- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- Counter-Clock World
Philip Dick
Counter-Clock World
In Counter-Clock World, one of the most theologically probing of all of Dick’s books, the world has entered the Hobart Phase — a vast sidereal process in which time moves in reverse. As a result, libraries are busy eradicating books, copulation signifies the end of pregnancy, people greet with, “Good-bye,” and part with, “Hello,” and underneath the world’s tombstones, the dead are coming back to life. One imminent old-born is Anarch Peak, a vibrant religious leader whose followers continued to flourish long after his death. His return from the dead has such awesome implications that those who apprehend him will very likely be those who control the fate of the world.
Vous aimerez aussi
La vie de Disraeli
Le nom de Benjamin Disraëli est inséparable d’une période faste de l’histoire d’Angleterre qui commence par l’avènement en 1837 d’une reine de dix-huit ans, Victoria, et s’achève en 1901 à la mort de la souveraine. Au cours de ce long règne, Disraëli aura été deux fois premier ministre (en 1868, puis de 1874 à 1880) et aura dirigé l’un des deux grands partis politiques du pays, le parti tory (conservateur), l’autre étant le parti libéral mené par. son rival Gladstone. Si. à partir de 1876 la reine peut ajouter à ses titres celui, féerique, d’impératrice des lndes. c’est à Disraëli qu’elle le doit. Pourtant nul n’avait plus de chemin à parcourir pour venir au pouvoir que Benjamin Disraëli, né en 1804 d’une famille d’origine italienne et juive installée à Londres depuis deux générations. Surmontant tous les handicaps, ce jeune dandy prodigieusement doué, qui se console de ses échecs en écrivant des romans à succès, qui aime la poésie et les histoires chevaleresques, devient un orateur célèbre, un des géants de la politique anglaise, un ami de l’austère reine Victoria.
La personnalité de l’Egypte
C’est à l’époque même de la guerre des six jours, que ce livre a paru comme pour donner aux égyptiens le moyen de disséquer les causes de leur défaite d’une part, de découvrir la route à suivre et de les secouer à la suite des séquelles de ce drame militaire et psychologique. Conscient de ce qu’il appelle « génie du lieu », il réalise que l’Egypte a toujours été la scène d’une confrontation continue entre la » situation » du pays et son « site », équation qui reflète soit la prééminence de l’Egypte et ses périodes glorieuses, soit son état de colonie, » la colonie la plus longue que l’histoire ait connue.
Pays situé au centre du monde et au carrefour de 3 continents. 4 dimensions, asiatique, africaine, méditerranéenne et celle particulière du Nil. Laquelle l’emportera ? Qui prévaut ? l’arabisme ? le nationalisme arabe ? le patriotisme égyptien ?
Un plat de porc aux bananes vertes
Vieille femme noire abandonnée dans un hospice parisien, Mariotte se souvient de la Martinique, son île natale. Sur les murs sinistres de sa chambre, elle projette les couleurs du passé. Rouge et noir pour l’esclavage, les larmes et le sang. Vert et jaune pour ses amis disparus, les rires et la vie, pour la douceur amère et tendre d’un plat de porc aux bananes vertes.
La vie quotidienne sous Louis XIV
Dans l’histoire du règne de Louis XIV on a trop souvent négligé la vie des petites gens au profit du roi et de la cour. M.Mongrédien à voulu pénétrer dans l’intimité des classes moyennes: bourgeois, paysans, ouvriers, artisans soldatsLe grand évènement social du règne est l’accession de la bourgeoisie au rang de grande classe, enrichie, honorée et souvent enviée de la noblesse, que paralyse ses préjugés et les exigences de la cour. Appuyé sur une vaste documentation M.Mongrédien étudie le genre de vie de ces bourgeois; il les regarde élever leur enfants, faire leurs comptes, s’habiller recevoir leurs amis. Peu à peu la hiérarchie des fortunes tend à se substituer à celle des naissances et les anciennes castes se mêlent. Quand aux paysans la plupart des documents nous les présentent mal nourris, mal outillés, mal logés, écrasés d’impôts travaillant une terre trop morcelée. Il est naturel que nous aimions à entendre parler de la vie quotidienne des hommes et des femmes d’autrefois qui avaient les mêmes soucis et les mêmes plaisirs que nous. L’histoire est aussi notre vie de tous les jours, et nous sommes plus curieux des détails sur les costumes et l’alimentation d’autrefois que sur les clauses du traité de Nimègue. C’est cette curiosité que M.Mongrédien vient satisfaire avec un rare bonheur.