Katsura Hoshino
D.Gray-Man – 05 – Pressentiment
Le monde est sous la coupe d’entités maléfiques, issues des expériences scientifiques d’un génie malfaisant, le comte millénaire. Seule une lignée d’exorcistes spécialement entraînés semblent être en mesure de combattre ces créatures qui s’attaquent aux humains. Allen Walker est l’un d’entre eux et fait partie des plus jeunes recrues. Mais ses extraordinaires pouvoirs trahissent aussi un terrible secret, pourquoi sa main gauche est-elle celle d’un démon ? Quelle est cette cicatrice qui le défigure, et quel lien possède-t-il avec le comte ?
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En italien – New York, Manhattan General Hospital: persone sane e giovani, sottoposte a interventi di routine, muoiono ventiquattr’ore dopo l’operazione. La cosa insospettisce Laurie Montgomery, medico legale dell’ospedale. La dottoressa si getta a capofitto nell’indagine, anche se ostacolata da superiori e colleghi che pensano si tratti di pure coincidenze. Le morti però aumentano e Laurie è sempre più convinta che sia opera di un serial killer: tutte le vittime hanno infatti mappe genetiche simili. Che qualcuno abbia bisogno di materia su sui fare esperimenti? Il tempo scorre rapido ed è necessario trovare una soluzione all’enigma anche per salvare la vita alla stessa Laurie, che, positiva a un marker tumorale, scoprirà di avere un legame particolare con la vicenda…
Promets-moi
Six ans. Six ans déjà que Myron Bolitar, ex-champion de basket, ex-agent sportif, ex- détective de choc, n'a pas touché une arme à feu. Six ans qu'il s'est tenu loin des petites frappes et des gangsters de tout poil. Mais cette existence tranquille est sur le point de basculer… Myron Bolitar a fait une promesse. Celle d'être là pour Aimée, la fille d'une amie. N'importe où, n'importe quand. Quelques jours plus tard, la jeune fille disparaît. Myron est la dernière personne à l'avoir vue… Fugue ? Enlèvement ? Myron mène l'enquête, pour prouver son innocence, mais aussi parce qu'il a promis aux parents d'Aimée de retrouver leur fille. Et une promesse est une promesse… Sueurs froides, frissons, un suspense diabolique par le maître de nos nuits blanches.
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Un soir de novembre 2003, à la Foire du Livre de Brive-la-Gaillarde, le romancier et sociologue Azouz Begag, enfant des bidonvilles et de la banlieue à Lyon, croise Dominique de Villepin, flamboyant ministre des Affaires étrangères. Sur le mode de la plaisanterie, Azouz lui fait savoir combien il aimerait être ambassadeur dans quelque pays lointain d'Afrique. Dix-huit mois plus tard, le jeudi 2 juin 2005, son portable sonne : c'est Villepin, nouveau Premier ministre, qui lui annonce de but en blanc qu'il l'a nommé ministre délégué à la Promotion de l'égalité des chances. Une nomination symbolique pour incarner la diversité française ? ou bien une promotion destinée à faire contrepoids à l'image répressive du ministre de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy ? De fait, à compter du jour où le mot « racaille » est lancé par ce dernier et à compter du début de la crise des banlieues de novembre 2005, c'est la guerre ouverte entre l'hôte de la place Beauvau, son entourage, et le ministre délégué.
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Alors que notre société prône le culte du gagnant, la figure de la victime en est arrivée à occuper celle du héros. La médiatisation des catastrophes a révélé que l’unanimité compassionnelle était en train de devenir l’ultime expression du lien social. Et les demandes de réparation auprès des psychiatres et des juristes sont sans fin. Jusqu’où irons-nous dans cette « victimisation » généralisée ? Caroline Eliacheff et Daniel Soulez Larivière croisent leurs expériences et leurs disciplines pour démonter et explorer ce courant qui a émergé dans les années 80 sur tous les fronts et se nourrit de l’idéal égalitaire et de l’individualisme démocratique. Ils dénoncent les dangers que nous fait courir ce primat du compassionnel et de l’émotionnel qui, parfois déjà, affecte l’intérêt des victimes et pourrait se retourner contre la société tout entière.