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Jeff Kinney
Diary of wimpy kid the ugly truth
Greg Heffley has always been in a hurry to grow up. But is getting older really all it’s cracked up to be? Greg suddenly finds himself dealing with the pressures of boy-girl parties, increased responsibilities, and even the awkward changes that come with getting older–all without his best friend, Rowley, at his side. Can Greg make it through on his own? Or will he have to face the ugly truth ?
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Pays-Bas
Les éditions Marcus se sont entièrement consacrées à la publication de guides de voyage, et pour la première fois en France au format poche. L’accent des guides est mis sur le contenu culturel. Chacun des guides aide à comprendre les richesses d’un pays, d’une ville, d’une région. Concrets, ils proposent des circuits précis, illustrés par une cartographie importante et des dessins au trait. Loin des éditions standardisées, les Guides Marcus ont de la personnalité. Souvent pionniers, ils proposent des destinations originales pour un prix réduit. Un format de poche, léger, maniable et facile à consulter.
La griffe du sud
Judy Hammer, ex-responsable de la police de Charlotte, et ses adjoints Andy Brazil et Virginia West, sont nommés au même poste pour un an à Richmond, Virginie. Autrement dit, dans le Sud, où la ségrégation n’est pas encore un mauvais souvenir. Leur mission : rétablir l’ordre et neutraliser les gangs, en particulier les Piranhas, une bande de très jeunes délinquants qui n’hésitent pas à tuer pour quelques dollars. L’enquête et la traque de Smoke, le plus dangereux de ces criminels, est perturbée par des Sudistes n’aimant pas tout ce qui vient du Nord et par des policiers dont l’intégrité n’est pas la qualité première.
Un jour, ils auront des peintres
« Vous comprendrez, quand vous verrez l’Amérique, qu’un jour ils auront des peintres, parce que ce n’est pas possible, dans un pays pareil, qui offre des spectacles visuels aussi éblouissants, qu’il n’y ait pas de peintres un jour ». La prophétie date de 1933. Comme tous les autres Européens de retour des Etats-Unis, Matisse se dit envoûté Il annonce l’avènement d’une nouvelle ère, celle des peintres américains. Tout commence à Paris, le 1er juilet 1867, dans les fastes de l’Exposition Universelle : après la guerre de Sécession, les paysagistes d’outre-Atlantique, qui forment la première véritable école de leur pays, retrouvent, optimistes, le chemin de l’Europe. Mais les critiques français leur réservent ricanements et sarcasmes : « Cette exposition est indigne des fils de Washington. Au milieu de nos vieilles civilisations, les Américains font l’effet d’un géant fourvoyé dans une salle de bal. » … L’épopée des peintres américains racontée par Annie Cohen-Solal nous transporte de Paris à New-York, de Giverny à Chicago, de Pont-Aven à Taos, au Nouveau-Mexique, et s’achève à la Biennale de Venise, en 1948, lorsque sont présentées, pour la première fois en Europe, huit toiles de Jackson Pollok, un artiste inconnu des Européens de l’époque, mais bientôt célébré dans le monde entier comme le premier véritable maître américain.
Vers chez les blancs
Dans le petit milieu littéraire, seules deux ou trois choses comptent vraiment : les pages que l'on noircit, les femmes que l'on séduit, l'argent que l'on amasse. Le tout en évitant les pannes. Francis a eu tout cela, du temps où il était un auteur à succès. Mais la roue a tourné, la gloire a déserté et, en attendant une improbable réédition, il ne lui reste plus guère que les femmes, la sienne mais surtout celles des autres. Il s'y jette donc à corps perdu, abuse du sexe en général et de celui de Nicole, la femme de son meilleur ami, en particulier.