- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- Fairy dreams
Gwyneth Rees
Fairy dreams
En Anglais – Evie gets a wonderful surprise when she goes to stay at her grandma’s house. Fairies appear in the night. They are dream fairies and they live at the bottom of Evie’s bed. Even better, Evie can go and have magical adventures with them in fairyland! Soon Evie discovers that Grandma can see the fairies too. But will they still be there when Grandma returns from hospital – and how can Evie make sure that their special brand of fairy magic will stay with Grandma forever?
Vous aimerez aussi
L’Arnaque – Quand l’Amérique rackette la France
En décembre 2003, au terme d'un accord transactionnel, la France accepte de payer la somme astronomique de 771,5 millions de dollars aux Etats-Unis. Mais les contribuables français n'ont pas fini de régler la note d'une des aventures financières les plus osées du Crédit Lyonnais, qui avait repris au début des années 90 une compagnie d'assurances californienne en faillite : Executive Life. Un crime économique aux yeux de la justice américaine qui réclamait plusieurs milliards de dollars à la veille du procès civil. Une tentative d'extorsion de fonds aux yeux des Français qui ont dû accepter, sur les marches du tribunal de Los Angeles, en février 2005, de payer des centaines de millions de dollars de plus. Le nouveau livre d'Airy Routier révèle la face cachée de cette incroyable affaire, essentiellement décrite jusqu'ici sous son aspect franco-français.
Staline – La cour du Tsar rouge
Chronique de la cour de Staline depuis sa consécration comme « chef suprême » en 1929 jusqu’à sa mort, ce livre est aussi une biographie de Staline à travers son entourage le plus proche. Tirant profit de l’ouverture récente de ses archives personnelles, Simon Sebag Montefiore reprend le cours des événements de 1929 à 1953 en se concentrant sur l’univers quotidien du pouvoir absolu et de ses protagonistes, mus par une fidélité parfois déconcertante envers le tyran géorgien. Par ce biais, il nous montre l’envers du décor, principalement la progression de la terreur que Staline met en œuvre avec l’aide d’êtres obsédés par les rivalités permanentes et les désirs mesquins de jouir des moindres privilèges du pouvoir mais constamment angoissés par la peur de la disgrâce imprévisible qui signifiait toujours la mort.
Que la vie est douce à l’ombre des palmes
Saviez-vous qu’aux dernières nouvelles d’Égypte, Ramsès serait toujours vivant et qu’on peut même l’apercevoir à l’heure du déjeuner à Louxor ? Que, du côté de Lycopolis, une alchimiste du nom de Cléopâtre détiendrait le secret de la haute science ? Drôles, merveilleuses, poétiques ou mystérieuses, les vingt-trois nouvelles que Christian Jacq présente ici pour la première fois sous forme de recueil ne cessent de nous surprendre. Situées au temps des pharaons ou de nos jours, écho de textes égyptiens anciens ou souvenirs d’aventures vécues, toutes invitent à une séduisante rêverie entre étrange et réalité. Et qu’ils soient bergers ou puissants, artistes ou aventuriers, guerriers ou divinités, les héros de ces récits nous entraînent, par-delà le temps et l’espace, à réfléchir au sens de nos vies…
Louis Capet, suite et fin
Si chacun sait bien que Louis XVI, échappant de justesse à la guillotine, fut par la Convention condamné au bannissement perpétuel, l’on connaît moins, en revanche, les innombrables difficultés rencontrées à l’époque pour trouver au souverain déchu une terre d’exil qui veuille bien le recevoir, et l’on ignore presque tout des raisons qui poussèrent finalement la Suisse à accueillir Louis Capet et à le reléguer à Saint-Saphorien, petite bourgade des bords du Léman, dans un territoire alors possession des baillis de Berne. Basé sur de nombreuses archives inédites, se lisant comme un vrai livre d’histoires et sur un ton dont la légèreté n’exclut pas le sérieux, ce roman nous révèle donc l’accueil… mitigé que le ci-devant monarque reçut à son arrivée au pays de Vaud, les hôtes… inattendus qui s’en vinrent le visiter, les diverses péripéties… tragicomiques qui, d’octobre 1795 à janvier 1798, marquèrent son séjour forcé dans la région et la fin… logique qu’il y trouva.