- Home
- >
- Architecture/Décoration
- >
- Déco Nature
Stewart Walton, Sally Walton
Déco Nature
De superbes photographies illustrent plus de 20 projets originaux, conçus par des créateurs contemporains et qui s’adapteront à tous vos besoins. Du tissu au verre, du vieux bois au carton, sans oublier le plastique et le métal, cet ouvrage ouvre une voie inhabituelle à la décoration. Satisfaire sa conscience écologique et ses besoins pratiques tout en laissant libre cours à son inventivité, c’est ce que Déco Nature propose à tout passionné de travail manuel.
Vous aimerez aussi
Notre honorable président
Quelle relation Jacques Chirac entretient-il avec l’argent ? Depuis quelques années, cette question hante la vie politique et elle va miner la campagne du président de la République qui aspire à un nouveau mandat. » Je ne suis pas un homme d’argent « , n’a cessé, depuis trente ans, de répéter l’ancien maire de Paris. Est-ce vrai ? Laurent Valdiguié, l’un des journalistes d’investigation du Parisien qui s’est attaché depuis longtemps au personnage, a enquêté. A la lumière des dossiers oubliés des années 70 comme de ceux qui sont liés à la gestion de la capitale, il s’applique à distinguer ce qui relève des financements politiques, des trafics sur des marchés publics et du train de vie personnel du président et de son entourage. Une plongée au cour du mystère Chirac.
Le Principe du Geyser
C’est bien, les vacances. Quand le ciel est clément. Quand la mer est chaude. Et surtout quand on ne prend pas brusquement conscience que les pilotis sur lesquels on a érigé toute sa vie sont pourris jusqu’au coeur…
Tigre en papier
Poétique des années 60. Ainsi Olivier Rolin aurait pu signer également son livre Tigre en papier. Des années 60, avec tout ce qu’elles possédaient pour rugir et mordre dans la vie. Né entre la mère des défaites et Diên Biên Phu, le narrateur s’emploie à raconter sa jeunesse en roulant frénétiquement le long du périphérique parisien. Une jeunesse qui voit se déployer portraits, objets et gestuel. C’est le temps des copains, des clampins sympathiques « à la vie à la mort », des virées ici et là, où l’on fauche une bagnole à Vesoul, gravit la tour sud de Saint-Sulpice, où l’on file en voyage jusqu’au Mékong, le temps des Trabants, des cuites, de la Gitane maïs, des tracts qui n’en finissent plus, rédigés dans la nuit et ronéotypés, des réunions politiques, d’Eddy Merckx, de Nixon, et de Sartre houspillé chez Renault…
Exhibition
Exhibition commence dans la vallée de Chevreuse. Drôle d’endroit pour le déballage intime. Et pourtant, au fil des lignes apparaît Philippe. À moins que ce ne soit, évidemment, Michka Assayas en personne. L’enterrement de la mère de ses amis d’enfance permet au narrateur de se retourner sur les années passées. De « déballer » sur un père italien absent, sur une mère égocentrique, une grand-mère attentive. Sur les amis qui ont réussi. Ceux qui ont raté. Sur ses propres erreurs… Le sujet n’est pas nouveau mais il y a dans la prose d’Assayas, ironiquement désespérée, quelque chose de profondément mélancolique et attachant. Peut-être cela tient-il aussi à la description des années 80. De ce que ces années avaient de fou et d’excitant, entre engagement politique, passion, fourmillement de musiques, de recherches en tout genre. Les années rock dont Philippe connaît les moindres notes. Peut-être fut-ce d’ailleurs sa seule vraie passion tout au long de ces années ?