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Sylvie Jopeck
Étude sur Ubu roi, Jarry
Une collection qui entend offrir l’essentiel des connaissances indispensables et incontournables permettant l’approche et l’étude efficace d’œuvres littéraires.
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Britney Spears
Britney Spears voit le jour en décembre 1981 en Louisiane. Ses parents l'élèvent dans le respect des vieilles traditions du sud des Etats-Unis et des valeurs morales édictées par l'Eglise baptiste à laquelle ils appartiennent. Très tôt Britney s'intéresse au chant et à la danse. En 1997 elle décroche un contrat dans une prestigieuse maison de disques et enregistre un premier album « Baby one more time ». En quelques mois la petite fille du sud se retrouve numéro 1 des ventes de disques à travers le monde. Le phénomène Britney est en marche. Britney ne laisse rien au hasard. Elle se façonne une image et s'impose comme l'incarnation du rêve américain. Sacrée princesse de la pop par les médias et le public, plus rien ne semble pouvoir l'arrêter. En grandissant Britney s'émancipe, rejette son rôle de modèle pour la jeunesse et, pour pérenniser sa carrière, décide de suivre les traces de Madonna. Sa nouvelle image choque l'Amérique puritaine ; Britney s'en moque et le public la suit.
Un mouton dans la baignoire
Un soir de novembre 2003, à la Foire du Livre de Brive-la-Gaillarde, le romancier et sociologue Azouz Begag, enfant des bidonvilles et de la banlieue à Lyon, croise Dominique de Villepin, flamboyant ministre des Affaires étrangères. Sur le mode de la plaisanterie, Azouz lui fait savoir combien il aimerait être ambassadeur dans quelque pays lointain d'Afrique. Dix-huit mois plus tard, le jeudi 2 juin 2005, son portable sonne : c'est Villepin, nouveau Premier ministre, qui lui annonce de but en blanc qu'il l'a nommé ministre délégué à la Promotion de l'égalité des chances. Une nomination symbolique pour incarner la diversité française ? ou bien une promotion destinée à faire contrepoids à l'image répressive du ministre de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy ? De fait, à compter du jour où le mot « racaille » est lancé par ce dernier et à compter du début de la crise des banlieues de novembre 2005, c'est la guerre ouverte entre l'hôte de la place Beauvau, son entourage, et le ministre délégué.
Je sais que je ne suis pas seul
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