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Paul Gallico
Coronation
Imagine seeing the Queen that close as she goes by in her golden carriage! The kiddies will have something to tell their kiddies, won’t they? And a drink of real champagne to go with it! Coronation Day, 2 June 1953! A humble, working-class family from Sheffield is desperate to buy train tickets to London to see the coronation, but doing so means forsaking their annual seaside holiday. After some scrimping and saving, and a family meeting in which the enthusiasm of the children overrules the reluctance of their long-suffering mother and grandmother, the Clagg family take the plunge and buy premium, champagne tickets for the big day.
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En Anglais – « It is 1721 and young Adam Hanaway, devastated by his father’s sudden death, leaves England to seek his fortune in Lisbon, where his uncle is a successful merchant. But almost nothing turns out as Adam planned. His family’s welcome is cool, and Adam’s rise to the top is thwarted by Bartolomeu Gomes, his uncle’s treacherous clerk. » « As Adam attempts to overcome these obstacles he is handicapped by a certain personal trait. Not, he insists, that he is a coward exactly, but he is inclined to boldly put himself in dangerous situations and then at the last minute run away from them – hence the nickname given to him by friends who had observed this failing once too often. » « While Adam’s mother and sisters wait in England for him to rescue them from poverty, Adam is preoccupied with more compelling women: the beautiful, older half-Portuguese lady Maria Beatriz Hutchinson; the spoiled, rich Gabriella Lowther; and his charming young cousin Nancy. But Adam commits a social faux pas so severe he forever ruins his chances for making a good match – yet no one dares tell him what he has done wrong! » « Adam certainly has a lot to learn. …
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Jamais, dans aucun pays et à aucune époque, une organisation n’atteignit cette complexité, ne détint un tel pouvoir, ne parvint à un tel point de « perfection » dans l’efficacité et dans l’horreur.
A ce titre, la Gestapo demeurera dans la mémoire des hommes comme l’exemple d’un instrument social dévoyé par des êtres sans scrupules.L’être humain est un fauve dangereux. En période normale, ses instincts mauvais demeurent à l’arrière-plan, jugulés par les conventions, les habitudes, les lois, les critères d’une civilisation. Mais, que vienne un régime qui non seulement libère ses impulsions terribles, mais en fasse des vertus, alors du fond des temps le mufle de la bête réapparaît sous le masque fragile du civilisé, déchire cette mince écorce et pousse le hurlement de mort des temps oubliés.Ce que le nazisme, incarné quelque sorte dans la Gestapo, a tenté de réaliser, et qu’il a failli réussir, c’est la destruction de l’homme, tel que nous le connaissons, tel que des millénaires l’ont façonné.