Jeff Kinney
Double peine : Journal d’un dégonflé
Quelle pression sur les épaules de Greg ! Sa mère a décidé qu’il devait développer sa créativité et penser à son avenir… Terminé, les jeux vidéo et le pop-corn devant la télé avec les copains. Elle ne le lâchera pas. Heureusement, Halloween approche et Greg a une super idée : il va faire un film d’horreur avec son copain Robert. Sa mère cessera-t-elle de le harceler ? Rien n’est moins sûr, et ce film pourrait bien être la source de nouveaux ennuis.
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L’église verte
Dans un village de France, on découvre un homme qui vient de nulle part : un homme sans nom, sans famille, sans passé, ou, du moins, se prétendant tel. Il semble avoir vécu un certain temps caché au cœur de la forêt, cette « église verte « , ultime refuge pour ceux qui veulent fuir leurs semblables… Ou eux-mêmes. Quel est son secret ? Hymne vibrant à la nature – dont Hervé Bazin, obstiné campagnard, parle mieux que personne, en connaisseur et en poète – L'Eglise verte nous interroge : en fin de compte, qu'est-ce qu'un homme ? Un état civil ? Un animal civilisé ? Un être obligatoirement social ? Classés, fichés, bureaucratisés, sommes-nous encore libres différents, solitaires, vraiment nous-mêmes ?
Accusé Chirac levez-vous !
« Depuis quatre décennies, Jacques Chirac avance sous la bannière de la duplicité : il nous trompe sur lui-même et se trompe sur la France. Son oeuvre porte un nom : le déclin français. » Pour l’auteur de ce livre, et pour bien des Français, le temps est venu de juger Jacques Chirac. Et le réquisitoire est sans appel. Tout ou presque est faillite dans ce bilan moral, politique, économique, social, institutionnel. Le tribunal de l’Histoire saluera cette longue carrière de conquérant du pouvoir mais condamnera ce président sans qualité. Sans ambition pour la France, Jacques Chirac ne s’est mis au service que de lui-même.
Deux femmes
Une jeune femme est retrouvée assassinée dans une chambre d’hôtel de Nice, sans papiers, sans passé, sans rien… Une autre femme, l’épouse d’un procureur adjoint de la République, s’amuse à mener l’enquête. Ne lui faut-il pas tromper son ennui, sinon tromper son mari ? Entre l’insolente jeunesse d’Olga et la distinction vernissée de Blandine, il y a Jean-Louis, scénariste, romancier, célibataire par indolence plus que par conviction, qui se laisse trop facilement séduire par l’une puis par l’autre. Les femmes ne mènent-elles pas toujours le bal, ou l’aventure ? Après Charles et Camille et La Comédie de Terracina. Frédéric Vitoux nous offre un roman policier sur fond de mafia russe et de faux tableaux, une comédie sentimentale où un homme peut en cacher un autre, une chronique de l’été 95 dans sa torpeur estivale. La Provence, l’île Saint-Louis, l’Italie sont autant de décors chers à l’auteur, qui invitent à un vrai suspense et à cette légère ébriété romanesque sans laquelle il n’est pas de bonheur littéraire.
Duel au sommet
C’est l’histoire d’une interminable cohabitation. Le 2 juin 1997, deux hommes que tout oppose, leurs idées, leur histoire, leur caractère, se résolvent à vivre ensemble parce que les Français l’ont voulu ainsi. Entre Jacques Chirac, le gaulliste pompidolien, et Lionel Jospin, le socialiste venu du trotskisme, le courant ne passera jamais, malgré les sourires de convenance. Dès la première heure, les deux hommes ont en tête le rendez-vous qui se profile : sous les apparences d’une cohabitation douce, s’est livrée pendant cinq ans dans les coulisses une bagarre sans merci, qui préfigure l’affrontement électoral. Duel au sommet raconte l’histoire secrète de cette guérilla entre l’Elysée et Matignon, dont le grand public ne mesure les effets que lors des grands événements.