Jacqueline Mirande
Double meurtre à l’abbaye
À la fin du XIIᵉ siècle, un pèlerin de Saint-Jacques de Compostelle est retrouvé assassiné dans l’enceinte de l’abbaye de Hautefage. Peu après, un homme qui détenait de précieuses informations sur le crime meurt à son tour, noyé. Qui est le meurtrier ? Plus l’enquête avance, plus les innocents se font rares au coeur de l’abbaye… Une aventure pleine de suspense au coeur d’un Moyen Âge aux sombres secrets.
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L’écran rouge
A partir de 13 ans – Au fond de la galerie, l’écran rouge attend. Un rouge menaçant, envoûtant. Un rouge guet-apens. Impossible de ne pas l’acheter, de ne pas emporter la toile pour la contempler à loisir, toutes portes fermées… Mais attention! Ce tableau possède d’étranges pouvoirs…
Le joyeux requiem
De 8 à 11 ans – Quelle différence y a-t-il entre un pirate et un corsaire ? Pour Donatien, la question est sans grande importance. Ce qu’il voudrait surtout savoir, c’est pourquoi des marins aux mines patibulaires l’ont enlevé, et quand est-ce qu’ils voudront bien le rendre à ses parents. Cela dit, la vie quotidienne ne manque pas d’agréments,
dans la mer des Antilles, à bord de ce Joyeux Requiem qui attaque les galions espagnols…
Yvain le Chevalier au lion
A partir de 12 ans – En forêt de Brocéliande, il existe une fontaine magique qui déclenche d’effroyables tempêtes lorsqu’on renverse son eau sur le perron qui l’entoure. À la cour du roi Arthur, Yvain, jeune chevalier fougueux, décide d’affronter Esclados le Roux, le seigneur qui protège cet endroit. Il s’y rend et blesse gravement son adversaire qui prend la fuite. Yvain le poursuit et se trouve pris au piège, pourchassé à son tour par les gens du château désireux de venger leur maître. Comble de l’infortune, la jeune femme dont il tombe amoureux est Laudine, la veuve du chevalier vaincu ! Comment Yvain va-t-il se tirer de ce mauvais pas ? Heureusement, dans ses aventures, il pourra compter sur l’aide de Lunette, une demoiselle au service de Laudine, ainsi que sur la fidélité de son lion.
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Tante Nell est revenue toute pâle du marché. Elle a entendu deux hommes discuter des listes hebdomadaires qui recensaient les victimes. Il paraît que la semaine dernière, sept cents personnes sont mortes de la maladie. La peste s’est donc bel et bien installée à Londres. Une longue discussion a eu lieu à la maison, et je vais devoir partir pour Woolwich avec tante Nell. J’ai refusé de m’en aller sans mon chien et Papa a cédé. Au moins Poppet apportera un peu de joie à la ferme. On m’a envoyée me renseigner sur les horaires de départ des péniches, mais quelque chose m’a arrêtée en chemin : une croix rouge était peinte sur une porte de la rue voisine. Au-dessus de la croix était écrit : “Dieu aie pitié de nous.”»

