Jeff Kinney
Double peine : Journal d’un dégonflé
Quelle pression sur les épaules de Greg ! Sa mère a décidé qu’il devait développer sa créativité et penser à son avenir… Terminé, les jeux vidéo et le pop-corn devant la télé avec les copains. Elle ne le lâchera pas. Heureusement, Halloween approche et Greg a une super idée : il va faire un film d’horreur avec son copain Robert. Sa mère cessera-t-elle de le harceler ? Rien n’est moins sûr, et ce film pourrait bien être la source de nouveaux ennuis.
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Lors de sa sortie au printemps 2001, La Vie sexuelle de Catherine M. a fait l’effet d’une bombe. Bien connue des milieux de l’art contemporain, directrice de la prestigieuse revue art press, l’auteur y révèle par le menu sa vie sexuelle intense, multiple, collective, et fait ainsi entrer le lecteur dans un monde souvent fantasmé, rarement éclairé d’une lumière aussi crue, avec une étrange distance doublée d’un esprit de système qui donnent au récit une dimension si singulière. Ce livre littéralement sidérant a connu un destin exceptionnel, rencontrant le succès sur la scène mondiale, véritable phénomène littéraire du début de XXIe siècle.
Les otages du président
« … Dans cette valise, il y a une bombe atomique de dix kilotonnes. Prête à exploser ! » s’écria un intendant. Le président de la République française laissa son discours en suspens. Il s’appuya lourdement sur la table, sa main droite agrippant le micro devant lui. Ses yeux, brillant d’un éclat fixe, firent le tour de la salle de conférences et s’arrêtèrent sur une place vide, celle du secrétaire général du parti communiste soviétique. A sa droite, le président des États-Unis stupéfait ; « Vous ne voulez pas croire au terrosrisme nucléaire. eh bien. Nous y voilà pourtant ».
L’église verte
Dans un village de France, on découvre un homme qui vient de nulle part : un homme sans nom, sans famille, sans passé, ou, du moins, se prétendant tel. Il semble avoir vécu un certain temps caché au cœur de la forêt, cette « église verte « , ultime refuge pour ceux qui veulent fuir leurs semblables… Ou eux-mêmes. Quel est son secret ? Hymne vibrant à la nature – dont Hervé Bazin, obstiné campagnard, parle mieux que personne, en connaisseur et en poète – L'Eglise verte nous interroge : en fin de compte, qu'est-ce qu'un homme ? Un état civil ? Un animal civilisé ? Un être obligatoirement social ? Classés, fichés, bureaucratisés, sommes-nous encore libres différents, solitaires, vraiment nous-mêmes ?
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Il y a quatre personnages, très différents. Christine, qui dirige une agence de voyages, se sent épuisée sans raison. Tout devait lui sourire pourtant. A cinquante ans, elle s'est organisée une existence active et libre. mais, sans qu'elle ait jamais osé se l'avouer, la peur de vieillir la mine. Paul, le paysan, un homme sensible et doux, n'a jamais pu s'arracher à la famille, de brutes dans laquelle il est né. Solange, guichetière à la SNCF, en veut au monde entier et d'abord à elle-même. D'où vient cette hargne qui l'habite ? Luc, à force de se battre pour sauver son couple du désastre, est au bout du rouleau, psychologiquement et matériellement. Il n'y a pas de liens entre ces deux femme et ces deux hommes, sauf de brèves rencontres de hasard. mais, tous les quatre vont vivre, dans des circonstances imprévues, ces moments où l'ont est brusquement mis en face de soi-même et où l'ont prend conscience des impasses où l'on s'est engagé.