- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- Cooking with the young chefs of France
Elisabeth Lambert Ortiz
Cooking with the young chefs of France
Elisabeth Lambert-Ortiz was a British writer who, to a great extent, popularized Mexican and South American – and Jamaican – cooking in the United States. She loved to travel and as she traveled through France she met with the up and coming chefs who have taken the traditional recipes of France and given them a fresh, new spin. It has excellent adaptations of Cassoulet and Fisherman’s Stew. Not necessarily for the new cook, this cookbook can be equally challenging and delicious. Great combination!
Vous aimerez aussi
Marie de Médicis
Elle est grande, elle est hautaine, elle a le teint très blanc, un double menton, mauvais caractère, 27 ans déjà. En l’an 1600, Marie de Médicis épouse Henri IV. C’est un mariage d’argent : les Médicis sont une richissime famille de banquiers florentins devenus grands-ducs de Toscane. C’est un mariage politique : le Pape et l’Espagne veulent amarrer la France au catholicisme après 45 ans de troubles et de guerres religieuses. Entre Henri IV et Marie de Médicis, la vie conjugale devient souvent un enfer. Maîtresses, scènes de ménage, histoires d’argent ; Sully arbitre comme il peut. Quand Henri IV est assassiné, son fils Louis XIII n’a que 8 ans et demi. Marie de Médicis devient Régente. Elle met la France au pillage pour acheter la tranquillité des nobles, remplir les poches de ses favoris Leonora Galligaï et Concino Concini, et satisfaire une passion sans frein pour les diamants…
Tanamera 2
Julie Soong et Johnnie Dexter… Entre eux est née une passion impétueuse, totale, et interdite. Interdite parce que Johnnie est anglais, Julie chinoise, et que Singapour, en ces années 30, pèse sur eux de toute la tyrannie de ses préjugés, de ses tabous raciaux. Alors, puisque le mariage leur est à jamais refusé, ils s’engagent, follement, dans une liaison secrète, fragile, exaltante, périlleuse… Dans leur sillage, le lecteur, fasciné d’abord par les multiples splendeurs de Singapour, sera bientôt emporté au travers d’un tumultueux demi-siècle d’histoire. Dans la tourmente de l’invasion japonaise, que sont devenus les amants fugitifs ? La victoire de la liberté saura-t-elle être aussi la leur ?
La veuve Egalité
Les révolutionnaires qui eurent l’idée de rebaptiser Louis XVI Louis Capet et sa veuve, « la Veuve Capet », crurent assurément avoir touché au but, à savoir humilier le plus bassement possible leurs victimes. Mais l’Histoire a de ces retours inattendus et féroces que plus d’un politicien devrait garder en mémoire, ne serait-ce que pour se préserver lui-même. Ainsi, le surnom de la Veuve Capet est désormais synonyme de martyre et le restera encore pour longtemps. Le terme n’a plus rien d’humiliant, hormis pour ceux qui le forgèrent. En revanche, le titre « la Veuve Egalité » provoque immanquablement la grimace et suscite le mépris non certes par la faute de celle qui se retrouva le porter mais à cause de celui sans qui il n’aurait jamais vu le jour, Louis-Philippe-Joseph d’Orléans, arrière-petit-fils du Régent et de Melle de Blois, fille légitimée de Louis XIV et de Mme de Montespan, par conséquent arrière-arrière-petit-fils de Monsieur, frère de Louis XIV et de la princesse Palatine et, de ce fait, arrière-arrière-petit-neveu du Roi-Soleil en personne ….. L’ouvrage de Michel de Decker n’ait peut-être pas le meilleur sur la question mais il a au moins le mérite de faire sortir de l’ombre celle qui, quoi que l’on en dise, fut bien plus que la simple Veuve Egalité.
Dans la peau d’un noir
Comment un écrivain américain s’est transformé en Noir avec l’aide d’un médecin, pour mener pendant six semaines la vie authentique des hommes de couleur … Maintenant le témoignage est là, tangible, solide, prêt à prendre place dans les rayons de toute bibliothèque qui se respecte (Robert Escarpit, Le Canard enchaîné).