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Philip Dick
Counter-Clock World
In Counter-Clock World, one of the most theologically probing of all of Dick’s books, the world has entered the Hobart Phase — a vast sidereal process in which time moves in reverse. As a result, libraries are busy eradicating books, copulation signifies the end of pregnancy, people greet with, “Good-bye,” and part with, “Hello,” and underneath the world’s tombstones, the dead are coming back to life. One imminent old-born is Anarch Peak, a vibrant religious leader whose followers continued to flourish long after his death. His return from the dead has such awesome implications that those who apprehend him will very likely be those who control the fate of the world.
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La guerre, c’est le déferlement stratégique des hommes et des armes sur tel ou tel point du front. Mais c’est aussi le reflux de ces hommes après la bataille, le retour de ceux qui ont pu revenir, un raz-de-marée en sens inverse qui laisse sous les toiles battantes des infirmeries de campagne « une mosaïque de souffrance teinte aux couleurs de la guerre, fange et sang, empuantie des odeurs de la guerre, sueur et pourriture, bruissante des cris, des lamentations, des hoquets qui sont la voix même et la musique de la guerre. » Alors aux blessés s’offre ce qui se fait de mieux dans le monde moderne, les draps frais, l’infirmerie « blanche comme une laiterie », les pinces brillantes du chirurgien, l’autoclave, le dernier cri du progrès. Mais qu’importe au lieutenant Dauche avec sa balle dans la tête, à Revaud et à leurs compagnons de misère, à ceux dont Georges Duhamel rappelle le courage simple, la bonne humeur, l’endurance? « La civilisation n’est pas dans toute cette pacotille terrible; et, si elle n’est pas dans le cœur de l’homme, eh bien! elle n’est nulle part. » C’est la leçon de ces pages qui font écho à la poignante Vie des martyrs où, une fois de plus, un témoin raconte les cruelles choses vues et vécues pendant la Grande Guerre.
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