- Home
- >
- Livres recommandés
- >
- Dictionnaire Allemand
Collectif
Dictionnaire Allemand
Une pédagogie adaptée aux jeunes apprenants :80 000 mots, expressions et exemples ;Un vocabulaire sélectionné en fonction des programmes scolaires ;Des exemples pour situer chaque mot en contexte et ainsi faciliter leur utilisation. Un dictionnaire facile à consulter et simple à utiliser :Des indications claires, sans codes, ni abréviations ;Une présentation en deux couleurs pour bien différencier les informations.
Vous aimerez aussi
Madame Bovary
« Il y a peu de femmes que, de tête au moins, je n’aie déshabillées jusqu’au talon. J’ai travaillé la chair en artiste et je la connais. Quant à l’amour, ç’a été le grand sujet de réflexion de toute ma vie. Ce que je n’ai pas donné à l’art pur, au métier en soi, a été là et le cœur que j’étudiais c’était le mien. » Flaubert défend ainsi son œuvre dans une lettre à sa maîtresse, Louise Collet. L’amour si quotidien de Charles Bovary, les passions tumultueuses de sa femme Emma étaient décrites avec tant de réalisme que l’auteur et l’imprimeur furent traînés en justice pour offense publique à la morale et à la religion. On les acquitta. Flaubert n’avait peint que la réalité, les moisissures de l’âme. Une femme, mal mariée, dans une petite ville normande, rêve d’amour et le trouve.
Français-Allemand, Allemand-Français
Ernst Jünger est un essayiste et romancier allemand. Il se porte volontaire quand Guillaume II ordonne la mobilisation en 1914. Il est victime de nombreuses blessures et reçoit la croix – pour le mérite – la plus haute distinction militaire allemande. Il transmet son expérience de la guerre des tranchées, comme simple soldat d’abord, puis comme officier des Sturmtruppen, dans le livre Orages d’acier publié à compte d’auteur en 1920 dans lequel il décrit notamment les horreurs vécues, mais aussi la fascination que l’expérience du feu a exercée sur lui. Ce livre est aujourd’hui encore son livre le plus lu. André Gide écrit : « Le livre d’Ernst Jünger sur la guerre de 14, Orages d’acier, est incontestablement le plus beau livre de guerre que j’ai lu, d’une bonne foi, d’une honnêteté, d’une véracité parfaites »
Les plaideurs
Les Plaideurs est une comédie en trois actes et en vers (884 alexandrins). C’est la seule comédie qu’il ait écrite. Il s’est inspiré des Guêpes d’Aristophane mais en a retiré toute la portée politique. Un juge sort de chez lui par la fenêtre, des chiots urinent sur la scène, deux jeunes amoureux se jouent du père de la jeune fille, le tout en alexandrins.

