre les seigneurs de la guerre. Il doit suivre son destin. Mais qui est-il ? Paysan, seigneur ou assassin ? D’où tient-il ses dons prodigieux ? Lorsqu’il rencontre la belle Kaede, un amour fou naît entre les deux jeunes gens : devra-t-il choisir entre cet amour, sa dévotion à sire Shigeru et son désir de vengeance ? Sa quête le mènera jusqu’à la forteresse d’Inuyama, lorsqu’il marchera sur le « parquet du Rossignol « . Cette nuit-là, le rossignol chantera-t-il ?
Je vous le dis franchement : je stresse! Nous vivons vraiment clans un univers IM-PI-TOYABLE ! Prenez par exemple Jean-Claude, propriétaire, entre autres, du Cirque des Damnés, une boîte branchée des plus rentables. Eh bien, il n’est entouré que de gens qui veulent soit lui faire la peau, soit prendre sa place, voire les deux. Tous des vampires, bien sûr, avec des dents qui rayent le parquet. Vous me direz que, même s’il ale sens de l’humour, J. -C. , lui aussi est un vampire et que sa principale ambition semble être de faire de moi son esclave. Peut-être finalement devrais-je laisser les loups-garous et autres se dévorer entre eux. Et plutôt me consacrer à empêcher mes chers zombies de nuire.