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Collectif
Des histoires pour David et ses petits amis
Livre neuf – Jeunes et moins jeunes liront avec plaisir ces 15 petites histoires. Peut-être se reconnaîtront-ils dans l’un ou l’autre des enfants dont elles parlent. Ils ne manqueront pas d’éprouver de la sympathie pour Doris, Reinald, Ishimoto, Paul et Marie, Wanja et la plupart des autres sinon tous.
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Nostradamus – Historien et prophète
Fin d'une civilisation, la Peur de l'Occident, Un monde qui meurt, autant de titres qui, depuis peu, fleurissent chez les libraires et dans la presse. Cette fois, un traducteur sérieux fait parler un vrai prophète et, paradoxalement, un véritable historien : Nostradamus. Grâce à un travail acharné et à une méthode rigoureuse, où le rationnel l'emporte toujours sur le jugement personnel et l'imagination, Jean-Charles de Fontbrune extirpe des quatrains de Nostradamus…
Rome n’est plus dans Rome, elle est toute où je suis
Y a-t-il 2 églises ? Et qu’est-ce qu’au juste qui les sépare ? La rupture porte-t-elle sur le fond ou sur la forme ? S’agit-il de soutanes ou bien de dogmes et de morale ? Des évêques onanistes et avorteurs auraient-ils trahi l’Évangile ? L’auteur organise sagement, méthodiquement, scrupuleusement sa réponse autour de documents capitaux : cités ou ressuscités, ils bouleversent les certitudes paresseuses, font sursauter les consciences tranquilles, violentent les âmes assoupies, dans une lumière originale de piété et d’insolence qui ne laisse indifférent ni croyant ni mécréant.
Le rêve cistercien
Découvertes Gallimard / Philosophie et Religion – Les cisterciens voulaient mener une vie monastique parfaite, sans compromission avec le siècle. Leur aventure spirituelle, commencée en 1098, est toujours actuelle, et concerne aujourd’hui quelque sept mille moines et moniales. Mais le rêve cistercien va bien au-delà d’une quête confinée aux monastères où vivent des chrétiens épris d’absolu. Il a profondément modifié les relations de l’homme à la nature, à la société, à l’art. Dès le XIIe siècle, la volonté de réforme et les aspirations mystiques de solitaires volontairement coupés du monde ont déterminé des métamorphoses qui nous concernent tous. Historien et archéologue, Léon Pressouyre nous convie à ce retour aux sources.
La vie de saint Paul – Tome III – L’homme qui devint Dieu
Saül, notre saint Paul, est exceptionnel à maints égards. II est le seul saint du calendrier qui ait participé à l’assassinat d’un autre, Étienne. Il est l’ « inventeur » de l’Église : ce sont ses missions qui ont fondé les premiers grands centres chrétiens à l’extérieur de Jérusalem. Mais ce n’est pas tout… Assurément, il était citoyen romain. Mais comme il se prétend également juif et qu’il était à l’époque impossible d’être officiellement juif et citoyen romain, car on ne pouvait à la fois adorer Jupiter et Jéhovah, il y a là un mystère. Et le mystère s’épaissit quand on apprend par les Actes que, lors de son arrestation, les Romains lui assignèrent une escorte extraordinaire, avec quatre cent soixante-dix archers et soldats. Ce n’étaient certes pas les honneurs qu’ils réservaient d’ordinaire à leurs prisonniers. Quel était donc le rang de Saül ? Pourquoi trois préfets romains le protègent-ils avec tant d’obstination? Autre mystère, mais non le dernier : il se dit originaire de Tarse; à l’examen encore, cela apparaît douteux, comme l’avait déjà relevé saint Jérôme au IVe siècle. Pourquoi Saül dissimule-t-il sa véritable origine ? Quelle est, entre autres mystères, la raison profonde de sa longue et violente querelle, ponctuée d’injures telles que « hypocrite » et « mauvais chrétien », avec les apôtres Pierre, Jacques le Mineur et Jean ?