- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- De Verdronkene
Margriet De Moor
De Verdronkene
En néerlandais – “De verdronkene” verscheen in april 2005. De eerste druk in een gebonden uitgave, de tweede in een paperbackversie. Deze tweede druk is bij de samenvatting gebruikt. Het is een flinke roman over een noodlottige situatie tijdens de Watersnoodramp van 1953. De roman telt 331 bladzijden. De voorkant van de roman is overwegend blauw met een beetje grijs. Er staat geen afbeelding op de kaft. Op de achterkant staat een foto van de schrijfster en een uiteenzetting van eerder verschenen romans. De flaptekst staat op de één na laatste pagina, wat opmerkelijk mag heten.
Vous aimerez aussi
Sainte Russie – L’art russe des origines à Pierre le Grand
L'ouvrage retrace près de 1000 ans de l'histoire de la Russie depuis sa christianisation à la fin du Xe siècle jusqu'à l'époque de Pierre le Grand dans le premier quart du XVIIIe siècle. En évoquant l'émergence des « Russes » dans l'histoire latine et byzantine, les rivalités et les luttes d'influences entre Latins, Vikings, Byzantins, Caucasiens et les premières conversions à la fin du Xe siècle, l'ouvrage s'attache à démontrer comment la Russie devient chrétienne et reprend le modèle ecclésiastique de Constantinople. La somptueuse exposition « Sainte Russie » présente plus de quatre cents œuvres provenant principalement de nombreux musées et bibliothèques de Russie, jamais exposées en France, et montre que, bien avant le règne de Pierre le Grand, l'art russe, héritier de Byzance, s'est depuis longtemps inscrit dans l'histoire politique et religieuse de l'Europe.
Les voisins d’à côté
Jusqu’à quel point connaît-on ses voisins? La petite ville de Promise Falls est sous le choc: les Langley ont été cruellement assassinés. Seul témoin du drame: Derek Cutter, dix-sept-ans, qui a profité de l’absence de ses voisins pour occuper la maison avec sa petite amie. Déjà connu pour de petits méfaits, il est le coupable parfait aux yeux du voisinage. Son père, persuadé de son innocence, se lance dans une enquête haletante qui va mettre au jour de sombres révélations sur les habitant de la petite ville en apparence si paisible. Tout le monde a un secret à cacher…
L’Année Terrible
En décembre 1908, Jules Garçon, jeune écrivain originaire de Saint-Pol-sur-Ternoise, dans le Pas-de-Calais, termine, sous le pseudonyme de Georges le Tervanick, la transcription des souvenirs de Dominique Thelliez relatifs à son engagement dans la guerre franco-prussienne de 1870. Car il faut dire que son enfance, comme tant d’autres, a été bercée par les récits de cette guerre et, sans doute, par nombre de couplets revanchards ayant pour thème l’Alsace et la Lorraine. Jules Garçon entend donc témoigner à la fois des souffrances et du désarroi de toute une génération, celle de ses grands-parents, et de la modeste grandeur de deux hommes : Dominique Thelliez, « un vieux, brave troupier », et Léopold Foulon, son propre grand-oncle, « mobile » du Pas-de-Calais. Deux « obscurs », acteurs à peine, niais témoins actifs, attristés souvent, souvent malicieux, discrètement critiques, de cette campagne lamentable où les humbles, servirent de pions dans le jeu de dirigeants politiques et militaires d’une confondante incompétence.
Le jour du roi
Nous sommes en 1987. Dans un Maroc qui vit encore dans la peur, sur une route entre deux villes, Rabat et Salé, le Roi Hassan II va passer. Perdus au milieu de la foule, deux amis, Omar et Khalid, un pauvre et un riche, l’attendent. Le riche a été choisi pour aller baiser la main du souverain. L’autre est jaloux. La guerre des classes est déclarée. Elle se terminera au milieu de la forêt, dans le sang.

