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Giliane Verhulst
Étude sur La Religieuse, Diderot
Une collection qui entend offrir l’essentiel des connaissances indispensables et incontournables permettant l’approche et l’étude efficace d’œuvres littéraires.
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Sang royal
York, 1541. Aux portes de la ville, quatre têtes coupées sur des piques, font le régal des corbeaux. C’est la réponse, royale et sanglante, à la conspiration papiste. Bientôt, le roi lui-même viendra mettre un terme, par sa seule présence, aux troubles de la province. D’ici là, Matthew Shardlake, avocat à la Cour, assurera la protection du meneur catholique, le bouillant Broderick, jusqu’à son transfert à Londres où l’hérétique sera remis aux questionneurs de la Tour… Quel entêtement dans son silence ! Très vite, Shardlake devine que la rébellion du Yorkshire menace bien moins l’unité religieuse du pays que la légitimité de la Couronne. Connaissant Henri VIII, dont la cruauté proverbiale a souillé le nom des Tudor, l’avocat se sait lui-même en grand danger.
Ségolène Royal – La dame aux deux visages
Côté pile, un visage d’ange et une image de rénovatrice. Côté face, une travailleuse acharnée aux méthodes de tueuse, une conception conservatrice de la famille, du travail et de l’éducation. Ségolène Royal a bien deux visages. Les auteurs, qui ont recueilli à Paris comme à Poitiers de nombreux témoignages inédits et rencontré ses proches, racontent la femme politique, appréciée pour son énergie et son volontarisme, qui séduit le grand public autant qu’elle agace les éléphants du PS. Mais aussi l’élue de Poitou-Charentes, que nombre d’anciens collaborateurs dépeignent comme autoritaire, cassante et manipulatrice. L’envolée de Ségolène Royal est due à une stratégie médiatique très calculée. Mais aussi à un événement qui a bousculé le jeu à gauche : sa victoire en 2004 aux élections régionales. Aymeric Mantoux et Benoist Simmat analysent le personnage et évaluent les atouts dont elle dispose, dressant un portrait sans concession de la première Française en mesure de devenir présidente de la République.
Britney Spears
Britney Spears
Britney Spears voit le jour en décembre 1981 en Louisiane. Ses parents l'élèvent dans le respect des vieilles traditions du sud des Etats-Unis et des valeurs morales édictées par l'Eglise baptiste à laquelle ils appartiennent. Très tôt Britney s'intéresse au chant et à la danse. En 1997 elle décroche un contrat dans une prestigieuse maison de disques et enregistre un premier album « Baby one more time ». En quelques mois la petite fille du sud se retrouve numéro 1 des ventes de disques à travers le monde. Le phénomène Britney est en marche. Britney ne laisse rien au hasard. Elle se façonne une image et s'impose comme l'incarnation du rêve américain. Sacrée princesse de la pop par les médias et le public, plus rien ne semble pouvoir l'arrêter. En grandissant Britney s'émancipe, rejette son rôle de modèle pour la jeunesse et, pour pérenniser sa carrière, décide de suivre les traces de Madonna. Sa nouvelle image choque l'Amérique puritaine ; Britney s'en moque et le public la suit.
L’élégance du Hérisson
« Je m’appelle Renée, j’ai cinquante-quatre ans et je suis la concierge du 7 rue de Grenelle, un immeuble bourgeois. Je suis veuve, petite, laide, grassouillette, j’ai des oignons aux pieds et, à en croire certains matins auto-incommodants, une haleine de mammouth. Mais surtout, je suis si conforme à l’image que l’on se fait des concierges qu’il ne viendrait à l’idée de personne que je suis plus lettrée que tous ces riches suffisants. Je m’appelle Paloma, j’ai douze ans, j’habite au 7 rue de Grenelle dans un appartement de riches. Mais depuis très longtemps, je sais que la destination finale, c’est le bocal à poissons, la vacuité et l’ineptie de l’existence adulte. Comment est-ce que je le sais ? Il se trouve que je suis très intelligente. Exceptionnellement intelligente, même. C’est pour ça que j’ai pris ma décision: à la fin de cette année scolaire, le jour de mes treize ans, je me suiciderai. »