- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- Counter-Clock World
Philip Dick
Counter-Clock World
In Counter-Clock World, one of the most theologically probing of all of Dick’s books, the world has entered the Hobart Phase — a vast sidereal process in which time moves in reverse. As a result, libraries are busy eradicating books, copulation signifies the end of pregnancy, people greet with, “Good-bye,” and part with, “Hello,” and underneath the world’s tombstones, the dead are coming back to life. One imminent old-born is Anarch Peak, a vibrant religious leader whose followers continued to flourish long after his death. His return from the dead has such awesome implications that those who apprehend him will very likely be those who control the fate of the world.
Vous aimerez aussi
Histoire de notre temps – Tome I – Toute la vérité
Toute vérité est bonne à dire, pour un historien conscient de sa responsabilité. Toute vérité est bonne à lire, pour un lecteur souhaitant mieux connaitre les données réelles des problèmes qui se posent à son pays, à son temps, et à lui-même.
Le combat contre les ombres
L'année 1914 semble marquer pour Laurent Pasquier le début d'une période heureuse. Il a trente-trois ans, il exerce le métier qu'il aime, son poste de chef de recherches à l'Institut National de Biologie lui assure un revenu honnête. Ne serait-ce pas le moment de fonder un foyer? L'idée lui en est venue depuis qu'il connaît Jacqueline Bellec. Le temps de rassembler son courage pour faire sa demande, les perspectives changent : le directeur de l'L.N.B., Larminat, l'oblige à prendre comme garçon de laboratoire l'ineffable Hippolyte Birault. Laurent s'en accommoderait si ce rustre imbu de lui-même ne commettait des fautes graves qui imposent son renvoi, mais Larminat se dérobe, Bitault étant « protégé » par un ministre.
Un plat de porc aux bananes vertes
Vieille femme noire abandonnée dans un hospice parisien, Mariotte se souvient de la Martinique, son île natale. Sur les murs sinistres de sa chambre, elle projette les couleurs du passé. Rouge et noir pour l’esclavage, les larmes et le sang. Vert et jaune pour ses amis disparus, les rires et la vie, pour la douceur amère et tendre d’un plat de porc aux bananes vertes.
La Duchesse de Langeais
A l’égal de la princesse de Clèves et de la Sanseverina, la duchesse de Langeais est l’une des grandes divinités féminines de notre littérature. Elle réunit en sa personne le triple prestige de la beauté, de la naissance et du malheur. Issue d’un sang illustre, Antoinette de Navarreins voit le jour en 1794, sous la Terreur, une bien sombre étoile qui sera pour elle la marque du destin. Quelque vingt ans plus tard, séparée de son mari abhorré que lui avait imposé un père indifférent, c’est l’une des gloires mondaines du Faubourg Saint-Germain. Mais que dissimule la coquetterie glacée de cette aristocratique Célimène ? Et par quel étrange sortilège l’incandescente passion d’Armand de Montriveau va-t-elle à son tour la consumer ? Comme tout vrai chef-d’œuvre, ce « roman noir » – primitivement intitulé » Ne touchez pas à la hache » – est pour partie une autobiographie sublimée, c’est-à-dire le contraire d’un roman à clefs. « Moi seul sais ce qu’il y a d’horrible dans La Duchesse de Langeais, » confiait Balzac à l’un de ses proches. C’est pourquoi l’œuvre conserve, depuis plus d’un siècle et demi, son mystère et sa force de séduction.