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Yves Swolfs
Durango – Tome 6 – Le destin d’un desperado
Les plaines sauvages du Wyoming, à la fin du dix-neuvième siècle. Redoutable expert de la gâchette, le cavalier solitaire Durango promène sa silhouette nonchalante de villes-champignons en postes frontières, a la poursuite de hors-la-loi. Muni de son célèbre automatique Mauser, celui que l’on surnomme ” Le Pacificateur ” n’hésite jamais à contourner la loi pour servir sa propre justice. Quand la poudre parle, la neige et la poussière se teintent de sang.
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The shadow man
En Anglais – In Berlin in 1943, he was known and dreaded as Der Schattenmann–a merciless “catcher” of Jews for the Nazis. Few saw his face and lived. In present-day Miami Beach, he has resurfaced–to silence forever the survivors who remember. Unless retired homicide detective Simon Winter can find him first.
C’est beau une ville la nuit
C'est beau une ville la nuit n'est pas à proprement parler un roman autobiographique, ni une simple biographie d'acteur, mais bien plutôt l'écriture d'une errance et d'une quête. “Une balade, l’œil et l'esprit grand ouverts au vif de la ville et au droit de la vie, une route de douleurs, de joies et finalement d'espérance.” Ce livre est un fragment d'itinéraire de l'homme Bohringer avant même que les écrans renvoient cette image d'une “gueule” de cinéma et que celle-ci s'impose par la forte présence d'un comédien dont les valeurs personnelles ne se réduisent pas à sa profession et au narcissisme qu'elle entretient. Ouvert aux autres et amoureux de l'amitié, Richard Bohringer, grand lecteur de Cendrars, de Kérouac ou de London, sait donc que la raison même de l'écrivain est de mythifier la réalité de la vie, de dire vrai même dans l'imaginaire puisque “la réalité dans tout cela, ce sont les faits, les gens non pas tels qu'ils sont mais tels qu'on les vit. C'est la règle du jeu. La seule avec laquelle il acceptable de jouer.”
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